Un citoyen voit en l’autorisation des avocats étrangers à plaider en faveur de l’ancien ministre des Affaires étrangères, Djibrill Bassolé, une lueur d’espoir pour l’administration d’une justice équitable. Lisez plutôt!
BASSOLE

La cour de cassation burkinabè, vient d’annuler la décision du juge d’instruction militaire en charge du dossier putsch relative à l’éviction des avocats étrangers.

Le juge avait-il une méconnaissance du droit positif burkinabè ?
Il fit référence au code de justice militaire en son article 31 pour prendre la décision selon laquelle, un avocat étranger ne saurait connaître d’un dossier devant le tribunal militaire burkinabè. Or cet article a pris le soin de préciser qu’il ne saurait être contraire aux conventions et traités ratifiés et promulgués par le Burkina Faso. Puisque la mention  » sous réserve des conventions ratifiées par le Burkina » y était clairement inscrite.

Le juge ignorait- il certains textes du droit positif burkinabè ? Ou l’on doit juste donner raison au Général Djibrill BASSOLE quand il dit qu’il est victime d’un acharnement juridico judiciaire ? Choisissez !!!!
La cour de cassation en annulant cette décision illégale, abusive vient donner une lueur à l’image de notre justice semant dès lors les indices de la justice vraie. C’est vraiment un signe d’espoir pour l’administration d’une justice équitable.

Nous espérions la déclaration d’irrecevabilité des prétendues écoutes téléphoniques dans ce dossier qui mérite tout le sérieux du droit.

Justice pour SEM Djibrill BASSOLE.

Lassina KO
lassinakowelfare@gmail.com

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