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Eliminatoires Coupe du Monde 2026 : Les Etalons confortent leur position de 2e du Groupe A

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Par cette victoire obtenue de haute lutte à Bissau, les Etalons ont été à la hauteur des attentes de ses supporters

Dans le cadre de la sixième journée des éliminatoires de la Coupe du monde de football 2026, les Etalons du Burkina Faso ont battu ce 24 mars 2025 à Bissau les Djurtus sur le score de 2 buts à 1, grâce un doublé de Franck Lassina Traoré.

Un gros échec pour les Djurtus battus sur leurs propres installations

Avec cette victoire, les poulains de Brama Traoré qui occupaient déjà la deuxième place du Groupe A avec 8 points + 5, renforcent leur position avec désormais 11 points +6 derrière les Pharaons d’Egypte, 1er du Groupe et crédités de 13 points + 11 à l’issue de la 5e journée desdites éliminatoires.

Quoi qu’il arrive dans les autres matches du groupe au cours de cette sixième journée, les Etalons sont donc sûrs de demeurer à cette deuxième en attendant la septième journée des éliminatoires de la Coupe du monde de football 2026, zone Confédération africaine de football.

Burkina Demain

Sud-Ouest : Les initiatives présidentielles au cœur d’un Forum régional à Banfora

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Officiels et participants au forum posant pour la postérité

En conclave dans la salle polyvalente de Banfora le samedi 22 mars dernier, les ressortissants du Sud-Ouest dans les Cascades ont échangé sur les initiatives présidentielles entreprises par le Président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré. Ainsi, au regard du contexte actuel de crise que notre pays traverse depuis plus d’une décennie, cette diaspora entend voir comment apporter sa pierre de contribution pour soutenir le Président du Faso dans sa vision et sa politique de développement du pays.

Les membres du présidium du forum dont Sa Majesté Bifaté II, Chef de Canton de Gaoua (au milieu); (à droite et en blanc) Jonas Hien, Président du comité national d’organisation et Cielo Vicente Hien, Chargé de Mission auprès de la Présidence dans le Sud-Ouest ; à gauche de Sa Majesté, Docteur Dari Anselme Dah, modérateur.

À cet effet, Sa Majesté Bifaté II, Chef de Canton de Gaoua, accompagné de Cielo Vicente Hien, chargé de mission auprès de la Présidence dans le Sud-Ouest, de Jonas Hien, Président du comité national d’organisation, du PDS de Banfora, Yakouba Barro, également Président du comité d’organisation au niveau local, ont tenu en haleine l’ensemble des participants durant tout le déroulement du forum.

«L’Union fait la Force». C’est le slogan fétiche que ces ressortissants du Sud-Ouest ont porté sur le cœur à l’occasion de leur forum régional à Banfora ce 22 mars car, à les entendre s’exprimer, le Président du Faso ne doit à lui-seul batailler pour réaliser tous ces grands projets. Il a indéniablement besoin de l’apport de la population pour relever ces défis. D’où un appel est lancé à tous les filles et fils du Sud-Ouest de s’y investir pour l’atteinte des objectifs. Alors, après avoir entonné en chœur le ditanyè, l’hymne de la victoire, les participants à ce forum ont communiqué sur plusieurs thématiques multi sectorielles. Par ailleurs, cette diaspora a vivement apprécié l’ensemble des grands chantiers de développement déjà exécutés ou en cours depuis l’arrivée au pouvoir du Président Traoré».

«C’est vraiment à féliciter»

S’exprimant, Sa Majesté Bifate II, Chef de Canton de Gaoua, a salué l’initiative, remercié les acteurs et a dit sa satisfaction. «Nous remercions d’abord le comité d’organisation et l’ensemble des ressortissants du Sud-Ouest qui ont fourni beaucoup d’efforts pour que nous puissions nous réunir pour communiquer. C’est très salutaire. Nous sommes satisfaits de cette rencontre qui nous a permis de parler au sujet des grandes initiatives prises par le Président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré. Aujourd’hui, on voit qu’il y a beaucoup de choses qui se font. Donc, c’est vraiment à féliciter. Nous allons voir ce qui a été fait et ce qui n’a été encore réalisé et lui solliciter de l’aide pour que le Sud-Ouest puisse se développer. C’est la raison pour laquelle les ressortissants du Sud-Ouest se sont retrouvés ici à Banfora pour mûrir les réflexions», a-t-il  indiqué.

«Mobiliser les populations pour la mise en œuvre  des initiatives présidentielles dans le Sud-Ouest»

«Les initiatives présidentielles, explique  Jonas Hien, Président du comité national d’organisation, « sont de grands projets de développement que le gouvernement voudrait mettre en œuvre pour impacter la qualité de vie des Burkinabé, qui doivent se mettre en œuvre dans toutes les régions du pays. Et l’approche du gouvernement voudrait que les populations à la base s’approprient ces différentes initiatives pour comprendre les défis qu’il y a à relever, les enjeux qui y existent autour et surtout leur mobilisation à la mise en œuvre efficace de ces initiatives».

Pour ce qui concerne la région du Sud-Ouest, a-t- il poursuivi, «nous avons effectivement engagé un processus d’informations, de communication en vue de tenir un grand forum dans la région du Sud-Ouest courant avril 2025 pour présenter les grands projets de développement qui sont mis en œuvre et mobiliser les acteurs à s’engager fermement. Mais, avant d’arriver au grand forum régional de Gaoua, nous avons entrepris de rencontrer les ressortissants dans un certain nombre de localités du pays, pour partager ces informations pour relever ces défis communs. Il est tout à fait normal que l’on comprenne de quoi il s’agit. Et comment nous-mêmes, nous y impliquer fortement pour assurer leur succès».

Cielo Vicente Hien, Chargé de mission auprès de la Présidence dans le Sud-Ouest

«Nous apprécions l’engouement des ressortissants depuis la première étape à Ouagadougou. On a vu que les ressortissants étaient vraiment intéressés par ces initiatives. On nous demande dans toutes les régions de venir communiquer. Donc, nous avons organisé ce forum pour apporter des informations justes aux ressortissants du Sud-Ouest et partout au Burkina pour qu’ils puissent vraiment comprendre le contenu de ces initiatives, leur présenter les grands projets que ces initiatives vont apporter pour le développement de la région du Sud-Ouest et également leur demander d’accompagner ces idéaux de son Excellence Capitaine Ibrahim Traoré», s’est félicité pour sa part, Cielo Vicente Hien, chargé de mission auprès de la Présidence dans le Sud-Ouest.

Agriculture, santé, éducation, infrastructures, développement communautaire …

Yakouba Barro, PDS de Banfora et Président du comité d’organisation au niveau régional

Les thématiques qui seront développées au profit des participants se rapportent en réalité aux domaines d’intervention où des grands projets devraient être mis en œuvre. Il s’agit notamment des domaines de l’agriculture, de la santé, de l’éducation, des infrastructures, du développement communautaire, des sports. «Tout ceci, il faut que les citoyens comprennent et voient quelle est leur part de rôle à jouer effectivement pour que ces différents domaines soient traduits en réalité», assure Jonas Hien.

Soumaila Soma, Banfora

Burkina Demain

AJB : Un nouveau Bureau exécutif de 7 membres

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Au terme d’un Congrès extraordinaire tenu ce 21 mars 2025 au Centre national de presse Norbert Zongo, à Ouagadougou, l’Association des journalistes du Burkina -AJB – a renouvelé son instance dirigeante. A l’issue de ce congrès extraordinaire, le nouveau bureau exécutif de l’AJB fort de 7 membres, se compose ainsi qu’il suit :

– Président : ́

– Vice-président chargé des projets et des questions administratives :

– Secrétaire Général :

– Secrétaire Chargé de l’Ethique professionnelle, de la Défense de la Liberté de Presse : ́

– Secrétaire chargé de l’Information, de la formation et de l’organisation :

– Secrétaire chargé des affaires sociales et juridiques :

– Secrétaire chargé des ressources financières et du patrimoine :

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«L’Afrique doit conduire son propre destin dans un monde qui change rapidement» – Claver Gatete  

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Claver Gatete, Secrétaire exécutif de la CEA, appelle l'Afrique à prendre son destin en main

La 57e session de la Conférence des ministres africains des finances, de la planification et du développement économique de la Commission économique pour l’Afrique s’est achevée par un appel vibrant de Claver Gatete, Secrétaire exécutif de la CEA, pour que l’Afrique s’approprie et poursuive son propre programme de développement.

Claver Gatete, Secrétaire exécutif de la CEA, appelle l’Afrique à prendre son destin en main

«L’Afrique doit conduire son propre destin dans un monde qui change rapidement » – Claver Gatete

Addis-Abeba, 19 mars 2025 (CEA) – La 57e session de la Conférence des ministres africains des finances, de la planification et du développement économique de la Commission économique pour l’Afrique s’est achevée par un appel vibrant de Claver Gatete, Secrétaire exécutif de la CEA, pour que l’Afrique s’approprie et poursuive son propre programme de développement.

M.Gatete a déclaré que la réunion s’est tenue à un moment de profonds changements mondiaux, qui appellent à une réflexion sur les prochaines étapes que le continent doit prendre.

Il a déclaré que le continent devait reconnaître que les réalignements économiques mondiaux, la révolution technologique et les changements dans le commerce, les investissements et les flux d’aide arrivaient à un moment où l’architecture financière mondiale s’est révélée inadaptée aux objectifs contemporains.

«L’Afrique, face à ces développements mondiaux, n’a pas d’autre choix que d’agir – et d’agir de manière proactive », a-t-il souligné, notant que « ce qui est devenu très clair dans nos délibérations, c’est que l’Afrique doit prendre en main son propre destin économique ».

M.Gatete a déclaré que la résolution de la conférence sur le développement des chaînes de valeur reflétait l’engagement des États membres en faveur de l’industrialisation, du renforcement du commerce intra-africain et de la valeur ajoutée, et pourrait s’avérer décisive pour briser la dépendance de l’Afrique vis-à-vis des exportations de matières premières.

« Alors que les chaînes d’approvisionnement mondiales sont en train d’être reconfigurées et qu’un nouveau marché continental de libre-échange prend forme, l’Afrique doit repenser et réorganiser ses réseaux d’approvisionnement, de production et de commerce pour plus de résilience et de durabilité », a-t-il déclaré.

La résolution sur l’intelligence artificielle, a déclaré M. Gatete, a souligné la capacité de la technologie à transformer le continent. « Avec une contribution prévue de l’IA à hauteur de 1,2 billion de dollars à l’économie africaine d’ici 2030 et une augmentation du PIB de 5,6 %, l’opportunité qui s’offre à nous est indéniable », a-t-il déclaré.

Soulignant que la ZLECAf est la meilleure chance du continent de stimuler le commerce et de réduire la dépendance vis-à-vis des marchés extérieurs, M. Gatete a appelé les pays africains à passer d’engagements à des actions concrètes en faveur de cette politique. « En fin de compte, nous devons repenser la façon dont nous faisons les choses, et nous avons une réponse dans la ZLECAf », a-t-il déclaré.

-Fin-

À propos de la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique

Créée par le Conseil économique et social (ECOSOC) des Nations Unies (ONU) en 1958 en tant que l’une des cinq commissions régionales de l’ONU, la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA) a pour mandat de promouvoir le développement économique et social de ses États membres, de favoriser l’intégration intrarégionale et de promouvoir la coopération internationale pour le développement de l’Afrique.

La CEA est composée de 54 États membres et joue un double rôle en tant qu’organe régional de l’ONU et en tant qu’élément clé du paysage institutionnel africain. Pour plus d’informations, consulter : www.uneca.org Publié par : Section des communications Commission économique pour l’Afrique PO Box 3001 Addis-Abeba Ethiopie Tél. : +251 11 551 5826 E-mail : eca-info@un.org

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Section de la communication

Commission économique pour l’Afrique

Boîte postale 3001

Addis-Abeba

Éthiopie

Tél. : +251 11 551 5826

Courriel : eca-info@un.org »

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JME 2025 : L’appel du Ministre Roger Baro à «des engagements collectifs et individuels»

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Le Ministre de l'eau et de l'assainissement du Burkina Faso, Roger Baro

Ceci est un appel du Ministre de l’eau et de l’assainissement, Roger Baro, à l’occasion de la célébration ce 22 mars, de l’édition 2025 de la Journée mondiale de l’eau (JME). Le Ministre Baro y exhorte à des engagements collectifs et individuels pour une gestion durable de nos ressources en eau.

Le Ministre de l’eau et de l’assainissement du Burkina Faso, Roger Baro

«Journée mondiale de l’Eau (JME) 2025:  Roger BARO appelle à « des engagements collectifs et individuels  » pour une gestion durable de nos ressources en eau.

Le Burkina Faso à l’instar des autres pays du monde, célèbre ce samedi 22 mars 2025, la 33ème Journée mondiale de l’Eau. A l’occasion, le ministre de l’Environnement, de l’Eau et de l’Assainissement s’adresse aux acteurs du secteur de l’Eau et à la population afin que nous protégeons nos ressources en eau « gage d’une sécurité alimentaire et d’une résilience climatique »

 » La communauté internationale célèbre ce jour 22 Mars, la 33e Journée Mondiale de l’Eau, sous le thème « la préservation des glaciers». Cette journée est célébrée depuis 1993 après son adoption par l’Assemblée Générale des Nations Unies. Ce jour constitue un moment fort pour l’humanité en ce sens qu’il rappelle l’importance universelle de « l’eau » pour tout être vivant.

Dans le contexte international, ce thème nous interpelle sur la vulnérabilité de plus en plus importante des glaciers et la nécessité de prendre des mesures idoines pour les protéger au regard de leurs contributions à la régulation du cycle mondial de l’eau et le régime climatique global. Dans le monde, de nombreuses zones glacières sont vulnérables à cause du réchauffement climatique d’où la nécessité de réduire notre empreinte Carbonne à travers des modes de production et de consommation durables.

Dans le contexte climatique et hydrogéologique de notre pays, les ressources en eau sont à la fois insuffisantes et vulnérables, d’où la nécessité de les protéger. En effet, en plus du stress hydrique et des phénomènes climatiques extrêmes, les ressources en eau sont sujettes à des pollutions diverses dues à des activités non contrôlées tels que l’orpaillage et les déchets urbains.  C’est pourquoi, tout en nous solidarisant avec la communauté internationale, nous commémorons la Journée sous le thème « La préservation des ressources en eau, gage d’une sécurité alimentaire et d’une résilience climatique au Burkina Faso ». Il est crucial aujourd’hui de mobiliser suffisamment de ressources en eau mais il est autant nécessaire de les protéger afin de garantir de façon durable la sécurité alimentaire, l’accès universel des populations à l’eau potable et les autres usages pour assurer le développement.

Au cours de ces dernières années, d’énormes progrès ont été réalisés dans le secteur de l’eau dont il importe de les noter. Il s’agit de :

– l’opérationnalisation des structures de gestion des bassins hydrographiques ;

– le développement du financement endogène à travers la contribution financière en matière d’eau. Ces ressources ont permis :

-la réalisation de plus de dix mille trois cent trente-six (10 336) hectares de bandes de servitude ;

– la libération des berges de soixante-seize (76) barrages ;

-la protection des berges de quinze (15) barrages ;

la destruction des végétaux aquatiques envahissantes dans sept (07) retenues d’eau ;

– le contrôle de mille trois cent cinquante-sept (1357) producteurs d’eau préemballées.

En dépit de ces efforts consentis, il est important de rappeler l’immensité du travail qui attend l’ensemble des acteurs du domaine de l’eau.

En effet, au-delà des difficultés liées à la nature, de graves menaces dues à l’action de l’Homme, pèsent sur les ressources en eau. Il s’agit de leur gaspillage, des diverses activités polluantes, du non-respect des normes de production de l’eau, du non-respect de la règlementation en matière d’eau.

A titre illustratif, au cours de ces trois dernières années, nous avons enregistré 783 sanctions prononcées pour des faits et agissements contraires à la règlementation en vigueur dont le montant des amendes s’élèvent à plus de dix-neuf millions (19 000 000) de Francs CFA avec des peines privatives de liberté.

C’est pourquoi dans le cadre de cette commémoration, nous procéderons au lancement officiel des activités des services de police de l’eau pour mettre en évidence leur rôle dans la protection durable de nos ressources en eau.

Cette Journée Mondiale de l’Eau est un tremplin pour tous les citoyens et acteurs du domaine pour renouveler et prendre une fois de plus des engagements collectifs et individuels afin de contribuer à la gestion durable de nos ressources en eau. »

Le Ministre de l’Environnement, de l’Eau et de l’Assainissement

Roger BARO,

  Officier de l’ordre de l’Etalon»

Eliminatoires Coupe du Monde 2026 : Les Etalons se relancent, les Pharaons confortent leur position

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Dans l’attente de la sixième journée des éliminatoires de la Coupe du monde de football 2026 prévue les 24 et 25 mars 2025 ; les Etalons du Burkina Faso se sont relancés dans le Groupe A à l’issue de la 5e journée desdites éliminatoires grâce à leur franche victoire 4-1 face aux requins de la mer rouge de Djibouti ce 21 mars au Maroc.

Avec leur victoire 4-1 face aux Requins de la mer rouge, les Etalons s’emparent de la 2e place du groupe A
Les requins de la mer rouge ont réduit le score en fin de la deuxième mi-temps sur un penalty

Avec cette victoire 4-1 sur Djibouti, les Etalons du Burkina remontent dans le classement de ces éliminatoires de la Coupe du monde 2026 de football. En effet, les poulains de Brama Traoré occupent la deuxième du Groupe A avec 8 points + 5 au compteur, talonnés par les Leone Stars de la Sierra Leone, crédité également de 8 points mais avec un goal-average inférieur (+1). Pour se hisser aussi près des Etalons dans le classement, les Leone Stars ont battu, le 20 mars dernier à Freetown, les Djurtus de la Guinée Bissau par 3-1.

Les Pharaons restent confortablement leader du Groupe A avec 13 points + 11, suivi des Etalons avec 8 points + 5, talonnés par les Leone Stars, crédités aussi de 8 points + 1

Autres vainqueurs de la 5e journée des éliminatoires de la Coupe du monde 2026 zone confédération africaine de football (CAF) ; les Pharaons d’Egypte qui sont allés conforter leur position de leader à Addis Abeba où ils ont disposé sur place de l’équipe nationale éthiopienne, les «Walya»  de 2 buts à 0. Les pharaons affichent désormais dans leur compteur : 13 points, + 11.

Attention à un sursaut des Djurtus de la Guinée Bissau défaits 1-3 par les Leone Stars de la Sierra Leone
Les Leone Stars de la Sierra Leone après avoir tenu les Etalons en échec, les talonnent désormais du Groupe A avec également 8 points au compteur

Cinq points les séparent désormais des Etalons qui devraient, s’ils désirent se rapprocher davantage d’eux, aller s’imposer le 24 mars prochain à Bissau, lors du match de la 6e des éliminatoires du mondial qui les opposera aux Djurtus de la Guinée Bissau par 3-1. Relégués à la quatrième place du groupe A, les Djurtus seront certainement animés d’une volonté de se relancer après leur échec de Freetown. Affaire à suivre…

Burkina Demain

Banfora : Chrétiens et Musulmans rompent ensemble leur jeûne

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Dans les Cascades, les chrétiens et les musulmans ont, tout comme des membres d’une seule et même famille, communié leur foi au cours d’une rupture collective du jeûne. Avec au menu du buffet commun, une gamme variée de mets locaux et du jus en très grande quantité, servis à tous les fidèles sur place, selon les préférences et goûts de chacun.  C’était le jeudi 20 mars dernier à la Place de la Nation de Banfora, chef-lieu des Cascades.

Chrétiens et musulmans de Banfora ont rompu ensemble leur jeûne ce 20 mars 2025

Initiée par Fatouma Coulibaly, promotrice du Festival Kotto Yiriwa de Banfora et Clément Kaboré, fondateur du Cours privé le partenaire (CPP), la rupture collective du jeûne musulman et chrétien ce 20 mars 2024 à Banfora, s’inscrit dans le cadre de la sauvegarde de la paix et de la promotion de la cohésion sociale au sein de la population. Ainsi, s’inspirant d’initiatives similaires organisées à Ouagadougou et Bobo Dioulasso, les deux principaux acteurs (musulmans et chrétiens) ont savamment mis les petits plats dans les grands pour réaliser cette activité grandiose de grande portée divine qui a ratissé large.

Evènement rassembleur au-delà des musulmans et chrétiens

Sa Majesté Fadouga II, Chef de Canton de Banfora (au milieu) vêtu en blanc

A ce spécial rendez-vous de ce mois de bénédictions, du pardon et de partage, Sa Majesté Fadouga II, Chef de Canton de Banfora et bien d’autres notabilités coutumières et religieuses se sont allègrement joints pour le célébrer en apothéose. Aussi, des autorités administratives de la région ne sont pas restées en marge de l’activité. Yakouba Barro et Fatoumata Karama/ Soulama, respectivement Président et 1re Vice-présidente de la Délégation Spéciale de Banfora, Ibrahim Traoré, Directeur régional des Droits Humains des Cascades, tous confondus par un bain de foule, ont savouré ces instances douces de symbiose interconfessionnelle.

Fatouma Coulibaly, heureuse initiatrice de l’évènement, le justifie par le souci de la cohésion sociale

Par ailleurs, l’occasion faisant le larron, cette activité de brassage des diverses appartenances religieuses a prouvé en cette première édition que des bienfaits du vivre ensemble dans l’unicité, gage de paix pour notre nation surtout dans ce contexte actuel marqué par l’insécurité, des conflits.

Enfin, après la rupture du jeûne, les chrétiens et les musulmans ont prié ensemble. Cette prière sera suivie de bénédictions pour un retour de la paix dans notre pays. Cette célébration s’est soldée par le partage de deux tonnes de sacs de riz aux personnes démunies et nécessiteuses. Notons bien que ce riz est une dotation gratuite de la part d’une structure de la place et a également été distribué gratuitement.

Des acteurs de l’évènement s’expriment

Des organisateurs et participants de la présente cérémonie de rupture collective du jeûne se sont prononcés sur la tenue de l’évènement. Voici leurs propos.

Fatouma Coulibaly, promotrice du Festival Kotto Yiriwa de Banfora : «C’est pour la paix au Burkina, la cohésion à Banfora»

Fatouma Coulibaly, initiatrice de l’évènement

«Dans ce mois de partage pour la rupture collective, d’abord il faut dire que c’est dans le cadre de la cohésion. J’ai vu qu’à Banfora ici, il y a des associations de musulmans dans lesquelles certains musulmans n’en font pas partie. Ou certains musulmans invitent d’autres musulmans qui ne partent pas à ‘leurs activités. Et d’autres musulmans qui ne fréquentent pas les chrétiens et pourtant accompagnent tout le temps les musulmans ou les gens du 15 mai quand ils ont leurs activités c’est-à-dire les gens qui ne prient pas comme nous. Donc, l’initiative est venue de là. Comme on le dit, «Quand on est seul on va vite, mais ensemble on va plus loin». L’idée est juste venue pour la cohésion, faire la promotion du vivre ensemble parce que chacun a une culture différente, une religion différente mais nous sommes tous de Banfora. Nous sommes tous des humains. On a le même sang qui coule dans nos veines. La prière qu’ils ont faite ce soir, c’est pour la paix au Burkina, la cohésion encore à Banfora. C’est une première. On espère prochainement mieux faire que ça. Vraiment, je suis satisfaite parce qu’on ne s’attendait pas à une telle réussite».

Pour Omar Ouattara, représentant les musulmans : «Nous rendons Grâce à Allah  dans sa Miséricorde… »

«Al hamdou lilahi ! Nous rendons Grâce à Allah  dans sa Miséricorde et à Mohammad (PSL), Son Envoyé ! C’est grâce à Dieu que nous sommes réunis aujourd’hui soir à travers l’initiative de notre sœur Fatouma Coulibaly et notre frère Clément Kaboré qui ont mis la main dans la main afin de faire cette noble organisation au nom de la nation, faire appel aux notabilités coutumières et religieuses pour que nous puissions prier ensemble et cultiver en nous le pardon, la tolérance, la paix. Nous sommes vraiment tous émus de cette organisation».

Amédé Zerbo, représentant les chrétiens : «Nous invoquons la paix sur ce pays, sur chacun de nous »

«Nous invoquons la paix sur ce pays, sur chacun de nous, sur notre grande ville Banfora et toute la région. Dieu renouvelle ses bontés chaque jour. Dieu est bon. Et c’est cette bonté qui permet aux fils de se retrouver ensemble. Et nous sommes vraiment des frères parce que dans chacune de nos familles, vous verrez bien des musulmans, des chrétiens, ceux de la religion traditionnelle. Et ça fait beau. Ça ne nous empêche pas de vivre ensemble dans la paix, dans la joie parce que l’odeur de tout bonheur c’est Dieu lui-même. Donc, que le Seigneur renforce cette unité ! Que le Seigneur bénisse notre cohésion sociale ! Que la paix abonde au cours de cette année 2025. Que la paix rejoigne nos familles, nos cœurs, ce pays, notre région, notre continent et le monde entier ! »

Idrissa Soulama, représentant Sa Majesté Fadouga II : «L’être humain, c’est l’enfant d’une même personne»

«Au nom de Sa Majesté Fadouga II,  Chef de Canton de Banfora, les distinguées salutations à tous,  aux autorités !  L’être humain, c’est l’enfant d’une même personne. Il y a les musulmans, les chrétiens, les animistes. Cela signifie que nous venons d’une seule personne et nous devrions nous unir dans la paix, le pardon, la cohésion. Que Dieu maintienne le pays dans la paix !»

Ibrahim Traoré, Directeur régional des Droits humains des Cascades : «c’est surtout le symbole de la paix, de la cohésion sociale, du vivre ensemble…dont notre pays a besoin»

«Tout d’abord, je voudrais remercier les initiateurs de cette belle opportunité. Je pense que c’est surtout le symbole de la paix, de la cohésion sociale, du vivre ensemble, de la cohabitation pacifique dont notre pays a besoin aujourd’hui plus que jamais. Et il faut que nous arrivions à taire nos différences du point de vue religieuse, ethnique et politique et d’autres appartenances que nous avons dans ce pays. À ceux qui prêtent la confusion, la religion ne doit pas nous diviser. Nos différences doivent être une force, une richesse qui nous complètent les uns les autres et non une différence qui doit nous distinguer».

Propos recueillis par S.S

Soumaila Soma, Banfora

Burkina Demain

Plateau central : Le Président du Faso à Ziniaré

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Le Président du Faso, Chef de l’État, Son Excellence le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, est arrivé ce jeudi matin à Ziniaré, dans le cadre d’une sortie officielle dans la région du Plateau-Central.  Le Chef de l’État a été accueilli à l’entrée de la ville de Ziniaré par les autorités administratives et coutumières de la région ainsi qu’une population en liesse. Communiqué

«Séjour du Président du Faso dans la région du Plateau-Central :

 (Ziniaré, 20 mars 2025). Le Président du Faso, Chef de l’État, Son Excellence le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, est arrivé ce jeudi matin à Ziniaré, dans le cadre d’une sortie officielle dans la région du Plateau-Central.

Le Chef de l’État a été accueilli à l’entrée de la ville de Ziniaré par les autorités administratives et coutumières de la région ainsi qu’une population en liesse.

Au cours de son séjour dans le Plateau-Central, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ va accorder des audiences à des personnalités de la région et échanger avec les Forces vives autour des questions de développement.

Le Président du Faso va également présider au cours de la journée la cérémonie officielle d’inauguration d’une cimenterie dénommée Société industrielle Sino Burkina de ciments S.A. dans le village de Laongo, commune de Ziniaré.

Direction de la communication de la Présidence du Faso»

Compte rendu du Conseil des Ministres du 19 mars 2025

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D'importantes décisions ont été prises au cours du Conseil de ce jeudi 11 septembre 2025

Le Conseil des ministres s’est tenu à Ouagadougou, le mercredi 19 mars 2025, en séance ordinaire, de 09 H 00 mn à 11 H 46 mn, sous la présidence de Son Excellence le Capitaine Ibrahim TRAORE, Président du Faso, Président du Conseil des ministres. Il a délibéré sur les dossiers inscrits à son ordre du jour, entendu des communications orales, procédé à des nominations et autorisé des missions à l’étranger.

I DELIBERATIONS

I 1  AU TITRE DE LA PRIMATURE

Le Conseil a adopté un décret portant nomination de Membres au Conseil de régulation de l’Autorité de régulation de la commande publique (ARCOP).

L’adoption de ce décret permet la nomination de deux (02) Membres au Conseil de régulation de l’Autorité de régulation de la commande publique, conformément au décret n°2023-1276/PRES-TRANS/PM/MDICAPME du 5 octobre 2023 portant modalités de désignation des membres des organes des sociétés à capitaux publics, des établissements publics et des structures spécifiques.

I 2  AU TITRE DU MINISTERE DE L’ECONOMIE ET DES FINANCES

Le Conseil a adopté trois (03) rapports.

Le premier rapport est relatif à un projet de décret portant opérationnalisation de la fonction d’ordonnancement des dépenses du budget de l’Etat au sein des ministères et institutions.

Ce décret vise l’opérationnalisation de la structure en charge de la liquidation et de l’ordonnancement au sein des ministères et institutions. Il s’agit d’une étape importante dans la dévolution effective de la fonction d’ordonnancement aux présidents d’institution et ministres sectoriels.

L’adoption de ce décret permet un meilleur encadrement de la fonction d’ordonnancement des dépenses du budget de l’Etat et une plus grande efficacité de la gestion des ressources dans l’administration publique.

Le deuxième rapport est relatif aux tendances de l’économie du Burkina Faso en 2024 et les perspectives sur la période 2025-2027.

Pour l’année 2024, l’activité économique enregistre une bonne performance avec un renforcement de son rythme de croissance par rapport à 2023. En effet, la croissance économique s’est accélérée pour atteindre 5,1% en 2024 après 3,0% en 2023, en révision de +0,1 point de pourcentage par rapport aux prévisions d’août 2024, où le taux de croissance était estimé à 5,0%. Cette légère révision à la hausse est en lien avec la forte progression de la valeur ajoutée du secteur primaire à la faveur des retombées de l’Initiative présidentielle dans le secteur agricole en dépit de la contreperformance de l’extraction d’or.

Le dynamisme d’ensemble de la croissance en 2024 est porté par les secteurs primaire (+2,5%) et tertiaire (+2,8%), le secteur secondaire se contractant de 0,2 point de pourcentage.

L’inflation pour l’ensemble de l’année 2024, en moyenne annuelle est projetée à 4,2%. Ce niveau est en lien avec les mesures prises par le Gouvernement et les effets du resserrement de la politique monétaire appliquée par la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) depuis 2023.

Au titre des finances publiques, les recettes sont projetées en augmentation de 15,2% pour s’afficher à 3 105,0 milliards F CFA soit 22,7% du Produit intérieur brut (PIB) après 2 694,8 milliards F CFA en 2023. Ainsi, le taux de pression fiscale serait de 19,2% en 2024 après 17,8% en 2023. Quant aux dépenses, elles progresseraient de 7,6% par rapport à 2023, pour se chiffrer à 3 795,9 milliards F CFA, soit 27,7% du PIB.

Sur la période 2025-2027, il est attendu de bonnes perspectives pour l’économie burkinabè. En effet, sous les hypothèses d’une accalmie des tensions géostratégiques au niveau international et dans la sous-région ouest africaine, d’un bon ancrage de la Confédération des Etats du Sahel (AES), d’une amélioration de la situation sécuritaire et d’une pluviosité favorable, l’activité économique enregistrerait une croissance de 5,6% en 2025. Pour les années 2026 et 2027, l’activité économique afficherait des croissances respectives de 6,4% et 4,7%.

L’inflation en moyenne annuelle resterait maîtrisée à 1,5% sur l’ensemble de la période 2025-2027, sous les hypothèses d’une bonne campagne agricole, de l’amélioration de la situation sécuritaire nationale, de la poursuite des mesures gouvernementales de lutte contre la vie chère et de l’atténuation des tensions géopolitiques.

L’adoption de ce rapport permet de disposer d’un profil actualisé sur les tendances de l’économie du Burkina Faso en 2024 et les perspectives sur la période 2025-2027.

Le troisième rapport est relatif à un projet de décret portant autorisation de perception de recettes relatives à certaines prestations du ministère de la Défense et des anciens combattants.

Les nouvelles prestations sont liées :

-à la fabrication, à l’assemblage et à la transformation d’armes de guerre, de leurs pièces, éléments, munitions et autres matériels connexes ;

-à la réparation d’armes de guerre, de leurs pièces, éléments, munitions et autres matériels connexes ;

-au commerce d’armes de guerre, de leurs pièces, éléments, munitions et autres matériels connexes ;

-au courtage d’armes de guerre, de leurs pièces, éléments, munitions et autres matériels connexes ;

-à la délivrance des formulaires de demande ou de renouvellement des pièces et autorisations relatives à la fabrication, l’assemblage, la transformation, la réparation et au courtage des armes de guerre, de leurs pièces, éléments, munitions et autres matériels connexes.

L’adoption de ce décret permet la perception de nouvelles recettes issues des prestations du ministère de la Défense et des anciens combattants, en vue de l’élargissement de sa part contributive au budget de l’Etat.

I 3  AU TITRE DU MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR, DE LA RECHERCHE ET DE L’INNOVATION

Le Conseil a adopté deux (02) décrets portant respectivement création d’emplois et nomination de Chercheurs au Centre national de la recherche scientifique et technologique (CNRST) dans les emplois de Directeur de recherche et de Maître de recherche.

L’adoption de ces décrets permet la création de soixante (60) emplois de Chercheurs et la nomination de trois (03) chercheurs dans l’emploi de Directeur de recherche et de vingt-quatre (24) chercheurs dans l’emploi de Maître de recherche au Centre national de la recherche scientifique et technologique (CNRST).

II COMMUNICATIONS ORALES

II 1  Le ministre de la Communication, de la culture, des arts et du tourisme a fait au Conseil plusieurs communications parmi lesquelles :

-une communication relative à la célébration de la 3e édition du Mois du patrimoine burkinabè et de la 2e édition de la Journée des coutumes et traditions (JCT).

Cette année, la célébration du Mois du patrimoine burkinabè sera concomitante de la Journée des coutumes et traditions.

Institué en 2023, le Mois du patrimoine couvre la période du 18 avril au 18 mai de chaque année. Il offre l’occasion au peuple burkinabè de célébrer son patrimoine culturel.

La 3e édition du Mois du patrimoine est placée sous le thème « Patrimoine culturel et développement économique ».

L’innovation majeure de cette édition est le lancement d’un jeu de challenge shooting qui récompensera, à l’édition prochaine, les meilleures prises de vues sur des sites patrimoniaux ou des visuels qui promeuvent au mieux les objectifs poursuivis par cette initiative.

Quant à la Journée des coutumes et traditions (JCT) célébrée le 15 mai, elle concourt au renforcement de la laïcité de l’Etat en offrant aux adeptes du culte ancestral une occasion de valoriser le riche patrimoine culturel national.

Pour cette 2e édition deux activités majeures sont prévues. Il s’agit de l’organisation d’une série d’ateliers d’information et de sensibilisation et de l’organisation au Musée national de journées dédiées aux communautés étrangères vivant au Burkina Faso. Il est également prévu dans chaque région administrative des journées dédiées aux communautés ethnoculturelles nationales.

-une communication relative à la tenue de la 28e édition du concours «Prix Galian».

Le concours « Prix Galian » est consacré à la promotion des productions dans les différents corps de métiers de la presse écrite, de l’audiovisuel et de la presse en ligne. Il vise à créer une saine émulation entre les professionnels des médias.

Pour l’édition 2025, le concours « Prix Galian » enregistre une innovation, celle de l’institution d’un «Galian d’or»  qui récompense les candidats ayant remporté trois fois le «Prix Galian» dans le même genre.

La proclamation du palmarès est prévue le 13 juin 2025 à Ouagadougou.

-une communication relative à la tenue de la 18e édition de la Foire internationale du livre de Ouagadougou (FILO).

La 18e édition de la FILO se tiendra du 25 au 30 novembre 2025 à Ouagadougou sous le thème « Livre, identité culturelle et souveraineté nationale ».

L’organisation de cette édition s’inscrit dans la vision stratégique de contribution du livre à la valorisation de notre identité culturelle et à l’affirmation de notre souveraineté.

Les innovations majeures de cette édition sont la hausse du nombre de Grands prix du Livre qui passe de six (06) à dix (10) et l’organisation des olympiades littéraires dans les Universités et Instituts supérieurs.

La FILO est une vitrine de promotion du livre et de la lecture publique, une tribune d’échanges et de partage d’expériences entre les acteurs et les professionnels de la filière du livre et un cadre de saine émulation entre les maillons de la chaîne du livre burkinabè.

II 2 Le ministre de la Justice et des Droits humains, chargé des relations avec les institutions, Garde des sceaux a fait au Conseil une communication relative à la tenue de la 3e édition de la Journée nationale de protection des données à caractère personnel, prévue du 25 au 30 mars 2025.

Cette édition est placée sous le thème « la protection des données à caractère personnel à l’ère de la digitalisation des procédures administratives : quelle contribution des acteurs de l’écosystème du numérique ? ». Elle vise entre autres, à sensibiliser les acteurs publics et privés sur les enjeux liés à la protection des données à caractère personnel dans un environnement numérique en constante évolution et à renforcer la conformité des administrations et entreprises aux exigences légales en matière de traitement des données.

III  NOMINATIONS

III 1 NOMINATIONS DANS LES FONCTIONS INDIVIDUELLES

A  AU TITRE DE LA PRIMATURE

Les personnes dont les noms suivent sont nommées Membres au Conseil de régulation de l’Autorité de régulation de la commande publique (ARCOP), pour un premier mandat de trois (03) ans :

Au titre de l’administration publique :

– Monsieur Adama ZONGO, Mle 117 463 T, Ingénieur en génie civil, représentant le ministère des Infrastructures et du désenclavement.

Au titre de la société civile :

– Monsieur Harouna SINON, Economiste, représentant le Réseau national de Lutte anti-corruption (REN-LAC).

B AU TITRE DU MINISTERE DE L’ADMINISTRATION TERRITORIALE ET DE LA MOBILITE

-Monsieur Bertrand TOE, Mle 111 494 W, Commissaire divisionnaire de police, catégorie 1, 3e grade, 4e échelon, est nommé Directeur de Cabinet ;

-Monsieur Saïdou SANKARA, Mle 59 713 C, Administrateur civil, 1ère classe, 12e échelon, est nommé Secrétaire général.

C AU TITRE DU MINISTERE DE L’ECONOMIE ET DES FINANCES

-Monsieur Honoré Patoinsâmba ZIDA, Mle 104 304 X, Administrateur des services financiers, 1ère classe, 10e échelon, est nommé Chargé de mission ;

-Monsieur Mahamadou BOKOUM, Mle 58 429 K, Administrateur des services financiers, 1ère classe, 13e échelon, est nommé Chargé de mission ;

-Madame Aïssata OUEDRAOGO, Mle 59 638 L, Administrateur des services financiers, 1ère classe, 11e échelon, est nommée Chargé de mission ;

-Monsieur Maoloud ZOUBGA, Mle 117 233 T, Inspecteur des douanes, catégorie 1A, grade intermédiaire, 5e échelon, est nommé Chargé de mission.

D AU TITRE DU MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES, DE LA COOPERATION REGIONALE ET DES BURKINABE DE L’EXTERIEUR

-Monsieur Halidou SAVADOGO, Mle 54 607 V, Conseiller des affaires étrangères, 1ère classe, 8e échelon, est nommé Ministre Conseiller à la Mission permanente du Burkina Faso auprès des Nations unies à New York ;

-Monsieur Adama KINDO, Mle 208 204 A, Conseiller des affaires étrangères, 1ère classe, 9e échelon, est nommé Ministre Conseiller à l’Ambassade du Burkina Faso à Tripoli (Libye).

E AU TITRE DU MINISTERE DE LA JUSTICE ET DES DROITS HUMAINS, CHARGE DES RELATIONS AVEC LES INSTITUTIONS

-Monsieur Ibrahim TRAORE, Mle 113 377 F, Inspecteur de sécurité pénitentiaire divisionnaire, catégorie 1, 3e échelon, est nommé Inspecteur technique des services ;

-Monsieur Honoré Grégoire KARAMBERY, Mle 92 574 D, Inspecteur de sécurité pénitentiaire divisionnaire, catégorie 1, 4e échelon, est nommé Chargé de mission ;

-Madame Emma Adélaïde PARE/KI, Mle 130 426 U, Magistrat, 1er grade, 4e échelon, est nommée Directrice de la justice juvénile ;

-Monsieur Règma KABORE, Mle 212 237 W, Conseiller en Droits humains, 1ère classe, 8e échelon, est nommé Directeur du centre d’information, d’écoute et d’orientation en Droits humains.

F AU TITRE DU MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR, DE LA RECHERCHE ET DE L’INNOVATION

Les personnes dont les noms suivent sont nommées dans l’emploi de Directeur de recherche pour compter du 18 juillet 2024 au Centre national de la recherche scientifique et technologique (CNRST).

Pour le compte de l’Institut de l’environnement et de recherches agricoles (INERA) :

-Monsieur Lucien OUEDRAOGO, Mle 271 728 D, Maître de recherche en Géographie, est nommé Directeur de recherche en Géographie.

Pour le compte de l’Institut de recherche en sciences de la santé (IRSS) :

-Monsieur Wendkouni Henri Gautier OUEDRAOGO, Mle 110 945 V, Maître de recherche en Bactériologie-Virologie, est nommé Directeur de recherche en Bactériologie-Virologie.

Pour le compte de l’Institut des sciences des sociétés (INSS) :

-Monsieur Roger ZERBO, Mle 117 304 H, Maître de recherche en Anthropologie et sociologie de la santé, est nommé Directeur de recherche en Anthropologie et sociologie de la santé.

Les personnes dont les noms suivent sont nommées dans l’emploi de Maître de recherche pour compter du 18 juillet 2024 au Centre national de la recherche scientifique et technologique (CNRST).

Pour le compte de l’Institut de l’environnement et de recherches agricoles (INERA) :

-Madame Pascaline COULIBALY/LINGANI, Mle 271 708 G, Chargé de recherche en Lettres et sciences humaines/Sociologie de l’environnement, est nommée Maître de recherche en Sociologie de l’environnement ; Monsieur Abalo Itolou KASSANKOGNO, Mle 334 037 E, Chargé de recherche en Phytopathologie, est nommé Maître de recherche en Phytopathologie ;

-Monsieur Adama SANOU, Mle 249 830 Z, Chargé de recherche en Malherbologie, est nommé Maître de recherche en Malherbologie ;

-Monsieur Lassina SANOU, Mle 249 819 B, Chargé de recherche en Biologie et Ecologie végétales, est nommé Maître de recherche en Biologie et Ecologie végétales ;

-Monsieur Adama TRAORE, Mle 392 917 P, Chargé de recherche en Sciences du sol, est nommé Maître de recherche en Sciences du sol ;

-Monsieur Farid TRAORE, Mle 392 916 S, Chargé de recherche en Sciences et gestion de l’environnement, est nommé Maître de recherche en Sciences et gestion de l’environnement ;

-Monsieur Issaka ZIDA, Mle 225 877 C, Chargé de recherche en Entomologie/Protection des végétaux, est nommé Maître de recherche en Entomologie.

 

Pour le compte de l’Institut de recherche en sciences de la santé (IRSS) :

-Madame Missida Blandine OUEDRAOGO/BILA, Mle 271 614 C, Chargé de recherche en Lettres et sciences humaines : Anthropologie de la santé, genre, est nommée Maître de recherche en Anthropologie et sociologie de la santé ;

-Monsieur Toussaint ROUAMBA, Mle 259 779 X, Chargé de recherche en Santé publique option Epidémiologie, est nommé Maître de recherche en Santé publique option Epidémiologie ;

-Madame Rainatou SONDE/BOLY, Mle 249 874 J, Chargé de recherche en Pharmacologie, est nommée Maître de recherche en Pharmacologie-Biochimie ;

-Monsieur Mathieu NITIEMA, Mle 249 877 B, Chargé de recherche en Pharmacologie-Biochimie, est nommé Maître de recherche en Pharmacologie-Biochimie ;

-Madame Tegwinde Rebeca COMPAORE, Mle 334 046 S, Chargé de recherche en Biochimie/Biologie Moléculaire/Microbiologie, est nommée Maître de recherche en Biochimie/Biologie Moléculaire/Microbiologie.

Pour le compte de l’Institut de recherche en sciences appliquées et technologies (IRSAT) :

-Monsieur Geoffroy Romaric BAYILI, Mle 118 954 A, Chargé de recherche en Biochimie-Microbiologie, est nommé Maître de recherche en Biochimie-Micrologie ;

-Monsieur Oumarou TRAORE, Mle 225 881 M, Chargé de recherche en Phytopathologie, est nommé Maître de recherche en Phytopathologie ;

-Monsieur Yacouba YIRA, Mle 207 946 N, Chargé de recherche en Hydrologie, Hydrogéologie, est nommé Maître de recherche en Hydrologie, Hydrogéologie.

Pour le compte de l’Institut des sciences des sociétés (INSS) :

-Madame Zouanso SOULAMA/COULIBALY, Mle 52 133 E, Chargé de recherche en Sciences de l’éducation, est nommée Maître de recherche en Sciences de l’éducation ;

-Madame Asséta DIALLO, Mle 258 266 F, Chargé de recherche en Linguistique descriptive, est nommée Maître de recherche en Linguistique descriptive ;

-Monsieur Sourbar Justin Wenceslas HIEN, Mle 258 261 C, Chargé de recherche en Histoire économique et sociale, est nommé Maître de recherche en Histoire économique et sociale ;

-Monsieur Amado KABORE, Mle 226 312 Y, Chargé de recherche en Histoire sociale (Ecole/Education/Formation), est nommé Maître de recherche en Histoire sociale (Ecole/Education/Formation) ;

-Monsieur Félix OUEDRAOGO, Mle 238 343 F, Chargé de recherche en Sociologie du développement, est nommé Maître de recherche en Sociologie du développement ;

-Madame Palingwindé Inès Zoé Lydia TAPSOBA/ROUAMBA, Mle 241 739 Y, Chargé de recherche en Sociologie, est nommée Maître de recherche en Sociologie ;

-Monsieur Issa SOMBIE, Mle 334 038 R, Chargé de recherche en Sociologie-Anthropologie de la santé, est nommé Maître de recherche en Anthropologie et Sociologie de la santé ;

-Monsieur Daouda TRAORE, Mle 54 437 K, Chargé de recherche en Sciences du langage/Linguistique, est nommé Maître de recherche en Sciences du langage/Linguistique ;

-Monsieur Lassané YAMEOGO, Mle 78 080 V, Chargé de recherche en Sciences de l’information et de la communication, est nommé Maître de recherche en Sciences de l’information et de la communication

G  AU TITRE DU MINISTERE DE L’ENVIRONNEMENT, DE L’EAU ET DE L’ASSAINISSEMENT

-Monsieur Salif DERRA, Mle 204 068 S, Inspecteur de l’environnement, 1ère classe, 3e échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de l’environnement des Balé ;

-Monsieur Guirsoun Brice Moctar ZOURE, Mle 358 785 B, Ingénieur du génie rural, 1ère classe, 3e échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de l’environnement du Bam ;

-Monsieur Kiswendsida Rodrigue LEGMA, Mle 365 965 P, Technicien supérieur de l’hydraulique et de l’équipement rural, 1ère classe, 3e échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de l’environnement des Banwa ;

-Madame Juliette IDO, Mle 358 691 L, Ingénieur des travaux du génie rural, 1ère classe, 3e échelon, est nommée Directrice provinciale de l’eau et de l’assainissement de l’environnement du Bazèga ;

-Monsieur Aristide LEAMA, Mle 289 064 R, Ingénieur du génie rural, 1ère classe, 5e échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de l’environnement de la Bougouriba ;

-Monsieur Souhaïb KABORE, Mle 315 226 A, Ingénieur du génie rural, 1ère classe, 4e échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de l’environnement du Boulkiemdé ;

-Madame Maïmouna YAMPA, Mle 228 380 H, Inspecteur de l’environnement, 1ère classe, 2e échelon, est nommée Directrice provinciale de l’eau et de l’assainissement de l’environnement de la Comoé ;

-Monsieur Joseph OUARO, Mle 358 689 S, Ingénieur des travaux du génie rural, 1ère classe, 4e échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de l’environnement du Ganzourgou ;

-Monsieur Djingri NATAMA, Mle 51 902 E, Technicien supérieur en thermo-énergie, 1ère classe, 16e échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de l’environnement de la Gnagna ;

-Monsieur Désiré SARE, Mle 365 944 E, Technicien supérieur de l’hydraulique et de l’équipement rural, 1ère classe, 3e échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de l’environnement du Gourma ;

-Monsieur Adama BELE, Mle 264 661 F, Inspecteur de l’environnement, 1ère classe, 3e échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de l’environnement du Houet ;

-Madame Djamilatou OUELOGO, Mle 289 063 E, Ingénieur en génie civil, 1ère classe, 5e échelon, est nommée Directrice provinciale de l’eau et de l’assainissement de l’environnement du Kadiogo ;

-Monsieur Mathieu OUEDRAOGO, Mle 314 963 S, Ingénieur des travaux du génie rural, 1ère classe, 4e échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de l’environnement du Kénédougou ;

-Monsieur Wendinkonté Damien KABORE, Mle 322 725 A, Technicien supérieur de l’hydraulique et de l’équipement rural, 1ère classe, 4e échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de l’environnement de la Komondjari ;

-Monsieur Zoumana Amed Serge TRAORE, Mle 314 985 X, Ingénieur des travaux du génie rural, 1ère classe, 4e échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de l’environnement de la Kompienga ;

-Monsieur Steve Isaï BATIENON, Mle 373 639 W, Ingénieur du génie rural, 1ère classe, 2e échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de l’environnement de la Kossi ;

-Monsieur Germain MONE, Mle 322 668 H, Ingénieur des travaux du génie rural, 1ère classe, 4e échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de l’environnement du Koulpélogo ;

-Monsieur Abdel Aziz MAIGA, Mle 314 972 V, Ingénieur des travaux du génie rural, 1ère classe, 4e échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de l’environnement du Kouritenga ;

-Monsieur Hamado OUEDRAOGO, Mle 231 655 Y, Technicien supérieur de l’hydraulique et de l’équipement rural, 1ère classe, 4e échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de l’environnement du Kourwéogo ;

-Monsieur Ousmana OUEDRAOGO, Mle 358 688 R, Ingénieur des travaux du génie rural, 1ère classe, 3e échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de l’environnement de la Léraba ;

-Monsieur Kounso Ismaïla TRAORE, Mle 267 676 S, Inspecteur de l’environnement, 1ère classe, 2e échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de l’environnement du Mouhoun ;

-Monsieur Ibrahim OUEDRAOGO, Mle 365 974 X, Technicien supérieur de l’hydraulique et de l’équipement rural, 1ère classe, 3e échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de l’environnement du Nahouri ;

-Monsieur Issa NIKIEMA, Mle 365 933 J, Ingénieur du génie rural, 1ère classe, 2e échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de l’environnement du Namentenga ;

-Monsieur Roger SIMPORE, Mle 366 007 X, Technicien supérieur de l’hydraulique et de l’équipement rural, 1ère classe, 3e échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de l’environnement du Nayala ;

-Monsieur Mohamed TRAORE, Mle 314 974 S, Ingénieur des travaux du génie rural, 1ère classe, 4e échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de l’environnement du Noumbiel ;

-Monsieur Etienne OUEDRAOGO, Mle 278 183 M, Inspecteur de l’environnement, 1ère classe, 2e échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de l’environnement de l’Oubritenga ;

-Monsieur Idrissa KABORE, Mle 365 994 A, Technicien supérieur de l’hydraulique et de l’équipement rural, 1ère classe, 3e échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de l’environnement de l’Oudalan ;

-Monsieur Ignace NEBIE, Mle 216 283 P, Ingénieur du génie rural, 1ère classe, 9e échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de l’environnement du Passoré ;

-Monsieur Henri KIEMTORE, Mle 222 195 H, Inspecteur de l’environnement, 1ère classe, 6e échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de l’environnement du Poni ;

-Monsieur Nombié SOMA, Mle 366 247 L, Technicien supérieur de l’hydraulique et de l’équipement rural, 1ère classe, 3e échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de l’environnement du Sanguié ;

-Monsieur Fabrice Florentin Saraka KONDE, Mle 379 544 J, Ingénieur du génie rural, 1ère classe, 2e échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de l’environnement de la Sissili ;

-Monsieur Ibrahim CONSEIGA, Mle 379 539 F, Technicien supérieur de l’hydraulique et de l’équipement rural, 1ère classe, 2e échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de l’environnement de la Tapoa ;

-Monsieur Ali KABRE, Mle 358 700 P, Ingénieur des travaux du génie rural, 1ère classe, 3e échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de l’environnement du Tuy ;

-Monsieur Laneko Issouf ZOU, Mle 365 948 Y, Technicien supérieur de l’hydraulique et de l’équipement rural, 1ère classe, 3e échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de l’environnement du Yagha ;

-Monsieur Yapo DA, Mle 228 418 E, Inspecteur de l’environnement, 1ère classe, 2e échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de l’environnement du Yatenga ;

-Monsieur Adama OUEDRAOGO, Mle 358 695 D, Ingénieur des travaux du génie rural, 1ère classe, 3e échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de l’environnement du Ziro ;

-Monsieur Pegdwindé Frank Rodrigue NEBIE, Mle 314 978 K, Ingénieur des travaux du génie rural, 1ère classe, 4e échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de l’environnement du Zondoma ;

-Monsieur Mohamadi KOANDA, Mle 213 853 M, Inspecteur de l’environnement, 1ère classe, 2e échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de l’environnement du Zoundwéogo.

H AU TITRE DU MINISTERE DES SPORTS, DE LA JEUNESSE ET DE L’EMPLOI

-Monsieur Joseph POODA, Mle 46 434 B, Professeur certifié des lycées et collèges, 1ère classe, 12e échelon, est nommé Inspecteur technique des services.

III 2 NOMINATIONS DANS LES CONSEILS D’ADMINISTRATION

Le Conseil a procédé à la nomination d’Administrateurs aux Conseils d’administration :

-du Bureau national des sols (BUNASOLS), de la Société nationale de gestion du stock de sécurité alimentaire (SONAGESS), de FASO GUULGO et de FASO KOSAM au titre du ministère de l’Agriculture, des ressources animales et halieutiques ;

-des Centres hospitaliers régionaux de Dédougou (CHR-DDG), de Fada N’Gourma (CHR-FG), de Gaoua (CHR-G), de Tenkodogo (CHR-TNK), de Koudougou (CHR-KDG) et de l’Agence de gestion des soins de santé primaires (AGSP) au titre du ministère de la Santé ;

-de la Société burkinabè des fibres textiles (SOFITEX) au titre du ministère de l’Industrie, du commerce et de l’artisanat ;

-de la Société des mines de Sanbrado (SOMISA) SA, des sociétés minières KIAKA SA et OUARE MINING COMPANY SA au titre du ministère de l’Energie, des mines et des carrières ;

-de l’Agence nationale pour l’emploi (ANPE) au titre du ministère des Sports, de la jeunesse et de l’emploi.

Le Conseil a également procédé à la nomination de Présidents aux Conseils d’administration du Centre hospitalier régional de Koudougou (CHR-KDG), de l’Agence de gestion des soins de santé primaires (AGSP) et de la Société burkinabè des fibres textiles (SOFITEX).

A MINISTERE DE L’AGRICULTURE, DES RESSOURCES ANIMALES ET HALIEUTIQUES

Le Conseil a adopté cinq (05) décrets.

Le premier décret renouvelle le mandat de Monsieur Djibril ZOUNGRANA, Mle 510 080 A, Ingénieur en environnement minier, Administrateur représentant l’Etat, au titre du ministère de l’Energie, des mines et des carrières au Conseil d’administration du Bureau national des sols (BUNASOLS) pour une dernière période de trois (03) ans.

Le deuxième décret nomme les personnes ci-après, Administrateurs au Conseil d’administration de la Société nationale de gestion du stock de sécurité alimentaire (SONAGESS) pour un premier mandat de trois (03) ans.

ADMINISTRATEURS REPRESENTANT L’ETAT

Au titre du ministère de l’Environnement, de l’eau et de l’assainissement :

-Madame Gertrude COULIBALY/YAMEOGO, Mle 46 076 E, Inspecteur des eaux et forêts.

Au titre du ministère de l’Economie et des finances :

-Monsieur Jean Baptiste OUEDRAOGO, Mle 47 687 P, Administrateur des services financiers.

ADMINISTRATEUR REPRESENTANT LE PERSONNEL DE LA SONAGESS

-Monsieur Wendiatta SAWADOGO, Mle 427 842, Comptable.

Le troisième décret renouvelle le mandat de Monsieur Gomsida OUEDRAOGO, Mle 75 404 M, Ingénieur en génie civil, Administrateur représentant l’Etat, au titre du ministère des Infrastructures et du désenclavement au Conseil d’administration de la Société nationale de gestion du stock de sécurité alimentaire (SONAGESS) pour une dernière période de trois (03) ans.

Le quatrième décret nomme Monsieur Modou DANGO, Mle 200 556 J, Conseiller des affaires économiques, Administrateur représentant l’Etat, au titre du ministère de l’Industrie, du commerce et de l’artisanat au Conseil d’administration de la Société FASO GUULGO pour un premier mandat de trois (03) ans.

Le cinquième décret nomme les personnes ci-après, Administrateurs représentant l’Etat au Conseil d’administration de FASO KOSAM pour un premier mandat de trois (03) ans.

Au titre du ministère de l’Agriculture, des ressources animales et halieutiques :

-Monsieur Arouna OUEDRAOGO, Mle 334 277 U, Ingénieur d’élevage et de santé animale.

Au titre du ministère de l’Enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation :

-Monsieur Philippe BAYEN, Mle 257 234 E, Enseignant-chercheur.

B MINISTERE DE LA SANTE

Le Conseil a adopté neuf (09) décrets.

Le premier décret nomme les personnes ci-après, Administrateurs au Conseil d’administration du Centre hospitalier régional de Dédougou (CHR-DDG) pour un premier mandat de trois (03) ans.

ADMINISTRATEUR REPRESENTANT L’ETAT

Au titre du ministère de la Santé :

-Monsieur Adama OUATTARA, Mle 231 441 C, Maître de conférences agrégé hospitalo-universitaire.

ADMINISTRATEUR REPRESENTANT LA DELEGATION SPECIALE REGIONALE DE LA BOUCLE DU MOUHOUN

-Monsieur Souleymane NAKANABO, Mle 105 193 M, Administrateur civil.

ADMINISTRATEUR REPRESENTANT LA COMMISSION MEDICALE D’ETABLISSEMENT

-Monsieur Wendpuiré Daniel ZOUNGRANA, Mle 273 173 T, Médecin spécialiste en stomatologie et chirurgie maxillo-faciale.

Le deuxième décret nomme les personnes ci-après, Administrateurs au Conseil d’administration du Centre hospitalier régional de Fada N’Gourma (CHR-FG) pour un premier mandat de trois (03) ans.

ADMINISTRATEUR REPRESENTANT LA DELEGATION SPECIALE REGIONALE DE L’EST

-Monsieur Yempabou Noël COMBARY, Mle 41 832 P, Attaché d’administration scolaire et universitaire.

ADMINISTRATEUR REPRESENTANT LES ASSOCIATIONS DES MALADES

-Monsieur Ernest NATAMA, Secrétaire exécutif de l’association Todi Yaba de Fada N’Gourma.

ADMINISTRATEUR REPRESENTANT LES TRAVAILLEURS DU CHR-FG

-Monsieur Adama SOMDAKOUMA, Mle 84 145 D, Attaché de santé en chirurgie.

Le troisième décret renouvelle le mandat de Monsieur Adama FOFANA, Mle 46 918 J, Conseiller de santé, Administrateur représentant l’Etat, au titre du ministère de la Santé au Conseil d’administration du Centre hospitalier régional de Fada N’Gourma (CHR-FG) pour une dernière période de trois (03) ans.

Le quatrième décret nomme Monsieur Akpiéritiza DABIRE, Animateur PA2, Administrateur représentant la délégation spéciale régionale du Sud-Ouest au Conseil d’administration du Centre hospitalier régional de Gaoua (CHR-G) pour un premier mandat de trois (03) ans.

Le cinquième décret nomme les personnes ci-après, Administrateurs au Conseil d’administration du Centre hospitalier régional de Tenkodogo (CHR-TNK) pour un premier mandat de trois (03) ans.

ADMINISTRATEURS REPRESENTANT L’ETAT

Au titre du ministère de la Santé :

-Madame Watinoma Aïcha Sidwaogo Eveline OUATTARA/KABORE, Mle 202 617 V, Economiste.

Au titre du ministère de l’Economie et des finances :

-Monsieur Ambèterfa Nicolas SOME, Mle 53 637 D, Inspecteur des impôts.

Au titre du ministère de l’Action humanitaire et de la solidarité nationale :

-Monsieur Réléoindé Silvain ZOUNGRANA, Mle 81 952 B, Inspecteur d’éducation de jeunes enfants.

Au titre du ministère de la Fonction publique, du travail et de la protection sociale :

-Monsieur Issa OUEDRAOGO, Mle 216 826 K, Inspecteur du travail.

ADMINISTRATEUR REPRESENTANT LA COMMISSION MEDICALE D’ETABLISSEMENT

-Monsieur Daniel ZEMBA, Mle 245 611 X, Médecin spécialiste en médecine interne.

ADMINISTRATEUR REPRESENTANT LES TRAVAILLEURS DU CHR-TNK

-Monsieur Abdoulaye OUEDRAOGO, Mle 41 190 E, Attaché de santé en chirurgie.

Le sixième décret nomme Monsieur Mohamed Karl-Anicet KPODA, Mle 224 387 W, Médecin de santé publique, Administrateur représentant l’Etat, au titre du ministère de la Santé au Conseil d’administration du Centre hospitalier régional de Koudougou (CHR-KDG) pour un premier mandat de trois (03) ans.

Le septième décret nomme Monsieur Mohamed Karl-Anicet KPODA, Mle 224 387 W, Médecin de santé publique, Président du Conseil d’administration du Centre hospitalier régional de Koudougou (CHR-KDG) pour un premier mandat de trois (03) ans.

Le huitième décret nomme Monsieur Arzouma OUEDRAOGO, Mle 46 932 T, Médecin, Administrateur représentant l’Etat, au titre du ministère de la Santé au Conseil d’administration de l’Agence nationale des soins de santé primaires (AGSP) pour un premier mandat de trois (03) ans.

Le neuvième décret nomme Monsieur Arzouma OUEDRAOGO, Mle 46 932 T, Médecin, Président du Conseil d’administration de l’Agence nationale des soins de santé primaires (AGSP) pour un premier mandat de trois (03) ans.

C MINISTERE DE L’INDUSTRIE, DU COMMERCE ET DE L’ARTISANAT

Le Conseil a adopté deux (02) décrets.

Le premier décret nomme Monsieur Alassane OUEDRAOGO, Mle 111 319 H, Conseiller des affaires économiques, Administrateur représentant l’Etat, au titre du ministère de l’Industrie, du commerce et de l’artisanat au Conseil d’administration de la Société burkinabè des fibres textiles (SOFITEX) pour un premier mandat de trois (03) ans, en remplacement de Monsieur Oumarou BARRO.

Le second décret nomme Monsieur Alassane OUEDRAOGO, Mle 111 319 H, Conseiller des affaires économiques, Président du Conseil d’administration de la Société burkinabè des fibres textiles (SOFITEX) pour un premier mandat de trois (03) ans, en remplacement de Monsieur Oumarou BARRO.

D MINISTERE DE L’ENERGIE, DES MINES ET DES CARRIERES

Le Conseil a adopté trois (03) décrets.

Le premier décret renouvelle le mandat de Madame Talato Eliane DJIGUEMDE/OUEDRAOGO, Mle 47 698 P, Inspecteur des impôts, Administrateur représentant l’Etat, au titre du ministère de l’Economie et des finances au Conseil d’administration de la Société des mines de Sanbrado (SOMISA) SA pour une dernière période de trois (03) ans.

Le deuxième décret nomme Monsieur Ernest KABORE, Mle 91 269 A, Inspecteur du trésor, Administrateur représentant l’Etat, au titre du ministère de l’Economie et des finances au Conseil d’administration de la Société minière KIAKA SA pour un premier mandat de trois (03) ans.

Le troisième décret nomme Monsieur Eric Wilfrid Yirin ZOURE, Mle 111 344 H, Conseiller des affaires économiques, Administrateur représentant l’Etat, au titre du ministère de l’Economie et des finances au Conseil d’administration de la Société minière OUARE MINING COMPANY SA pour un premier mandat de trois (03) ans.

E MINISTERE DES SPORTS, DE LA JEUNESSE ET DE L’EMPLOI

Le Conseil a adopté un décret portant nomination de Madame Maïmouna PARE/HEMA, Mle 30 96 (ANPE), Conseiller en emploi et en formation professionnelle, Administrateur représentant le personnel au Conseil d’administration de l’Agence nationale pour l’emploi (ANPE) pour un premier mandat de trois (03) ans.

 

Le Porte-parole du Gouvernement

Pingdwendé Gilbert OUEDRAOGO,

Chevalier de l’Ordre de l’Etalon

Secteur de l’énergie et des mines : Tenue la première session du cadre ministériel de concertation

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Le ministre de l’Energie, des Mines et des Carrières, Yacouba Zabré Gouba, a présidé ce mardi 18 mars, la première session du Cadre ministériel de concertation (CMC) de lannée 2025. Destinée à consolider la coordination entre les différentes structures du Ministère de l’énergie, des mines et des c arrières (MEMC) en vue dharmoniser les interventions et doptimiser leur impact sur les populations et les acteurs du secteur ; la session a réuni les principaux responsables du MEMC afin de renforcer la synergie et lefficacité des actions menées.

C’est le ministre de l’Energie, des Mines et des Carrières, Yacouba Zabré Gouba, qui a présidé cette première session du cadre de concertation de l’année 2025

«Le Cadre ministériel de concertation se positionne  comme un mécanisme clé pour assurer un dialogue constant au sein du ministère. Il permettra d’examiner les documents stratégiques, de formuler des recommandations sur les dossiers d’intérêt commun et de garantir une cohérence dans l’élaboration et la mise en œuvre des politiques publiques du secteur.

Cet espace d’échange favorisera également le partage d’expériences et de bonnes pratiques entre les différentes directions et les services. Par la tenue de ce cadre, le ministère réaffirme son engagement à améliorer la gouvernance par l’instauration d’une dynamique de travail fondée sur la concertation et l’anticipation. La première session du CMC marque ainsi une étape clé dans la quête d’une gestion participative et performante du secteur de l’énergie, des mines et des carrières au Burkina Faso», précise un communiqué de la Direction de la Communication et des Relations Presse dudit Ministère.

Burkina Demain