Le présidium à l'ouverture du symposium ce 21 novembre à l'hôtel Silmandé. On reconnaît au milieu le Premier ministre burkinabè Christophe Dabiré.

L’association dialogue sans frontières en partenariat avec le ministère de l’administration territoriale, de la décentralisation et de la cohésion sociale a tenu, ce 21 novembre 2019 dans la ville de Ouagadougou, un symposium régional sur la cohésion sociale et le vivre-ensemble. Ce symposium a réuni une centaine de personnes dans la salle ‘’kibsi’’ de l’hôtel Silmandé et les échanges vont porter sur le phénomène du terrorisme.

Le présidium à l’ouverture du symposium ce 21 novembre à l’hôtel Silmandé. On reconnaît au milieu le Premier ministre burkinabè Christophe Dabiré, qui a présidé l’ouverture.

Initié pour une durée de 72 heures, avec pour point névralgique la question sécuritaire, l’ouverture officielle de cette rencontre a été présidée par le premier ministre Christophe Marie Joseph Dabiré. Le thème retenu pour ce symposium est « cohésion sociale et vivre-ensemble (paix et société) ».

Ce thème, a affirmé le premier ministre, interpelle tout le monde au moment où les pays font face à de défis majeurs comme le terrorisme et son corollaire, l’extrémisme violent qui occasionne de nombreuses victimes civilo- militaire. Pour le chef du gouvernement burkinabè, « face au terrorisme, nous devons imaginer des solutions vigoureuses ». Par conséquent, « nous devons mutualiser nos efforts pour prendre le dessus sur les forces du mal ».

Madiara Sagnon née Tou, ministre délégué auprès du ministère de l’administration territoriale, chargé de la cohésion sociale, se prêtant aux question des journalistes

Le terrorisme dans les pays du G5 Sahel fissure considérablement les relations interpersonnelles des populations laissant des conséquences catastrophiques sans précédent.

Et pour venir à bout de ce problème, monsieur Dabiré croit qu’il faut faire de la cohésion sociale le principal facteur de la paix. En plus, entre attaques terroristes à répétition, radicalisation et conflits intercommunautaires, madame Madiara sagnon née Tou, ministre délégué auprès du ministère de l’administration territoriale, chargé de la cohésion sociale, pense que « nous avons de sérieux problèmes ».

Il fallait donc pour elle faire une halte pour réfléchir ensemble, afin de réunir toutes les forces, question d’inverser la tendance. D’où l’organisation du symposium régional. Alors, « nous attendons de tous les participants, des contributions qui vont nous permettre d’aller de l’avant, d’instaurer la paix dans les différents pays du G5 sahel.

Nicolas Bazié

Burkina Demain

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