Ceci est un message du Premier ministre Christophe Dabiré à l’occasion de la célébration de la Pâques. Lisez plutôt !
Photo d’illustration
«Célébration de la Pâques : Le message de Son Excellence Monsieur le Premier ministre, Christophe Joseph Marie Dabiré
« Les fidèles chrétiens s’apprêtent à célébrer dans la joie et la ferveur, la Pâques, ou la résurrection de Jésus-Christ. Cette célébration intervient après 40 jours de carême, de prières, de pénitence et de partage.
A cette occasion, je voudrais particulièrement adresser mes vœux de bonne fête à tous les fidèles chrétiens du Burkina Faso. Je souhaite que leur dévotion durant ce temps de carême et la solennité de cette célébration, continuent d’accompagner notre pays sur les chantiers du développement, dans la paix et la cohésion sociale.
Je saisis cette opportunité pour rappeler à tous, que la pandémie de la Covid-19 est toujours présente dans notre pays et que par conséquent, nous ne devons jamais baisser la garde. Ensemble, respectons toujours les mesures barrières ».
Ouhoumoudou Mahamadou est le nouveau Premier ministre du Niger, nommé ce 3 avril par le président Mohamed Bazoum
Ouhoumoudou Mahamadou est le nouveau Premier ministre du Niger. Au lendemain de son investiture, le président nigérien Mohamed Bazoum l’a nommé ce samedi 3 avril 2021. C’est donc à ce gardien du temple Issoufou qu’incombe désormais la lourde responsabilité de remplacer l’indéboulonnable Brigi Rafini, Premier ministre du 7 avril 2011 au 2 avril 2021.
Ouhoumoudou Mahamadou est le nouveau Premier ministre du Niger, nommé ce 3 avril par le président Mohamed Bazoum
Avant d’exercer pendant de longues années les fonctions de directeur de cabinet du président Mahamadou Issoufou 2015-2020 ; Ouhoumoudou Mahamadou a été argentier, ministre des finances dans le premier gouvernement Brigi Rafini, notamment de 2011 à 2012.
Par ailleurs ; Ouhoumoudou (65 ans) a été de 1991 à 1993, ministre des mines et de l’énergie. En le nommant chef du gouvernement, Mohamed Bazoum, pour début de mandat, indique clairement qu’il s’agit d’un changement dans la continuité.
A la date du 28 mars, sur 492 échantillons analysés, le Centre des opérations des urgences sanitaires (CORUS) a relevé 12 nouveaux cas confirmés, tous à transmissions communautaires (05 à Ouagadougou, 04 à Bobo-Dioulasso, 01 à Bittou, 02 à Niankorodougou) et 15 nouvelles guérisons. Ce qui donne le nombre total des cas confirmés et des guérisons depuis le 9 mars 2020 à respectivement 12 445 et 12 803.
Aucun nouveau décès n’ayant été enregistré à cette date, le nombre total depuis le 9 mars 2020 reste 150.
A la date du 1er avril, le Centre des opérations des urgences sanitaires (CORUS) a relevé 17 nouveaux cas confirmés et 10 nouvelles guérisons de Covid-19 dans le pays. Ce qui donne le nombre total des cas confirmés et des guérisons depuis le 9 mars 2020 à respectivement 12 791 et 12 430. Nombre de cas actifs : 211.
Un nouveau décès ayant été enregistré à cette date, le nombre total depuis le 9 mars 2020 passe à 150.
Mohamed Bazoum a été investi 10e président du Niger à l'âge de 61 ans
C’est fait. Mohamed Bazoum est le nouveau président élu du Niger. Il a été officiellement installé dans ses fonctions de chef de l’Etat ce 2 avril 2021 à Niamey au cours d’une cérémonie à laquelle ont participé plusieurs chefs d’Etat de la région dont le président Roch Marc Christian Kaboré. A 61 ans, il devient le dixième président du pays depuis son accession à l’indépendance en 1960.
De nombreux présidents de la région dont le président Roch Marc Christian Kaboré ont assisté à l’investiture du nouveau président du Niger
Vainqueur de l’élection présidentielle du 21 février avec plus de 55 % des voix, Mohamed Bazoum est officiellement depuis ce 2 avril 2021, le nouveau président du Niger. En effet, Il a été installé ce jour même dans ses fonctions de chef de l’Etat à Niamey au cours d’une cérémonie au Centre international de conférence Mahamat Gandhi de Niamey, en présence de nombreux présidents de la région dont le président Roch Marc Christian Kaboré. A 61 ans, il devient le dixième président du pays depuis son accession à l’indépendance en 1960.
Conformément à l’article 50 de la Constitution du Niger, le président entrant a prêté serment sur le Coran en ces termes : « Nous jurons solennellement sur le Livre Saint, de respecter et faire respecter la Constitution, que le Peuple s’est librement donnée, de remplir loyalement les hautes fonctions dont nous sommes investis… ».
Défi sécuritaire à relever pour le président investi
Mohamed Bazoum a été investi 10e président du Niger à l’âge de 61 ans
Entre autres défis qui attendent le nouveau président nigérien fraîchement investi figure la lutte contre le terrorisme, avec notamment la multiplication des attaques contre des civils ces dernières semaines. La dernière attaque perpétrée le 21 mars, a fait quelques 141 morts dans trois villages touareg et campements environnants. De ce point de vue ; son prédécesseur Mahamadou Issoufou lui lègue un Etat en grandes difficultés, y compris politiques.
Le candidat de l’opposition, l’ancien président Mahamane Ousmane continue de rejeter les résultats du second tour remporté par Mohamed Bazoum à hauteur de 55,75% des voix, selon le Conseil constitutionnel. C’est dans ce contexte que le pouvoir sortant a annoncé avoir déjoué une tentative de putsch le 30 mars dernier. Malgré tout, Bazoum s’est voulu rassurant et déterminé à assumer ses obligations de chef de l’Etat, garant qu’il est désormais de la sécurité de ses compatriotes, excluant pour l’heure toute négociation avec les terroristes.
Le président du Faso Roch Kaboré accueilli à sa descente d'avion par le Premier ministre nigérien Brigi Rafini
Selon ce communiqué de la Direction de la communication de la présidence du Faso, le président Roch Marc Christian est déjà dans la capitale nigérienne pour assister demain à l’investiture du nouveau président élu du Niger, Mohamed Bazoum.
Le président du Faso Roch Kaboré accueilli à sa descente d’avion par le Premier ministre nigérien Brigi Rafini (à droite)
«Investiture du nouveau président élu du Niger : le président du Faso à Niamey
(Niamey, 1er avril 2021. TU+1). Le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré est arrivé cet après-midi à Niamey au Niger, où il prendra part à la cérémonie d’investiture du nouveau président Mohamed Bazoum ce 2 avril 2021, au centre international de conférence Mahatma Gandhi de Niamey.
Élu à l’issue du second tour de l’élection présidentielle du 21 février 2021 avec un taux de 55,75% des voix, Mohamed Bazoum va prêter serment devant le Conseil constitutionnel pour un mandat de 5 ans.
Direction de la communication de la présidence du Faso»
Une vue des participants à l'ouverture de la première session de l'année du CNGCD-COVID-19
Au Burkina Faso, malgré les avancées sur le front de la riposte contre la Covid-19 avec la réduction du nombre des cas confirmés (31 à la date du 30 mars 2021) ; le gouvernement et ses partenaires ne baissent pas la garde. Ils ont réaffirmé ce jeudi 1er avril 2021 à Ouagadougou leur détermination à ne pas relâcher les efforts. C’était au cours de la première session de l’année du Comité national de gestion de la crise de la pandémie du Covid-19 (CNGCD-COVID-19) présidée par le chef du gouvernement, Christophe Dabiré.
Le Premier ministre Christophe Dabiré a présidé la session
«Nous devons avoir le triomphe modeste, parce que ce n’est pas parce qu’aujourd’hui, nous avons des chiffres qui sont en train de baisser que nous devrons être satisfaits, en disant que le pire est derrière nous. Nous devons continuer de travailler de sorte que nous puissions contenir la propagation de cette maladie dans notre pays». Ce sont là des propos du Premier ministre Christophe Dabiré à l’ouverture ce jeudi 1er avril 2021, de la première session de l’année du Comité national de gestion de la crise de la pandémie du Covid-19 (CNGCD-COVID-19).
Abordant la question pressante de la réouverture des frontières terrestres, le PM Dabiré a prôné la prudence. «Il est vrai que cette question se pose avec acuité mais il ne faut pas céder à la pression, dans la mesure où nombreux sont les pays qui sont dans une logique de reconfinement de leurs populations».
Une vue des participants à l’ouverture de la première session de l’année du CNGCD-COVID-19
Même prudence gouvernementale sur la question des vaccins. «Notre pays fera le point avec ses partenaires de la communauté internationale afin de faire des choix objectifs qui correspondent aux défis du moment, sans pour autant céder à la pression de qui que ce soit», a tempéré le chef du gouvernement.
«Le Gouvernement est dans une démarche progressive et en temps opportun, il va prendre une décision, et fera le meilleur choix pour les Burkinabè», soutiendra pour sa part le ministre de la Santé, Pr Charlemagne Ouédraogo. La question des vaccins reste aussi donc sur la table gouvernementale.
Il faut rappeler que des pays voisins comme le Ghana et la Côte d’Ivoire ont déjà reçu des doses de vaccins anti-Covid-19 de la communauté internationale.
A la date du 30 mars, sur 721 échantillons analysés, le Centre des opérations des urgences sanitaires (CORUS) a relevé 31 nouveaux cas confirmés, tous à transmissions communautaires (26 à Ouagadougou, 04 à Bobo-Dioulasso, 01 à Niankorodougou) et 15 nouvelles guérisons.
Ce qui donne le nombre total des cas confirmés et des guérisons depuis le 9 mars 2020 à respectivement 12 748 et 12 400. Nombre de cas actifs : 199.
Trois nouveaux décès ayant été enregistrés à cette date, le nombre total depuis le 9 mars 2020 passe à 149.
A la veille de son départ du palais, le président sortant du Niger Mahamadou Issoufou s'est adressé à ses compatriotes ce jeudi
Alors qu’il s’apprête demain 2 avril à remettre officiellement le pouvoir à son dauphin, Mohamed Bazoum, nouveau président élu du Niger, le président sortant Mahamadou Issoufou s’est adressé ce jeudi à ses concitoyens dans une adresse solennelle dont voici l’intégralité.
A la veille de son départ du palais, le président sortant du Niger Mahamadou Issoufou s’est adressé à ses compatriotes ce jeudi
«MESSAGE A LA NATION DE SON EXCELLENCE ISSOUFOU MAHAMADOU
PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE, CHEF DE L’ETAT
(1er Avril 2021)
NIGERIENNES, NIGERIENS,
MES CHERS CONCITOYENS,
C’est la toute dernière fois que je m’adresse à vous, en tant que Président de la République. Permettez-moi de vous exprimer toute ma reconnaissance pour m’avoir donné l’occasion de vous servir tout au long de ces dix dernières années. Ce fut pour moi un immense honneur. Depuis 1960, soit depuis plus de soixante ans, je suis le neuvième à avoir eu cet honneur. Je mesure donc la chance que la vie m’a offerte, en me permettant de réaliser un vœu que je caressai depuis ma plus tendre enfance : être Président de la République. Au départ, le petit écolier que j’étais, exprimait ce vœu sans savoir pourquoi, ou tout au plus, peut-être pour devenir quelqu’un d’important. Ce n’est que plus tard que j’ai su que c’était la position la plus élevée qu’un citoyen puisse occuper pour servir son pays. Mon expérience confirme l’importance, pour un homme, d’avoir un but dans sa vie, de préférence très tôt, et d’y travailler sans relâche. Je souhaite que les jeunes, garçons et filles, qui m’écoutent retiennent cette première leçon.
MES CHERS CONCITOYENS,
Les circonstances de la vie m’ont mis en contact avec d’autres compatriotes qui avaient, aussi, cette seule ambition. Ces camarades pour lesquels j’éprouve une immense fierté, avec lesquels je partage les mêmes valeurs, ont fait, avec peu, des choses extraordinaires.
Toujours unis, ils ont construit, dans l’adversité, un parti puissant, le plus puissant de toute notre histoire démocratique de ses trente dernières années. Après vingt ans d’opposition, ils ont conquis ensemble le pouvoir d’Etat qu’ils exercent maintenant depuis dix ans et qu’ils vont continuer d’exercer pendant les cinq prochaines années conformément à la volonté populaire exprimée dans les urnes le 21 Février dernier.
De cette expérience se dégage une autre leçon : la politique se fait autour des valeurs et non sur des bases identitaires. Nous ne nous sommes pas trompés en nous engageant sur cette voie. L’élection du Président Bazoum et le déclin des partis identitaires le prouvent. Je demande aux jeunes de méditer cette deuxième leçon.
MES CHERS CONCITOYENS,
L’élection du Président Bazoum constitue un pas important vers la modernisation politique. Désormais, tout Nigérien, quelle que soit son origine ethnique, peut espérer être Président de la République. Cet espoir est une contribution importante à la consolidation des institutions démocratiques et républicaines, un des axes du programme de renaissance et au renforcement de l’unité nationale. Je me réjouis de ce que cette consolidation se reflète dans l’accroissement de la capacité de l’État à lever l’impôt et à mobiliser les ressources externes. Je me réjouis de ce que cette consolidation se reflète dans la résilience de nos institutions face aux tentatives successives de déstabilisation. En effet, en dix ans, nous avons dû faire face à quatre tentatives de coup d’Etat dont la dernière, en date, est intervenue dans la nuit du 30 au 31 Mars 2021, il y a à peine 48 heures. C’est, à n’en point douter, une tentative désespérée de reprendre, par les armes, le pouvoir des mains de ceux qui l’ont conquis dans les urnes.
C’est le lieu de féliciter la garde présidentielle dont l’engagement, le loyalisme et le professionnalisme ont permis de mettre en échec ce projet funeste. C’est aussi l’occasion de saluer et de féliciter l’écrasante majorité des éléments des forces de défense et de sécurité pour leur comportement républicain. Cette écrasante majorité a compris qu’« il y a deux choses saintes : le drapeau qui représente l’honneur militaire et la loi qui représente l’honneur national…..Le plus grand des attentats c’est le drapeau levé contre la loi ». Malheureusement, il existe en leur sein une minorité compacte de putschistes qui lèvent le drapeau contre la loi, qui prétendent faire un arbitrage au-dessus du peuple souverain, qui ignorent de manière délibérée que, une fois le chemin choisi par l’État et la Nation, le devoir militaire est tracé une fois pour toute.
Ces criminels et leurs commanditaires intérieurs et extérieurs seront recherchés, identifiés et punis conformément à la loi. En dépit des efforts de consolidation des institutions démocratiques réalisés pendant la décennie, les démons du putschisme ne sont pas morts. Que la démocratie soit réversible dans notre pays est une autre leçon qu’il faut tirer de ces évènements.
MES CHERS CONCITOYENS,
Depuis dix ans, j’ai eu à vous présenter, chaque année, le bilan de la mise en œuvre du Programme de Renaissance. Le Gouvernement vient d’en adopter le bilan décennal, bilan récemment rendu public par le Premier Ministre, à travers une conférence de presse. Rappelez-vous, ce programme a été élaboré dans la perspective d’un contexte de stabilité favorable au développement économique et social de notre pays.
Cependant, lors de sa mise en œuvre, aux défis déjà existants (institutionnel, climatique, démographique, instabilité des prix des matières premières) sont venus s’ajouter de nouveaux défis au niveau sécuritaire et sanitaire avec la covid-19. En dépit de ces défis, les promesses faites au peuple nigérien ont été tenues. En effet, avec un taux de croissance moyen annuel d’environ 6%, l’économie de notre pays a été, sur la période, une des plus dynamiques. Cette croissance a été inclusive et a concerné tous les secteurs.
Elle a permis de réduire la pauvreté, surtout en milieu rural, et d’amorcer la transformation du pays. Les ressources intérieures et extérieures mobilisées ont permis non seulement d’assurer la sécurité du pays face au terrorisme et au crime organisé et de consolider les institutions démocratiques, mais aussi d’investir dans les infrastructures routières, énergétiques, de télécommunication, urbaines, dans l’initiative 3N, dans le développement du capital humain (éducation, santé, eau) et dans la création d’emplois notamment pour les jeunes. Je me réjouis donc d’avoir honoré mes promesses. Mais cela n’aura pas été possible sans votre mobilisation. Grâce à votre soutien, votre engagement et votre résilience, le Gouvernement a pu mobiliser les recettes, améliorer l’efficacité de la dépense publique et amorcer le processus de transformation du pays. Cela n’aura pas été non plus possible sans le soutien de nos partenaires techniques et financiers que je remercie en votre nom. L’effort de transformation est du reste reconnu sur le plan international à travers notamment le prix Mo Ibrahim qui m’a été attribué par la Fondation Mo Ibrahim.
En dépit de nombreuses réalisations faites pendant cette décennie, beaucoup reste à faire. Le chantier de construction d’une nation est un processus dynamique de longue haleine, un processus sans fin. Voilà pourquoi il a besoin de la solidarité des générations, chacune s’efforçant de remplir sa mission, de poser sa pierre en vue de l’édification de la maison commune. Je pense que la nôtre a rempli sa mission et je souhaite bonne chance aux générations à venir. Pour ces générations, une des leçons que me dicte mon expérience est que de tous les défis auxquels notre pays est confronté, le défi institutionnel est le plus décisif à surmonter. C’est le nœud gordien de tous les défis. Nous devons poursuivre l’effort de construction d’institutions fortes et stables. Elles seules permettront à l’ordre et la liberté de se garantir et à l’unité nationale de se renforcer.
Ni dictature, ni anarchie mais des institutions démocratiques fortes. Le jour où nous les aurons mises en place de manière irréversible, notre pays sera sauvé et pourra, avec assurance, poursuivre sa marche vers l’émergence caractérisée par un régime politique stable, une croissance économique forte, une transition démographique achevée et une classe moyenne nombreuse. Les résultats obtenus dans la mise en œuvre du programme de renaissance, notamment la réalisation de la première alternance démocratique de notre histoire, depuis 60 ans, constituent un pas important dans cette direction.
MES CHERS CONCITYENS,
Je passe donc le témoin, demain 2 Avril 2021. Ce jour est un des meilleurs de ma vie. Du reste, en 2011, au lendemain de mon élection comme Président la République, beaucoup d’amis m’ont dit que ce n’était pas le moment de me féliciter. Ils m’ont promis de le faire à la fin en souhaitant que celle-ci soit bonne. Je constate, aujourd’hui, qu’ils tiennent cette promesse. Ce jour est un des meilleurs de ma vie parce que, cerise sur le gâteau, vous avez désigné, pour me succéder, mon camarade, mon frère et ami, le Président Mohamed Bazoum. Je considère son élection comme une approbation, par la majorité d’entre vous, des résultats obtenus dans la mise en œuvre du programme de renaissance actes 1et 2. Je considère aussi que cette majorité a porté son choix sur lui parce qu’elle approuve son programme, le Programme de Renaissance acte 3, « consolider et avancer », un programme qui porte la promesse de la poursuite des transformations dans lesquelles le pays est engagé. Au-delà de cette majorité qui l’a porté au pouvoir, je vous demande tous de vous joindre à lui, de le soutenir et d’écrire avec lui de nouvelles et belles pages de l’histoire de ce pays qui nous est si cher : le Niger.
Au revoir mes chers concitoyens. Que Dieu vous garde et vous bénisse. Que Dieu garde et bénisse le Niger.