Le président du CSC, Louis Modeste Ouédraogo, a présidé l'ouverture de la conférence publique
Le Conseil supérieur de la communication (CSC) en collaboration avec le ministère en charge de la transition digitale, de la poste et des communications électroniques, et le ministère de la communication, de la culture, des arts et du tourisme ; a organisé ce vendredi 7 février 2025 à Ouagadougou, au profit des jeunes, une conférence publique sur le thème : «Quelles attitudes et approches pour une utilisation saine et responsable des médias sociaux en vue de lutter contre la désinformation dans un contexte de crise socio- sécuritaire».
Le CBC a mobilisé du monde à la faveur de cette conférence publique
«Chers jeunes, vous avez un rôle important à jouer dans la quête d’un Burkina de paix, de cohésion sociale et de souveraineté nationale retrouvées. En utilisant les médias et singulièrement les réseaux sociaux numériques de manière responsable, vous apporterez une contribution inestimable a l’atteinte de ces objectifs poursuivis par les plus hautes autorités de notre pays» a indiqué le Président du Conseil supérieur de la communication (CSC), Louis Modeste Ouédraogo, dans son mot d’ouverture de la conférence publique qui a mobilisé du monde au Conseil Burkinabè des chargeurs à Ouagadougou.
Thème développé par les experts
Des experts à l’image Zoumana Traoré, ancien DG de l’ISTIC (en blanc) et Dr Lassina Kaboré, Directeur de l’IPERMIC (à gauche) ont développé le thème
Après la cérémonie d’ouverture, place à la communication sur le thème : «Quelles attitudes et approches pour une utilisation saine et responsable des médias sociaux en vue de lutter contre la désinformation dans un contexte de crise socio- sécuritaire». Thème développé par les experts dont le Docteur Lassina Kaboré, Directeur de l’IPERMIC.
L’initiative de cette conférence vise à contribuer à l’éradication du phénomène de la désinformation et des discours de violence et de haine sur les réseaux sociaux numériques qui compromettent la cohésion sociale et sapent les efforts consentis dans la lutte contre le terrorisme.
La présente conférence s’inscrit en droite ligne de la nouvelle vision du collège des conseillers du CSC qui est d’amorcer une régulation ambitieuse des médias et de la communication au Burkina Faso, afin de participer au renforcement de la cohésion sociale et de l’unité nationale.
Initiative conjointe qui fait œuvre utile
En mettant en commun leurs forces les pouvoirs publics initiateurs ont réussi à mobiliser autour de la problématique, élèves et étudiants, jeunes et responsables des organisations de la société civile active dans le domaine de l’éducation aux médias et à l’information.
Et au vu de l’engouement, de la qualité des interventions des experts et des participants, l’on peut dire que la présente initiative conjointe a fait œuvre utile. Vivement, que cela contribue à la lutte contre la désinformation, à la paix et à la cohésion sociale dans un Burkina Faso plus sécurisé !
C’est le porte-parole du président argentin Javier Milei qui annoncé le retrait de son pays de l'OMS
Après les Etats-Unis en fin janvier, c’est l’Argentine, un autre pays fondateur de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qui annonce son retrait de l’organisme onusien pour prendre tout le contrôle de son système sanitaire qui aura payé l’un des lourds tributs de la pandémie du Covid-19 avec environ 130 000 morts.
Certes, l’Argentine, ce n’est pas les Etats-Unis d’Amérique dont le retrait va peser lourd dans la balance budgétaire de l’OMS avec un manque à gagner annuel qui avoisine le milliard de dollars (958,5 millions de dollars pour la période 2024-2025, combinant contributions obligatoires et volontaires), soit le cinquième du budget annuel de l’OMS. Mais, l’Argentine, c’est quand même un pays fondateur de l’OMS et sa contribution au budget annuel de l’organisation sanitaire onusienne s’élève à moins à 4 millions de dollars par an. Ce qui n’est pas rien. Ajouté au grand gap financier que le départ des USA va creuser dans le budget à partir de 2026, cela va devenir plus lourd à combler.
Revoir la stratégie de mobilisation des ressources
Le DG de l’OMS, Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus et ses équipes vont devoir revoir leur stratégie
En octobre 2024, lors d’un événement à Berlin, l’OMS a reçu d’intéressantes promesses de dons volontaires totalisant 700 millions de dollars pour ses prochains budgets 2025-2028, qui devraient s’ajouter aux 300 millions déjà annoncés par les Unions européenne et africaine. Mais, c’était sans compter avec la météo politique internationale.
Avec ces politiques à Washington et Buenos-Aires, le directeur général de l’OMS, l’éthiopien Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus et ses collaborateurs vont devoir revoir leur stratégie de mobilisation des financements qui visait à augmenter progressivement la part des contributions obligatoires, avec pour objectif d’atteindre 50 % du budget total d’ici 2030.
Compter sur la générosité des gros donateurs et explorer d’autres mécanismes
Il faut espérer que les autres principaux donateurs que sont la Fondation Bill & Melinda Gates, l’Alliance GAVI, la Commission européenne, l’Allemagne, et la Banque mondiale ; la Chine, l’Inde, la Banque européenne d’investissement, Rotary International, etc. iront dans le sens de l’augmentation de leurs contributions pour suppléer le vide que va laisser les Américains et Argentins. A défaut, il faudra initier d’autres mécanismes pour mobiliser davantage de fonds à la hauteur des enjeux mondiaux.
Créée le 7 avril 1948, soit 3 ans après la création de l’ONU, l’OMS travaille aujourd’hui avec 194 États membres pour contribuer à améliorer les systèmes de santé dans un contexte international où les défis ne cessent de prendre de l’ampleur. Et il faut davantage de financements pour répondre efficacement à ces défis. Le budget 2024-2025 de l’OMS est estimé à 6,83 milliards de dollars.
D'importantes décisions ont été prises au cours du Conseil de ce jeudi 11 septembre 2025
Le Conseil des ministres s’est tenu à Ouagadougou, le mercredi 05 février 2025, en séance ordinaire, de 09 H 00 mn à 13 H 52 mn, sous la présidence de Son Excellence le Capitaine Ibrahim TRAORE, Président du Faso, Président du Conseil des ministres.
C’est le le Capitaine Ibrahim TRAORE, Président du Faso, Président du Conseil des ministres, qui a présidé la session
Il a délibéré sur les dossiers inscrits à son ordre du jour, procédé à des nominations et autorisé des missions à l’étranger.
I DELIBERATIONS
I 1 AU TITRE DU MINISTERE DE LA DEFENSE ET DES ANCIENS COMBATTANTS
Le Conseil a adopté un décret portant fixation des critères de classification des armes de poing dans la catégorie des armes de guerre ou des armes civiles.
Aucune disposition ne fixe des critères permettant de faire la distinction entre l’arme de poing relevant de la catégorie des armes civiles et celle relevant de la catégorie des armes de guerre, en dépit de l’existence de la loi n°030-2021/AN du 18 mai 2021 portant régime général des armes, de leurs pièces, éléments, munitions et autres matériels connexes au Burkina Faso.
La distinction entre l’arme de poing relevant de la catégorie des armes civiles et celle relevant de la catégorie des armes de guerre est pourtant impérative d’autant plus que chaque catégorie d’arme fait l’objet d’une règlementation spécifique.
L’adoption de ce décret permet de fixer les critères de classification des armes de poing dans la catégorie des armes de guerre ou des armes civiles.
I 2 AU TITRE DU MINISTERE DE L’ADMINISTRATION TERRITORIALE ET DE LA MOBILITE
Le Conseil a adopté un décret portant approbation des statuts particuliers du Centre de contrôle des véhicules automobiles (CCVA).
L’adoption de ce décret permet au Centre de contrôle des véhicules automobiles de se doter de textes réglementaires adéquats en vue d’accomplir ses missions, conformément au décret n°2000-189/PRES/PM/MCIA du 17 mai 2000 portant statut général des Sociétés d’Etat.
I 3 AU TITRE DU MINISTERE DE L’ECONOMIE ET DES FINANCES
Le Conseil a examiné un projet de loi portant Réorganisation agraire et foncière (RAF) au Burkina Faso.
Ce projet de loi vise la relecture de la loi n°034-2012/AN du 02 juillet 2012 portant Réorganisation agraire et foncière au Burkina Faso. L’application de ladite loi a révélé des insuffisances dans l’aménagement du territoire, la gestion du domaine foncier national et la règlementation des droits réels.
Au regard de la récurrence des crises dans la gestion du foncier et face à la volonté du Gouvernement de mobiliser les terres pour la réalisation des chantiers de développement et d’intérêt général au profit des populations, la relecture de cette loi s’avère nécessaire.
Ce projet de loi permettra au Burkina Faso de se doter d’un instrument juridique adéquat pour mobiliser plus d’espaces, notamment en milieu rural en vue de la mise en oeuvre des grands projets d’intérêt général.
Le Conseil a marqué son accord pour la transmission dudit projet de loi à l’Assemblée législative de Transition.
I 4 AU TITRE DU MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES, DE LA COOPERATION REGIONALE ET DES BURKINABE DE L’EXTERIEUR
Le Conseil a adopté deux (02) rapports.
Le premier rapport est relatif à une demande d’agrément pour la nomination d’un Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la République du Sénégal auprès du Burkina Faso.
Le Conseil a marqué son accord pour la nomination de Monsieur Papa DIOP, en qualité d’Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la République du Sénégal auprès du Burkina Faso, avec résidence à Ouagadougou.
Le second rapport est relatif à une demande d’agrément pour la nomination d’un Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la République d’Indonésie auprès du Burkina Faso.
Le Conseil a marqué son accord pour la nomination de Monsieur Bambang SUHARTO, en qualité d’Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la République d’Indonésie auprès du Burkina Faso, avec résidence à Abuja en République fédérale du Nigéria.
I 5 AU TITRE DU MINISTERE DE LA JUSTICE ET DES DROITS HUMAINS, CHARGE DES RELATIONS AVEC LES INSTITUTIONS
Le Conseil a adopté deux (02) rapports.
Le premier rapport est relatif à un projet de loi organique portant organisation et fonctionnement de la Présidence du Faso.
Dans le cadre de la refondation de l’Etat et l’amélioration de la gouvernance, la loi constitutionnelle n°033-2024/ALT du 29 octobre 2024 portant révision de la Constitution a été adoptée. Elle précise que le Président du Faso dispose d’une administration spécifique dénommée «Présidence du Faso » qui l’assiste dans l’exercice de ses fonctions. La Présidence du Faso est ainsi consacrée comme institution de l’Etat.
Le projet de loi organique vise à régir l’organisation et le fonctionnement de cette institution.
Le Conseil a marqué son accord pour la transmission dudit projet de loi organique à l’Assemblée législative de Transition.
Le second rapport est relatif à un projet de décret portant adoption de pupilles de la Nation.
Ce décret a pour objet l’adoption en qualité de pupilles de la Nation de 225 enfants mineurs et orphelins mineurs des Forces de défense et de sécurité (FDS) atteintes d’incapacité permanente de travail ou décédées dans l’exercice de leurs fonctions suite à des attaques terroristes.
L’adoption de ce décret permet à chacun des bénéficiaires de jouir des droits que confère le statut de pupille de la Nation, conformément aux dispositions de la loi n°003-2022/ALT du 10 juin 2022 portant statut de pupille de la Nation.
La liste de ces personnes sera publiée dans le Journal Officiel du Burkina Faso.
I 6 AU TITRE DU MINISTERE DE LA TRANSITION DIGITALE, DES POSTES ET DES COMMUNICATIONS ELECTRONIQUES
Le Conseil a adopté un décret portant définition des règles et procédures applicables à la gestion du spectre des fréquences radioélectriques.
Ce décret est une relecture du décret n°2011-92/PRES/PM/MPTIC/MEF du 28 février 2011 portant définition des procédures applicables à la gestion du spectre des fréquences radioélectriques.
La relecture de ce décret vise à actualiser les textes relatifs à la gestion du spectre des fréquences radioélectriques et à prendre en compte les évolutions normatives internationales.
L’adoption de ce décret permet au Burkina Faso de disposer d’un cadre juridique actualisé sur les règles et procédures applicables à la gestion du spectre des fréquences radioélectriques.
I 7 AU TITRE DU MINISTERE DES INFRASTRUCTURES ET DU DESENCLAVEMENT
Le Conseil a adopté un rapport relatif à une demande d’autorisation pour la passation de marchés par la procédure d’entente directe dans le cadre de la mise en oeuvre des projets spécifiques, pour l’acquisition d’équipements techniques au profit du Laboratoire national du bâtiment et des travaux publics (LNBTP).
L’objectif visé par cette acquisition d’équipements au profit du LNBTP est de lui permettre de jouer son rôle d’assurance qualité dans l’exécution des infrastructures conformément aux normes techniques. Pour ce faire, les capacités opérationnelles et techniques actuelles du LNBTP notamment du siège à Ouagadougou et de la direction régionale de Bobo-Dioulasso seront renforcées par une dotation en matériel de pointe. Il s’agira également de doter les nouvelles directions régionales en matériel technique adéquat.
Ces équipements permettront au LNBTP de renforcer ses moyens techniques et d’assurer son déploiement dans d’autres régions du Burkina Faso.
Le Conseil a marqué son accord pour l’attribution des marchés suivants :
-Lot 1 : Forteresse Services et Biens (FSB) Sarl, pour l’acquisition d’équipements techniques au profit du Laboratoire national du bâtiment et des travaux publics, pour un montant d’un milliard cent quarante-six millions sept cent vingt-huit mille cinq cents (1 146 728 500) F CFA HT, avec un délai d’exécution de six (06) mois ;
-Lot 2 : Forteresse Services et Biens (FSB) Sarl, pour un montant d’un milliard quatre cent quatorze millions sept cent soixante mille cinq cents (1 414 760 500) F CFA HT, avec un délai d’exécution de six (06) mois.
Le montant total des équipements s’élève à deux milliards cinq cent soixante un millions quatre cent quatre-vingt-neuf mille (2 561 489 000) F CFA HT.
Le financement de ces marchés est assuré par le budget de l’Etat.
I 8 AU TITRE DU MINISTERE DE L’ENERGIE, DES MINES ET DES CARRIERES
Le Conseil a adopté deux (02) décrets.
Le premier décret porte fixation des conditions et mécanismes de mise en oeuvre de la sous-traitance, de la co-traitance et de la fourniture de biens et services liés aux activités minières.
Ce décret vise l’application de la loi n°017-2024/ALT du 18 juillet 2024 relative au contenu local dans le secteur minier au Burkina Faso.
Les innovations de ce décret portent sur :
-l’institution d’un agrément pour l’exercice de l’activité de sous-traitance et de fournisseurs de biens et services dans le secteur minier ;
-la priorité accordée aux personnes physiques ou morales burkinabè pour les contrats de sous-traitance ;
-l’exclusivité des services de prestations intellectuelles aux personnes physiques ou morales burkinabè ;
-l’institution de marges de préférence sur les coûts des offres au profit des personnes physiques ou morales burkinabè ;
-l’utilisation en priorité des biens fabriqués sur le territoire national dans le cadre des approvisionnements des sociétés minières ;
-la mise en place d’un mécanisme visant une large diffusion des besoins d’achats de biens et services dans le secteur minier.
L’adoption de ce décret permet au Burkina Faso de disposer d’un cadre règlementaire qui encadre les activités de sous-traitance, de co- traitance et de fourniture de biens et services dans le secteur minier.
Le second décret porte règlementation des emplois locaux et développement des compétences dans le secteur minier.
Ce décret vise l’application de la loi n°017-2024/ALT du 18 juillet 2024 relative au contenu local dans le secteur minier au Burkina Faso.
Les innovations de ce décret sont :
-la définition d’un cadre en faveur du développement de compétences et du transfert de technologies au profit des travailleurs nationaux ;
-l’exclusivité de certains postes de responsabilité aux nationaux ;
-la contribution aux programmes nationaux de recherche et de développement ;
-la prise en compte des offres de stages et opportunités d’apprentissage destinées aux apprenants professionnels et étudiants burkinabè.
L’adoption de ce décret permet de disposer d’un cadre règlementaire pour la promotion des emplois et le développement des compétences des nationaux dans le secteur minier.
II NOMINATIONS
II 1 NOMINATIONS DANS LES FONCTIONS INDIVIDUELLES
A AU TITRE DE LA PRESIDENCE DU FASO
Pour le compte de la Grande Chancellerie des Ordres Burkinabè :
-Monsieur Pierre ZANRE, Mle 212 145 L, Administrateur civil, 1ère classe, 6e échelon, est nommé Secrétaire général.
B AU TITRE DU MINISTERE DE L’AGRICULTURE, DES RESSOURCES ANIMALES ET HALIEUTIQUES
-Monsieur Issaka KABORE, Mle 36 560 M, Professeur certifié des collèges, 2e classe, 11e échelon, est nommé Inspecteur technique des services, en remplacement de Madame Justine P. NANEMA/OUEDRAOGO ;
-Monsieur Brahima SOW, Mle 33 698 E, Ingénieur d’élevage, 1ère classe, 8e échelon, est nommé Inspecteur technique des services, en remplacement de Monsieur Régis A. Y. BANCE ;
-Monsieur Bourema OUEDRAOGO, Mle 31 884 G, Ingénieur d’élevage, 1ère classe, 9e échelon, est nommé Inspecteur technique des services ;
-Monsieur Tasséré ZOUNGRANA, Mle 104 878 Y, Inspecteur du trésor, 1ère classe, 6e échelon, est nommé Inspecteur technique des services ;
-Monsieur Sidinomwendé Lamoussa Arsène SAWADOGO, Mle 119 333 Z, Administrateur des services financiers, 1ère classe, 8e échelon, est nommé Inspecteur technique des services ;
-Monsieur Issa BELEMOU, Mle 96 825 E, Ingénieur d’agriculture, 1ère classe, 5e échelon, est nommé Inspecteur technique des services ;
-Monsieur Salmon ZONGO, Mle 33 773 W, Ingénieur d’agriculture, 1ère classe, 11e échelon, est nommé Inspecteur technique des services ;
-Monsieur Ouémihié Clément ATTIOU, Mle 264 396 R, Ingénieur d’agriculture, 1ère classe, 5e échelon, est nommé Directeur général du Conseil burkinabè des filières agropastorales et halieutiques.
C AU TITRE DU MINISTERE DE L’ECONOMIE ET DES FINANCES
-Monsieur Cyrille Ferdinand WANDAOGO, Mle 32 038 N, Inspecteur du trésor, 1ère classe, 8e échelon, est nommé Inspecteur technique du trésor ;
-Madame Zara OUEDRAOGO/OUEDRAOGO, Mle 35 881 U, Inspecteur du trésor, 1ère classe, 13e échelon, est nommée Inspecteur technique du trésor ;
-Monsieur Emmanuel ZANGRE, Mle 112 501 X, Inspecteur du trésor, 1ère classe, 5e échelon, est nommé 1er Fondé de pouvoirs du receveur général ;
-Madame Mariam BOUGOUM, Mle 225 054 G, Inspecteur du trésor, 1ère classe, 7e échelon, est nommée 2e Fondé de pouvoirs du receveur général ;
-Monsieur Souleymane DABO, Mle 43 076 H, Inspecteur du trésor, 1ère classe, 8e échelon, est nommé 2e Fondé de pouvoirs du Directeur de la Banque des dépôts du trésor ;
-Monsieur Koudoubi Seydou KABORE, Mle 32 071 S, Inspecteur du trésor, 1ère classe, 9e échelon, est nommé Fondé de pouvoirs du trésorier auprès de la Primature et du Conseil national des communautés, avec résidence à la Primature ;
-Monsieur Issouf BANDAOGO, Mle 57 163 G, Inspecteur du trésor, 1ère classe, 7e échelon, est nommé Fondé de pouvoirs du trésorier auprès du ministère de la Défense et des anciens combattants ;
-Monsieur Jonas TOE, Mle 235 928 D, Inspecteur du trésor, 1ère classe, 7e échelon, est nommé Fondé de pouvoirs du trésorier auprès du ministère de l’Administration territoriale et de la mobilité ;
-Madame Carol TRAORE, Mle 56 718 B, Inspecteur du trésor, 1ère classe, 12e échelon, est nommée Fondé de pouvoirs du trésorier auprès du ministère de l’Agriculture, des ressources animales et halieutiques ;
-Monsieur Tidjiani BA, Mle 55 738 Z, Inspecteur du trésor, 1ère classe, 8e échelon, est nommé Fondé de pouvoirs du trésorier auprès du ministère de l’Economie et des finances ;
-Monsieur Issouf SOUBEIGA, Mle 235 926 R, Inspecteur du trésor, 1ère classe, 6e échelon, est nommé Fondé de pouvoirs du trésorier auprès du ministère de la Sécurité ;
-Madame Agnès SOUSSANGO/ZONGO, Mle 46 220 G, Inspecteur du trésor, 1ère classe, 10e échelon, est nommée Fondé de pouvoirs du trésorier auprès du ministère des Affaires étrangères, de la coopération régionale et des Burkinabè de l’extérieur ;
-Madame Julienne OUEDRAOGO/LANKOUANDE, Mle 245 215 E, Inspecteur du trésor, 1ère classe, 6e échelon, est nommée Fondé de pouvoirs du trésorier auprès du ministère de la Fonction publique, du travail et de la protection sociale ;
-Monsieur Mahamadi SAVADOGO, Mle 57 435 Y, Inspecteur du trésor, 1ère classe, 13e échelon, est nommé Fondé de pouvoirs du trésorier auprès du ministère de la Communication, de la culture, des arts et du tourisme et du ministère des Sports, de la jeunesse et de l’emploi, avec résidence au ministère de la Communication, de la culture, des arts et du tourisme.
D AU TITRE DU MINISTERE DE LA SECURITE
-Monsieur Sidbénèwendé Arnaud Omer TEGRE, Officier, est nommé Chargé de mission ;
-Monsieur Pakindsama OUEDRAOGO, Mle 239 807 L, Commissaire divisionnaire de police, catégorie 1, 3e classe, 1er échelon, est nommé Directeur de l’analyse et de la prévention de l’insécurité ;
-Monsieur Cébastien SAWADOGO, Mle 227 567 N, Commissaire divisionnaire de police, catégorie 1, 1er échelon, est nommé Directeur de la police communautaire ;
-Monsieur Aguima Abdoulaziz YONLY, Mle 111 488 S, Commissaire divisionnaire de police, catégorie 1, 3e classe, 3e échelon, est nommé Directeur des armes et des drones civils ;
-Monsieur Fidèle ZWETIN, Mle 308 626 T, Commissaire principal de police, catégorie 1, 2e classe, 1er échelon, est nommé Directeur de la règlementation de la sécurité privée.
E AU TITRE DU MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES, DE LA COOPERATION REGIONALE ET DES BURKINABE DE L’EXTERIEUR
-Monsieur Nadoro TRAORE, Mle 51 166 X, Inspecteur du trésor, 1ère classe, 6e échelon, est nommé Trésorier auprès de l’Ambassade du Burkina Faso à N’Djamena (Tchad) ;
-Monsieur Salif KONE, Mle 59 658 H, Inspecteur du trésor, 1ère classe, 11e échelon, est nommé Trésorier auprès de l’Ambassade du Burkina Faso à Tokyo (Japon) ;
-Monsieur Larba SORGHO, Mle 216 183 F, Inspecteur du trésor, 1ère classe, 7e échelon, est nommé Trésorier auprès de l’Ambassade du Burkina Faso à Ankara (Türkiye) ;
-Monsieur Moussa LENGANE, Mle 57 169 D, Inspecteur du trésor, 1ère classe, 7e échelon, est nommé Trésorier auprès de l’Ambassade du Burkina Faso à Moscou (Fédération de Russie) ;
-Monsieur Ousmane COMPAORE, Mle 111 107 P, Inspecteur du trésor, 1ère classe, 10e échelon, est nommé Trésorier auprès de l’Ambassade du Burkina Faso à Alger (Algérie) ;
-Monsieur Léon Hermann BAKOLO, Mle 98 283 T, Conseiller en sciences et techniques de l’information et de la communication, 1ère classe, 10e échelon, est nommé Attaché de presse, communication et relations publiques à l’Ambassade du Burkina Faso à Ankara (Türkiye).
F AU TITRE DU MINISTERE DE LA SANTE
-Monsieur Bernard ILBOUDO, Mle 95 880 W, Médecin de santé publique, catégorie U, 1ère classe, 11e échelon, est nommé Directeur général de l’offre de soins ;
-Monsieur Adama ZONGO, Mle 225 067 D, Administrateur des services financiers, 1ère classe, 7e échelon, est nommé Directeur de l’administration et des finances de l’Agence nationale de gestion des soins de santé primaires (AGSP) ;
-Monsieur Mamadou TRAORE, Mle 247 162 N, Conseiller en gestion des ressources humaines et management des administrations, 1ère classe, 6e échelon, est nommé Directeur des ressources humaines ;
-Monsieur Mohamed Karl-Anicet KPODA, Mle 224 387 W, Médecin de santé publique, catégorie U, 1ère classe, 5e échelon, est nommé Directeur régional de la Santé du Centre-Ouest.
G AU TITRE DU MINISTERE DE L’INDUSTRIE, DU COMMERCE ET DE L’ARTISANAT
-Monsieur Sanibè FAHO, Mle 119 817 C, Conseiller des affaires économiques, 1ère classe, 9e échelon, est nommé Coordonnateur général de la Brigade mobile de contrôle économique et de la répression des fraudes.
H AU TITRE DU MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SECONDAIRE, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET TECHNIQUE
-Monsieur Frédéric Armand D’ALMEIDA, Mle 35 154 J, Inspecteur de l’enseignement secondaire, catégorie PB, 3e classe, 7e échelon, est nommé Conseiller technique ;
-Monsieur Bourèma KINDO, Mle 32 941 M, Conseiller d’administration scolaire et universitaire, 1ère classe, 10e échelon, est nommé Inspecteur technique des services ;
-Monsieur Appolinaire YAOGO, Mle 220 361 C, Conseiller de jeunesse et d’éducation permanente, 1ère classe, 8e échelon, est nommé Directeur du développement institutionnel et de l’innovation.
I AU TITRE DU MINISTERE DE L’ENVIRONNEMENT, DE L’EAU ET DE L’ASSAINISSEMENT
-Madame Pélagie ILBOUDO, Mle 216 280 M, Ingénieur du génie rural, 1ère classe, 5e échelon, est nommée Directrice régionale de l’Eau et de l’assainissement de l’environnement de la Boucle du Mouhoun ;
-Madame Alizatou DABIRE/WANDAOGO, Mle 212 660 E, Ingénieur du génie rural, 1ère classe, 9e échelon, est nommée Directrice régionale de l’Eau et de l’assainissement de l’environnement des Cascades ;
-Monsieur Aimé dit Lassina OUATTARA, Mle 222 194 Z, Inspecteur de l’environnement, 1ère classe, 4e échelon, est nommé Directeur régional de l’Eau et de l’assainissement de l’environnement du Centre ;
-Monsieur Pamoussa Guilga Ouesséni KAFANDO, Mle 315 206 X, Ingénieur de conception du génie rural, 1ère classe, 4e échelon, est nommé Directeur régional de l’Eau et de l’assainissement de l’environnement du Centre-Est ;
-Monsieur Guiri Alexandre SANOU, Mle 228 451 S, Inspecteur de l’environnement, 1ère classe, 4e échelon, est nommé Directeur régional de l’Eau et de l’assainissement de l’environnement du Centre-Nord ;
-Monsieur Mamoudou KANDE, Mle 222 198 F, Inspecteur de l’environnement, 1ère classe, 5e échelon, est nommé Directeur régional de l’Eau et de l’assainissement de l’environnement du Centre-Ouest ;
-Monsieur Riim-yam Albert KOUMSONGO, Mle 254 997 M, Ingénieur du génie rural, 1ère classe, 4e échelon, est nommé Directeur régional de l’Eau et de l’assainissement de l’environnement du Centre-Sud ;
-Monsieur Tégawendé Issaka Juste OUEDRAOGO, Mle 222 165 A, Inspecteur de l’environnement, 1ère classe, 2e échelon, est nommé Directeur régional de l’Eau et de l’assainissement de l’environnement de l’Est ;
-Monsieur Paul KABORE, Mle 216 282 B, Ingénieur du génie rural, 1ère classe, 7e échelon, est nommé Directeur régional de l’Eau et de l’assainissement de l’environnement des Hauts-Bassins ;
-Monsieur Sidbewendin Gaël YAMEOGO, Mle 216 292 M, Ingénieur du génie rural, 1ère classe, 4e échelon, est nommé Directeur régional de l’Eau et de l’assainissement de l’environnement du Nord ;
-Madame Noaga Florence KABORE/YANOGO, Mle 208 107 S, Ingénieur du génie rural, 1ère classe, 10e échelon, est nommée Directrice régionale de l’Eau et de l’assainissement de l’environnement du Plateau-Central ;
-Monsieur Brice Marchal TRAORE, Mle 365 934 Y, Ingénieur du génie rural, 1ère classe, 2e échelon, est nommé Directeur régional de l’Eau et de l’assainissement de l’environnement du Sahel ;
-Monsieur Moussa RAMDE, Mle 289 067 Y, Ingénieur du génie rural, 1ère classe, 4e échelon, est nommé Directeur régional de l’Eau et de l’assainissement de l’environnement du Sud-Ouest.
J AU TITRE DU MINISTERE DES SPORTS, DE LA JEUNESSE ET DE L’EMPLOI
-Madame Wendguété Valérie BADOLO/TAPSOBA, Mle 208 171 J, Professeur d’éducation physique et sportive, 1ère classe, 9e échelon, est nommée Responsable du Programme budgétaire « Sports et loisirs », cumulativement avec ses fonctions de Directrice générale des Sports et des loisirs.
II 2 NOMINATIONS DANS LES CONSEILS D’ADMINISTRATION
Le Conseil a procédé à la nomination d’Administrateurs aux Conseils d’administration :
-de l’Institut supérieur d’études de protection civile (ISEPC) au titre du ministère de l’Administration territoriale et de la mobilité ;
-de la Société burkinabè d’intrants et de matériels agro-pastoraux (SOBIMAP), de FASO KOSAM et de FASO GUULGO au titre du ministère de l’Agriculture, des ressources animales et halieutiques ;
-de la Caisse nationale d’assurance maladie universelle (CNAMU) au titre du ministère de la Fonction publique, du travail et de la protection sociale.
Le Conseil a également procédé à la nomination de Présidents aux Conseils d’administration de FASO KOSAM et de FASO GUULGO.
A MINISTERE DE L’ADMINISTRATION TERRITORIALE ET DE LA MOBILITE
Le Conseil a adopté un décret portant nomination de Madame Ghislaine BAKO, Mle 343 385 H, Secrétaire administratif, Administrateur représentant le personnel au Conseil d’administration de l’Institut supérieur d’études de protection civile (ISEPC) pour un premier mandat de trois (03) ans, en remplacement de Monsieur Mahamoudou TAPSOBA.
B MINISTERE DE L’AGRICULTURE, DES RESSOURCES ANIMALES ET HALIEUTIQUES
Le Conseil a adopté cinq (05) décrets.
Le premier décret nomme Madame Awa OUEDRAOGO, Mle 22 03 001 B, Comptable, Administrateur représentant le personnel au Conseil d’administration de la Société burkinabè d’intrants et de matériels agro-pastoraux (SOBIMAP) pour un premier mandat de trois (03) ans.
Le deuxième décret nomme les personnes ci-après Administrateurs au Conseil d’administration de FASO KOSAM pour un premier mandat de trois (03) ans.
ADMINISTRATEURS REPRESENTANT L’ETAT
Au titre du ministère de l’Agriculture, des ressources animales et halieutiques :
-Madame Wendinpuikondo Ella Marie Michèle Rakèta COMPAORE, Mle 245 781 G, Enseignant-chercheur.
Au titre du ministère de l’Economie et des finances :
-Monsieur Daniel HIEN, Mle 49 071 Y, Inspecteur des impôts.
ADMINISTRATEUR REPRESENTANT LE FONDS DUMU KA FA (FDKF)
-Monsieur Oula Damien OUATTARA, Mle 254 841 M, Ingénieur d’agriculture.
ADMINISTRATEUR REPRESENTANT LE FONDS BURKINABE DE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE ET SOCIAL (FBDES)
-Monsieur Wendbénédo Augustin Magloire NITIEMA, Mle 235 885 U, Administrateur des services financiers.
Le troisième décret nomme Monsieur Emilien Ulrich Emmanuel Yisso BAKONE, Mle 288 546 C, Ingénieur d’élevage, Président du Conseil d’administration de FASO KOSAM pour un premier mandat de trois (03) ans.
Le quatrième décret nomme les personnes ci-après, Administrateurs au Conseil d’administration de FASO GUULGO pour un premier mandat de trois (03) ans.
ADMINISTRATEURS REPRESENTANT L’ETAT
Au titre du ministère de l’Agriculture, des ressources animales et halieutiques :
Le cinquième décret nomme Monsieur Fabrice KOUSSOUBE, Mle 212 400 X, Administrateur civil, Président du Conseil d’administration de FASO GUULGO pour un premier mandat de trois (03) ans.
C MINISTERE DE LA FONCTION PUBLIQUE, DU TRAVAIL ET DE LA PROTECTION SOCIALE
Le Conseil a adopté un décret portant nomination de Monsieur Joël Arthur KIENDREBEOGO, Mle 254 802 A, Maître-assistant hospitalo-universitaire en santé publique, Administrateur représentant l’Etat, au titre du ministère de la Santé au Conseil d’administration de la Caisse nationale d’assurance maladie universelle (CNAMU) pour un premier mandat de trois (03) ans, en remplacement de Madame Hassana TRAORE.
L'Université Norbert Zongo de Koudougou encore en deuil après cet incident malheureux
A l’Université Norbert Zongo de Koudougou, un étudiant a succombé à ses blessures après s’être jeté d’un étage. L’incident malheureux est survenu ce mardi 04 février dans une des salles de cours dans la cité du cavalier rouge. Tout serait parti d’un bruit d’origine inconnu ayant entrainé une panique au sein des étudiants. Ainsi, dans la confusion, cet étudiant de la promotion 2023 a tenté de s’échapper par une fenêtre brisée, se blessant grièvement. Finalement, il trouvera la mort dans un centre hospitalier. Retour sur les faits…
Tout serait parti d’un bruit d’origine inconnu dans une salle des cours ayant entrainé une panique au sein des étudiants
La communauté estudiantine à Koudougou est en deuil. L’étudiant SERE René de la licence 1 en SVT, promotion 2023 trouvera la mort après un mouvement de panique. Lui et ses camarades suivaient des travaux dirigés à l’étage de la Salle Polyvalente située au secteur 10 de la Ville. Au rez-de-chaussée, la promotion 2024 de près de 1500 étudiants étaient en cours de Lettres Modernes. Les activités pédagogiques se déroulaient bien jusqu’à 16h30 mn. Un bruit ressemblant à celui d’un effondrement du bâtiment a retenti et s’est accentué pendant près de cinq minutes. Pour d’autres témoins, on aurait dit le bruit que provoque des tirs d’armes lourdes. Pris de peur, les étudiants ont cherché à évacuer les lieux précipitamment. L’enseignant et les étudiants à l’étage ont alors pris les escaliers pour quitter la salle. La victime de sexe masculin a lui préféré sortir par la fenêtre vitrée. Dans cette tentative il se blessa grièvement au bras, subissant une hémorragie importante. Malgré une évacuation rapide au CHR de Koudougou, il a malheureusement succombé à ses blessures. À ce stade, les causes exactes du bruit ayant déclenché la panique demeurent inconnues. Face à cette tragédie, le Président de l’Université Norbert ZONGO a convoqué une réunion de crise dans son cabinet. Des mesures ont donc été prise à savoir : La fermeture de la Salle Polyvalente jusqu’à nouvel ordre ; l’inspection des lieux par les services de sécurité, une expertise prévue pour identifier l’origine du bruit et enfin la consultation avec les leaders d’opinion pour un suivi adéquat.
Les infos en provenance de Washington ce lundi 3 février ne sont pas du tout rassurantes quant à l’avenir de l’Agence des Etats-Unis pour le développement international (USAID) qui intervient dans quelques 120 pays du monde dont le Burkina Faso. Suite à une sortie d’Elon Musk indiquant que le président Donald Trump était favorable à sa suppression, l’agence soixantenaire a vu son siège à Washington fermer ses portes ce lundi 3 février 2025.
Le président Donald Trump et son bras droit Elon Musk sont favorables à la liquidation de l’USAID
Elon Musk nommé à la tête du Département de l’efficacité gouvernementale (DOGE) par Donald Trump, a déclaré sur le réseau social X que l’USAID était une « organisation criminelle » et qu’il était « temps qu’elle meure ». Il n’en fallait pas plus pour que, cette agence créée en novembre 1961 par John Fitzgerald Kennedy et qui gère d’importants programmes humanitaires et de sécurité dans 120 pays, soit menacée de disparition.
«Lundi matin, les employés ont reçu l’ordre de ne pas se rendre au siège. 600 d’entre eux ont été verrouillés hors des systèmes informatiques pendant la nuit. Ceux encore connectés ont reçu un e-mail annonçant la fermeture des bureaux le 3 février (…) Son site web a disparu sans explication, et son directeur de la sécurité et son adjoint ont été mis en congé forcé après avoir refusé l’accès à des membres du DOGE», rapportent des confrères.
Vers un financement en moins du système humanitaire international
L’USAID, qui gère aux USA plus d’une dizaine de milliards de dollars et à l’extérieur plus d’une vingtaine de milliards de dollars par se retrouve ainsi fragilisée voire purement et simplement de disparition. Et avec le système humanitaire international qui bénéficiait de ses financements.
United States Agency for International Development (USAID) était en effet le premier pourvoyeur d’aide humanitaire dans le monde et travaillait sous la supervision de la Maison Blanche, du Département d’État et du Conseil de sécurité nationale. Mais, l’administration Trump veut désormais passer à autre chose, l’institution étant accusée par des républicains d’être ‘’criminelle’’. En face, des parlementaires démocrates qui dénoncent une décision illégale, semblent bien impuissants face à la machine de liquidation enclenchée par le tout-puissant grand patron du DOGE Elon Musk, fort du soutien du président Donald Trump.
Le Président de l'ARSE, Jean Baptiste KY (à gauche) a été reçu par le Premier Ministre Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo ce lundi 3 février 2025
Une délégation de l’ARSE conduite par son Président, Dr Jean-Baptiste KY et composée des membres du Conseil de régulation, des Conseillers Techniques et du Secrétaire Général, a été reçue, le lundi 03 février 2025 par le Premier Ministre Rimtalba Jean Emmanuel OUEDRAOGO. Elle est allée présenter l’ARSE au Chef du Gouvernement et recueillir des orientations dans le cadre des missions de la structure.
Le rapport d’activités 2023 de l’ARSE a été au Premier Ministre en fin d’audience par le Président de l’Institution en charge de la régulation du secteur de l’énergie
Le Premier Ministre a salué la démarche de l’ARSE qui a permis de lui présenter les missions de la structure, ses activités et les actions majeures qu’elle entend réaliser au cours de l’année 2025. Il a ensuite relevé le rôle combien important du régulateur au regard du caractère stratégique du secteur de l’énergie dans le développement de notre pays. A ce propos, le Premier Ministre a indiqué la vision du Gouvernement pour ce secteur qui est de travailler à augmenter, de manière substantielle, les capacités de production de l’énergie, en mettant un accent particulier sur les capacités endogènes. Dans un contexte où le Gouvernement s’est engagé sur la voie d’une transformation de notre environnement économique, il a aussi souligné la nécessité d’œuvrer à minimiser les vulnérabilités en matière d’accès des populations à cette ressource, en assurant suffisamment le maillage de toutes les régions du pays. “Croyez en vos rêves et en vos objectifs !”, c’est ce à quoi le Premier Ministre a invité le Président Jean-Baptiste KY et ses collaborateurs.
Enfin d’audience, le Président de l’ARSE a procédé à la remise officielle du rapport d’activités 2023 de l’ARSE au Premier Ministre conformément à l’article 29 du Décret n°2020-0278/PRES/PM/ME/MCIA/MINEFID du 16 avril 2020 portant attributions, organisation et fonctionnement de l’Autorité de Régulation du Secteur de l’Energie. Aux termes de cet article, « le Président de l’ARSE adresse au Premier Ministre chaque année un rapport qui rend compte de ses activités de l’année précédente. Une copie dudit rapport est adressée au ministre chargé de l’énergie, aux corps de contrôle administratifs de l’Etat et à la Cour des comptes».
Yé Lassina Coulibaly, grand homme de culture, auteur-compositeur, nourrit de grandes ambitions pour l’économie culturelle en Afrique
Dans une perspective de développement d’une Economie culturelle, en Afrique, les projets artistiques et culturels de Yé Lassina Coulibaly, auteur-compositeur, s’articulent, pour les mois et années à venir, autour de trois axes. Son grand souhait, c’est que toutes les grandes nations en prennent connaissance et se situent au croisement des civilisations qui lui tiennent à cœur. Voici ces projets en question…
Yé Lassina Coulibaly, grand homme de culture, auteur-compositeur, nourrit de grandes ambitions pour l’économie culturelle en Afrique
«1 Création d’un spectacle rendant hommage à la civilisation africaine
Chaque pays africain est susceptible de s’approprier ce projet qui se concrétiserait par une célébration nationale en hommage aux grands penseurs et figures de la civilisation africaine qui prônaient l’harmonie et l’égalité des droits entre les hommes et une Afrique fière et allant de l’avant… Tels Nelson Mandéla, Cheik Anta Diop, Aimé Césaire, Myriam Makéba, Césaria Evora, Oum Khalsoum, etc…
Nous sommes riches de notre sous-sol, on l’est aussi de notre identité culturelle.
Il faut démontrer, à travers ce projet, la diversité culturelle, la richesse et l’originalité artistiques de ces pays, en rassemblant des artistes de talent, des voix magiques, des instrumentistes hors pair.
Un tel projet peut faire l’objet d’une production internationale soutenue par un partenariat public/privé, et favoriser une économie culturelle puissante.
2 Réalisation d’un concert pour la paix autour des Polyphonies de balafons.
L’Ensemble des Polyphonies de balafons serait accompagné d’un quatuor à cordes et de quatre sections de cuivres, avec le concours de chanteuses représentant les cinq continents et d’un récitant déclamant des poèmes sur le thème de la Paix.
J’en assurerais la direction artistique ainsi que le choix des artistes.
L’Ensemble des Polyphonies de balafons, que j’ai créé et dont je suis le directeur artistique, est l’aboutissement de mes recherches menées tant en Europe qu’en Afrique.
Ma démarche artistique, placée sous le signe du croisement des cultures, m’a conduit à explorer à la fois le patrimoine musical des répertoires occidentaux de musique classique, jazz, etc … et la richesse des sonorités du balafon (mode tonal et modal), instrument traditionnel africain dont j’ai fait moderniser la fabrication pour le rendre plus mélodieux.
En terme d’image, la ville qui se lancerait dans l’aventure en soutenant ce projet artistique et humain incarnerait l’espérance d’une paix mondiale et offrirait au monde un message de fraternité…
Je suis à la recherche d’une structure porteuse et fais appel à tous les acteurs économiques et culturels pour porter ce projet de concert de la paix avec résidence d’artistes.
3 Proposition de prestations de consultant pour évènements, cérémonies, commémorations culturels, et développement de programmes artistiques.
Au regard de mon expérience musicale de passeur de cultures, j’estime maîtriser suffisamment la connaissance et la synthèse entre l’Afrique et l’Occident sur la scène internationale, pour pouvoir délivrer des prestations de consultant ou de coach dans le domaine artistique et culturel.
Je saurais exploiter les diversités culturelles et jouer des complémentarités entre les atouts des différentes villes ou pays africains, quel qu’il soit: Afrique du Sud, Bostwana, Namibie, Kenya, Ouganda, Centre-Afrique, Burundi, Maroc, Algérie, Egypte, Ethiopie, Mali, Burkina-Faso, Ghana, Nigéria, etc…
Mon ambition serait, au travers du développement d’évènements culturels de toucher les classes populaires, de valoriser des talents d’artistes, de servir la composition, la création et la formation musicales, de tendre vers une labellisation du spectacle vivant, de donner de la crédibilité aux compétences des acteurs culturels locaux, de susciter des synergies entre villes ou pays, de créer une dynamique économique puissante…
Si l’on parvenait à s’unir dans ce type d’alliance, l’Afrique ferait trembler ceux qui nous écrasent depuis des siècles.
Chaque pays a une identité culturelle puissante mais on constate que chaque fois que l’on recherche des collaborations avec les pays développés, c’est toujours catastrophique, parce que ces derniers pensent d’abord à développer leurs atouts et à veiller sur leurs intérêts. De ce fait, la collaboration est toujours déséquilibrée dès lors qu’on ne parvient pas à s’imposer sur le plan économique.
Or, la culture c’est l’un des vecteurs qui peut faire entendre la voix de l’Afrique et favoriser la construction d’une économie puissante, il faut prendre en main notre destin sans le mettre dans les mains des plus riches et viser des partenariats équitables et respectueux
Je reste convaincu que c’est une question de cerveaux, pas de foi ou de religion.
La philosophie et les valeurs qui sous-tendent ma démarche.
Convaincu que l’art est un puissant vecteur de réflexion et favorise la prise de conscience, je souhaite contribuer à réduire l’écart entre la parole et l’action.
J’ai suffisamment vu de détresse sur terre pour rester indifférent aux conséquences des guerres sur les populations : les souffrances physiques et psychiques, la terreur des enfants, la misère… Par ailleurs, trop de gens ne mangent pas à leur faim, ne peuvent se soigner, sont contraints à la survie, en marge d’une société de consommation qui privilégie le profit.
On ne doit pas les oublier ! Cela doit nous faire réfléchir, nous faire prendre conscience que chacun a sa part de responsabilité. La volonté de changement doit venir aussi du peuple, pas seulement des institutions ou des hommes politiques. Il faut que les peuples soient derrière les artistes pour leur donner la force de faire émerger la voix des sans voix.
Réparer les dégâts de tous ordres subis par l’Humanité et par la Nature est une urgence planétaire, sinon comment voulez-vous que les enfants puissent encore rêver d’un monde meilleur?
Je suis en effet très attaché à la défense des droits humains et la paix n’est-elle pas sacrée et essentielle à la survie de l’humanité? Ce n’est pas en cultivant la haine que les civilisations se grandissent mais en consolidant les alliances pour garantir un monde meilleur aux générations futures…
Je pense surtout aux enfants qui sont les premières victimes des conflits déclenchés par la folie des adultes.
Mon ambition serait que mes spectacles apportent un souffle d’espoir pour la paix…
Je crois dans les atouts de l’art et de la culture pour améliorer la communication entre les peuples et réparer les dégâts causés par l’industrie dans les pays riches, et par le pillage des ressources dans les pays détenteurs de richesses naturelles…
Le monde de l’éducation a besoin d’hommes dignes et fiers pour apporter aux enfants la connaissance universelle, la confiance dans les adultes et les institutions, la protection de leur intégrité…
Cela est d’autant plus indispensable que les enfants d’aujourd’hui sont vulnérables face à la séduction d’un monde virtuel qui les gave de messages sans intérêt pour la construction de leur personnalité et les rend dépendants d’une certaine paresse intellectuelle… Ce ne sont pas les réseaux sociaux qui satisferont leur quête d’identité…
En outre, les jeux vidéos se substituent aux jeux improvisés, imaginés en groupe, souvent dans la confrontation avec les camarades… Dans mon enfance, en Afrique, les parties de cerf volant restent ancrées dans ma mémoire, on les fabriquait nous-mêmes, c’est à qui réaliserait le plus coloré, celui qui volerait le plus haut et émerveillerait le plus les enfants rassemblés pour assister à son envol… Le cerf volant était pour nous un symbole de liberté, de légèreté, d’évasion, bien loin des satisfactions fugaces que procure le numérique…
Comment susciter l’envie de plaisirs simples qui laissent des souvenirs inoubliables?
Comment développer le sens critique des adolescents, les aider à résister aux attraits de la facilité, à l’influence de contenus souvent violents ou falsifiant le réel, à ne pas croire que l’Intelligence Artificielle rende désuète l’intelligence humaine, à ne pas devenir dépendants aux écrans?
Il faudrait pouvoir procurer aux enfants et adolescents d’autres références, des possibilités de s’identifier à autre chose que ce qui est proposé par le numérique, afin qu’ils existent autrement que dans le sensationnel, le paraître et la frime, qu’ils redeviennent acteurs de leur propre vie.
Le phénomène est mondial mais je crois que c’est réversible, qu’on peut rompre ce mode de communication, ou au moins que l’on peut le contre balancer et ré-humaniser la société par la culture et l’art. Ne surtout pas baisser les bras!
En ces temps où l’éducation populaire est plus ou moins à l’abandon, il est primordial de s’appuyer sur l’art et la culture pour réparer toutes ces blessures et lutter contre un individualisme bien installé dans nos sociétés modernes. C’est tout un enseignement à transmettre aux enfants…
Il faut toucher le cœur et la sensibilité des gens, réveiller en eux des valeurs telles que la fraternité, la solidarité, le respect et le partage, les amener à une prise de conscience collective.
L’humanité est faite d’hommes et de femmes d’origines, de couleurs et de cultures différentes. Faisons de cette diversité une richesse pour changer les comportements!
Par le biais de manifestations et d’évènements culturels et artistiques favorisant la rencontre, toutes origines et générations confondues, dans une ambiance festive et détendue, nous pouvons renouer avec le plaisir de vivre ensemble en harmonie.
« Il faut s’aimer sans frontières et se rejoindre pour faire le rond »….
Les responsables de l'ARCOP face à la presse ce vendredi 31 janvier 2025 à Ouagadougou
L’Autorité de régulation de la commande publique (ARCOP) a animé ce vendredi 31 janvier 2025 à Ouagadougou, une conférence de presse pour présenter son rapport d’activités 2023, remis officiellement le 17 janvier dernier au Premier ministre Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo.
Les responsables de l’ARCOP face à la presse ce vendredi 31 janvier 2025 à Ouagadougou
Selon le rapport d’activités 2023 de l’ARCOP présenté ce vendredi matin aux hommes et femmes de média à Ouagadougou, 4164 marchés publics ont été conclus par les ministères, les institutions et les autres structures centrales de l’Etat pour un coût global de 206 109 333 881 F CFA, dont plus de 80% sur ressources propres et environ 15% sur financement des partenaires techniques et financiers (PTF). Ce nombre était de 3142 marchés conclus en 2022 pour une valeur de 162 165 475 575 FCFA.
16 dénonciations traitées
Selon le président du conseil de régulation de l’ARCOP Abdallah Y.C Traoré, l’institution a également pris part au cadre de concertation des corps de contrôle de l’ordre administratif, piloté par l’ASCE/LC et a organisé des rencontres d’échanges avec les soumissionnaires et les autorités contractantes, ainsi qu’avec les médias.
«En matière de suivi de l’intégrité du système, 16 dénonciations ont été traitées et ont abouti à la conduite de 4 missions d’enquêtes sur le terrain ayant permis d’établir des mauvaises pratiques ou des fraudes à la réglementation. >>
En ce qui concerne le renforcement des capacités des acteurs publics et privés de la commande publique, l’ARCOP a assuré en 2023, 23 sessions de formation au bénéfice de 643 participants, dont 226 au titre de la formation certifiante en relation avec l’université Thomas Sankara, 266 au titre des formations sur financement de l’ARCOP et 151 au titre de la formation à la carte ou sur demande.
Des améliorations malgré les faiblesses à corriger
Le présent rapport de l’ARCOP note une amélioration de la situation de la commande publique qui s’explique par la réduction du nombre de plaintes et les efforts de renforcement des capacités des autorités contractantes.
Le rapport révèle également un certain nombre de faiblesses relatives notamment à la faible participation des femmes aux sessions de certification ; à l’indisponibilité des données sur l’exécution technique et financière des marchés publics ; aux difficultés de recouvrement de la redevance de régulation concernant marchés publics à paiement direct, financés par les partenaires techniques et financiers, ainsi que les marchés des sociétés d’Etat conclus avec les entreprises étrangères ; à la persistance du non-respect des décisions de l’organe de règlement des différends (ORD).
«Face à ces difficultés, l’ARCOP continuera à se doter de moyens et outils nécessaires afin de toujours relever les défis majeurs pour une commande publique plus transparente, crédible et efficient », a assuré le président du conseil de régulation Traoré.
Pistes pour améliorer la commande publique
En vue de favoriser un meilleur développement du secteur de la commande publique au Burkina Faso, le rapport d’activités 2023 de l’ARCOP préconise. Il s’agit, entre autres, de l’institution de mesures sexospécifiques en vue d’accroître l’accès des femmes aux offres de formation initiale et continue en matière de commande publique ; de l’initiation d’une concertation avec l’ensemble des acteurs sur la problématique des documents non authentiques dans les marchés publics ; de la nécessité d’une réflexion sur l’exigence d’agrément dans les marchés publics. Les recommandations du présent rapport concernent portent égalent sur la révision du mécanisme d’élaboration et d’adoption de la mercuriale des prix, ainsi que sur la mise en place d’une structure chargée de la validation des études de réalisation des infrastructures et du contrôle de leur mise en œuvre.
Enfin, aux dires du secrétaire permanent de l’ARCOP Modeste Yaméogo le présent rapport d’activités 2023 n’a pas pu être remis aux autorités requises, notamment au Premier ministre, en temps normal c’est-à-dire en 2024, à cause des changements institutionnels. Pour le reste, les efforts sont en train d’être faits pour rattraper le retard pour les prochains rapports de l’ARCOP, à commencer par celui de 2024 qui doit être remis au cours de 2025.
La SONABEL informe ses abonnés du Centre régional de consommation de Ouagadougou (CRCO) qu’elle entreprendra des travaux d’entretien et de raccordement de nouveaux postes HTA/BT le samedi 1er février 2025. Des travaux qui vont entraîner une suspension temporaire de la fourniture de l’électricité dans plusieurs quartiers et localités environnantes de la capitale. Communiqué.
«Suspension temporaire de la fourniture de l’électricité ce 1er février 2025 dans plusieurs quartiers et localités environnantes de Ouagadougou
La SONABEL informe ses abonnés du Centre Régional de Consommation de Ouagadougou (CRCO) qu’elle entreprendra des travaux d’entretien et de raccordement de nouveaux postes HTA/BT le samedi 1er février 2025
Ces travaux qui visent à améliorer la qualité du réseau de distribution vont nécessiter une suspension temporaire de la fourniture de l’électricité selon le programme et les zones ci-après :
– 07h à 14h : dans la Zone Industrielle de Kossodo (usine YHAO, GU Junteng, Burkina Cotton and Gold, CHENG Xin, Faso FOAM), Polsogo, Pabré, Nioniogo, Pagatenga, Gambastenga, Goupana, Gaskaye, Salé, Kanghin, Dapélogo, Ourgou-Manéga, Malou, Yilou, Sabcé, Kongoussi et environs.
– 08h à 12h : dans les zones de Kouba, Kalgodin, Téyoko, Gounghin, Kièdpalogo, Koubri, Napag-Tenga, Goounghin, Mogtédo, Sabsin, Diépo, Kombissiri, Gouaga, Bonsryma, Béré, Tampouy, Donsin, Guiba, Nobéré, Bindé, Gogo, Manga et environs.
– 08h à 16h30 : dans les zones de Bang-Pooré, ONEA RI, Kamboinsin, Sakoula, Katabtenga, Pabré, Ouidi, Paul VI, ONEA RA, Kossoghin, Tampouy, Sig-Noghin, Nonsin, Rimkiéta, Tampouy, Kilwin.
Pendant la période de l’intervention, les appareils et installations devront, par mesure de sécurité, être considérés comme restant sous tension.
La SONABEL présente par avance ses excuses à la clientèle pour les éventuels désagréments.
SONABEL, ensemble au service d’une grande ambition !
Le Département Communication et Relations Publiques»
L’Office National de l’Eau et de l’Assainissement (ONEA) informe ses abonnés des quartiers de Marcoussi, Bissighin, Yagma, Tampouy, Kilwin, Pazanni, Bassinko, Sabtenga, Kamboinsin, Tanghin, Kossodo, Nioko II, Polesgo, Toudbweogo, Somgandé, Bangpooré; Wobriguéré, Sakoula, Pabré,Loumbila que l’alimentation en eau potable dans leur zone connaîtra des perturbations.
Cette situation est occasionnée par une fuite provoquée par les travaux routiers sur la conduite principale de diamètre 1200 mm alimentant les réservoirs des quartiers concernés, non loin de la zone industrielle de Kossodo.
Les équipes, déjà mobilisées, sont à pied d’œuvre pour la réparation de ladite fuite.
L’ONEA, s’excuse des désagréments occasionnés par cette situation et remercie son aimable clientèle pour la compréhension.