La Banque mondiale a approuvé le 25 août dernier, un financement additionnel de 100 millions de dollars en appui au Projet d’amélioration de l’accès et la qualité de l’éducation (PAAQE), dont le but est d’améliorer l’accès à l’enseignement préscolaire et secondaire dans les régions les plus défavorisées du Burkina Faso. Plus de précisions dans ce communiqué.

«Communiqué de presse

Burkina Faso : la Banque mondiale appuie l’accès à un enseignement préscolaire et secondaire de qualité

WASHINGTON, 25 août 2020 — La Banque mondiale a approuvé un financement additionnel de 100 millions de dollars en appui au Projet d’amélioration de l’accès et la qualité de l’éducation (PAAQE), dont le but est d’améliorer l’accès à l’enseignement préscolaire et secondaire dans les régions les plus défavorisées du Burkina Faso. Le Projet s’attèle également à accroître la qualité de l’enseignement et de l’apprentissage dans l’ensemble du pays, avec un accent sur les matières scientifiques, l’informatique et les langues.

Ce financement supplémentaire couvrira l’ensemble des treize régions tout en se focalisant sur les cinq régions les plus pauvres initialement identifiées. Par ailleurs, il permettra de renforcer les capacités institutionnelles de pilotage aux niveaux central et déconcentré.

« Cet appui de la Banque mondiale permettra de renforcer les acquis du PAAQE et confortera le gouvernement dans sa quête d’extension de l’accès, de la qualité et de résultats tangibles dans le secteur de l’éducation », explique Maimouna Fam Mbow, responsable des Opérations de la Banque mondiale pour le Burkina Faso. « Le projet vient aussi en appui à la stratégie du gouvernement pour faire face aux défis de fermeture des classes liés à l’insécurité et à la pandémie de la COVID-19 », a-t-elle ajouté.

Le projet s’inscrit également dans la ligne du plan national de développement économique et social (PNDES) du Burkina Faso pour la période 2016-2020, dont l’un des axes stratégiques est le développement du capital humain.

« Cet appui porte diverses solutions innovantes visant à assurer, non seulement, la continuité de l’éducation dans les situations d’urgence sanitaire et sécuritaire, mais également les performances scolaires des élèves. Ces objectifs constituent des défis majeurs auxquels le système éducatif est actuellement confronté et pour lesquels, la Banque mondiale invite l’ensemble des acteurs du système éducatif à unir leurs efforts et leurs ressources », explique Adama Ouédraogo, chef d’équipe du projet à la Banque mondiale.

 

* L’Association internationale de développement (IDA) est l’institution de la Banque mondiale qui aide les pays les plus pauvres de la planète. Fondée en 1960, elle accorde des dons et des prêts à taux faible ou nul pour financer des projets et des programmes de nature à stimuler la croissance économique, réduire la pauvreté et améliorer la vie des plus démunis. L’IDA figure parmi les principaux bailleurs de fonds des 76 pays les plus pauvres de la planète, dont 39 se trouvent en Afrique. Ses ressources bénéficient concrètement à 1,6 milliard de personnes. Depuis sa création, l’IDA a soutenu des activités de développement dans 113 pays. Le volume annuel de ses engagements s’est élevé en moyenne à 21 milliards de dollars au cours des trois dernières années, 61 % environ de ce montant étant destinés à l’Afrique.

Contacts :

À Ouagadougou : Lionel Yaro, (+226) 25 49 63 00, lyaro@worldbank.org

 

Pour en savoir plus sur les activités du Groupe de la Banque mondiale au Burkina Faso, rendez-vous sur : http://www.banquemondiale.org/fr/country/burkinafaso

Pour en savoir plus sur l’IDA : http://ida.banquemondiale.org/»

 

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