Le processus d’explication du Plan national de développement économique et social (PNDES) se poursuit. Ce samedi 19 novembre 2016, c’était au tour de la Coordination des associations et mouvements pour la vulgarisation du programme du président (CAMVPP) de bénéficier à travers une conférence publique d’échanges directs avec le premier ministre à la maison du peuple de Ouagadougou. kaba

Face aux mouvements associatifs de la région du Centre favorables au programme du président Rock Kaboré, Paul Kaba Thiéba a déroulé les différents axes du PNDES, dans une maison du peuple bondée d’associations.

Il fallait expliquer, démontrer, montrer et convaincre du bien fondé du PNDES. Et ça, le premier ministre Paul KabaThiéba semble l’avoir réussi face à la Coordination des associations du Centre. Du moins si l’on se fie aux applaudissements dont il a bénéficiés au cours des explications.

Pour Paul Kaba, le PNDES, s’il est totalement financé, sa mise en œuvre devrait « sortir le Burkina Faso de la pauvreté ». Il qualifie ce plan de « remède » qui devrait permettre au pays de renouer avec une véritable croissance économique, gage de stabilité politique et de bien être social.

Il estime que le financement du PNDES doit être l’affaire de tous. C’est pourquoi a-t-il dit: « je vous exhorte chacun depuis son association à jouer le rôle qui est le sien, parce que personne ne viendra nous sortir de notre sous-développement. C’est nous-mêmes qui devons construire notre avenir, c’est-à-dire l’avenir du Burkina Faso ».

Le représentant de la Coordination des associations et mouvements pour la vulgarisation du programme du président (CAMVPP) a exprimé le soutien de sa coordination au PNDES. Il juge que ce plan qui résume la vision du président Rock Kaboré est la solution aux maux sociaux et économiques du Burkina. Et « nous la CAMVPP, nous soutenons entièrement ce nouveau plan mis en place par la politique du président Rock Marc Christian Kaboré » a-t-il déclaré.

Des échanges directs ont eu lieu au cours de cette conférence publique. Des acteurs du privé en passant par le tertiaire et les étudiants, chacun avait une question à poser ou une préoccupation à soumettre au premier ministre.

La police des échanges a été assurée par le premier ministre, assisté par des membres du gouvernement tel que la ministre de l’économie, le ministre de la justice… et par Alain SIRI, membre de rédaction du PNDES.

Joachim Batao
Burkina Demain

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