Ce communiqué de l’Union pour le progrès et le changement (UPC) est relatif au drame d’Ogossagou au Mali où plus de 160 villageois de la «communauté peule».
«Communiqué de presse
L’Union pour le Progrès et le Changement (UPC) a appris avec indignation le massacre de 160 villageois de la communauté peule d’Ogossagou par des milices de chasseurs, le samedi 23 mars 2019 en République du Mali.
Tout en condamnant fermement cette tuerie, l’UPC présente ses sincères condoléances aux familles éplorées et au peuple frère du Mali. Elle souhaite prompt rétablissement aux blessés.
Notre parti souhaite qu’une justice équitable et diligente soit rendue aux victimes.
Cet épisode sanglant chez nos voisins nous fait revivre le triste souvenir du massacre de Yirgou début janvier 2019. Aussi bien à Ogossagou qu’à Yirgou, des vies humaines ont été ôtées dans la folie de l’amalgame. Dans ces deux localités, justice doit être rendue, et les Etats doivent veiller à la sécurité des personnes et des leurs biens.
Ouagadougou, le 27 mars 201»
Pour le Bureau Exécutif Central,
Le 2ème Vice-Président chargé des questions politiques,
Le Green climate fund ou encore le Fonds vert pour le climat, en partenariat avec l’Organisation des nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), tient depuis ce matin, un atelier, dans l’optique de renforcer la synergie d’action entre les parties prenantes pour une mobilisation plus accrue des financements du Fonds vert pour le climat, au profit du Burkina Faso. C’est la 1ère rencontre du dialogue structuré dans le cadre du Fonds vert pour le climat.
Le présidium à l’ouverture de la rencontre
Pour l’autorité nationale désignée du Fonds vert pour le climat, Issaka Ouédraogo, le fonds finance des projets et des programmes justifiant un impact climatique évident et qui sont mis en œuvre dans les pays en développement. Ses interventions, poursuit-il, couvrent les volets d’adaptation (secteurs de la santé, de la sécurité alimentaire et de la qualité de l’eau, des infrastructures et constructions…) et d’atténuation (l’énergie, les transports, les industries, les forets). Il va dans cette démarche laisser entendre que l’accès aux ressources du fonds vert est très compétitif et passe par la soumission de projets et programmes convainquant.
Le le ministre de l’environnement,de l’économie verte et du changement climatique, Nestor Batio Bassière, a présidé la cérémonie
Faisant cas des effets du changement climatique, le ministre de l’environnement,de l’économie verte et du changement climatique, Nestor Batio Bassière, représentant le Premier ministre Christophe Joseph Dabiré, a affirmé que « l’exploitation durable des ressources naturelles, l’urbanisation croissante, la dividende démographique, l’inclusion sociale, la gestion durable des terres, des eaux et des sols, le développement d’un secteur de transport moins polluant et la production d’énergie propre », sont entre autres les défis confrontés et amplifiés par ce phénomène du changement du climat, qui est diront d’aucuns, une menace globale aux conséquences de plus en plus désastreuses sur les ressources et les communautés. Ce diagnostic, selon le ministre Bassière, est d’autant plus inquiétant pour un pays en développement comme le Burkina Faso, où la plus grande partie de la population tire directement ses ressources de l’exploitation des ressources naturelles à travers l’agriculture, l’élevage et l’exploitation des produits forestiers.
Pour clore son intervention, le ministre Bassière pense bien qu’au sortir de cet atelier, l’ensemble des acteurs prendront conscience et pourront mettre en place des projets et des programmes, en respectant les conditions de financement du fonds vert pour le climat, afin de permettre au Burkina d’en bénéficier, dans la mesure où il est confronté aux effets du changement climatique.
Les Journées portes ouvertes (JPO) de la Société nationale d’électricité du Burkina (SONABEL) se sont poursuivies ce dimanche 24 mars à Ouagadougou avec la visite de deux centrales thermiques : Ouaga I et de Kossodo. Comme les visites précédentes à Zagtouli et à Komsilga, l’objectif de la présente visait à amener les abonnés, citoyens de la SONABEL à comprendre ce qui est fait au quotidien, souvent dans des conditions difficiles, pour leur offrir le service de l’électricité.
Même à l’arrêt, Ouaga I, la plus vieille centrale thermique de la SONABEL, continue d’alimenter une bonne partie de la capitale en électricité
Parti du siège de la SONABEL à 9H, l’équipe des visiteurs a fait sa première escale à la centrale d’électricité Ouaga I située à Paspanga. Cette centrale datant de 1953, c’est-à-dire depuis le temps des colons, a encore des machines plus modernes, vielles de 1991. Nonobstant sa vieillesse, elle alimente une importante partie de la ville de Ouagadougou avec 11 départs. A l’origine, dira Tarnagda Bakary Tarnagda, chef de la centrale en question, c’était la seule qui distribuait à l’époque le courant. «Mais avec l’évolution, nous avons fait faire des appoints de 5MW » a-t-il ajouté. Mais que faire en cas de black-out ? « En cas de black-out, nous avons un groupe secours pour prendre automatiquement nos auxiliaires », a répondu monsieur Tarnagda.
Dans la centrale de Kossodo
En pleine visite dans la centrale de Kossodo
Quant à la centrale de Kossodo, elle est presque deux fois plus grande que celle de Paspanga, et elle a vu le jour en 2000, soit 19 ans de service dans la distribution de l’électricité aux populations. Cette centrale est équipée au total de huit groupes, avec 50MW d’extension en vue, alimente toute la zone industrielle de Kossodo. Deux gros récipients de stockage de combustible (3 millions de litres et 2 millions de litres) contribuent au fonctionnement des machines. «Ces stockages de combustibles n’atteignent pas 12 jours », informe le chef de la centrale de Kossodo, Amidou Sawadogo, s’adressant justement aux visiteurs.
Le directeur de la production Lassana Zoungrana (en casquette à l’extrême gauche) et collaborateurs répondant aux questions des visiteurs
Hormis Ouagadougou, la centrale de Kossodo alimente aussi des villes comme Kaya, Ouahigouya, Kongoussi, Laye, Ziniaré voire Djibo. 70 agents permanents et 22 agents temporaires constituent le personnel. Quatre (4) citernes de carburant sont utilisés chaque jour pour répondre aux besoins des machines de production de l’électricité. Dans chaque groupe, les agents se communiquent à l’aide des téléphones ou des radios.
Prévention des incendies
Dans le but de maitriser ou d’éviter des incendies, « les sapeurs-pompiers viennent chaque année nous former » affirme Amidou Sawadogo. « S’il y a extension à faire dans cette centrale, ça serait sur notre nouveau site situé sur la route de Koupéla», a-t-il conclu.
La visite de ces centrales a permis aux visiteurs de toucher du doigt le sacrifice que la SONABEL fait au quotidien pour satisfaire sa clientèle.
C’est un véritable sacrifice que nombre de Burkinabè ignorent. «Avec ce que j’ai vu et entendu, vraiment les agents de la SONABEL méritent des encouragements de notre part. En tant que consommateurs aussi, nous devons éviter l’incivisme et faire en sorte qu’ils continuent de servir davantage», a indiqué Sidiki Sérémé, membre d’organisation de la société civile.
Satisfaction des organisateurs
Hamed Baba Coulibaly, président du comité d’organisation, a exprimé sa satisfaction par rapport à la participation des citoyens aux journées portes ouvertes
A l’issue de la visite, c’était la satisfaction dans les rangs des organisateurs. Hamed Baba Coulibaly, président du comité d’organisation des JPO, s’est félicité de la participation des abonnés, du public à cette visite des centrales Ouaga I et Kossodo, en ce que cela a permis de toucher du doigt les efforts qui sont faits au quotidien pour fournir le service de l’électricité. Et de rappeler que la SONABEL est une société d’Etat au service des populations.
Aux côtés du président Coulibaly, se trouvaient d’autres responsables de la SONABEL à l’image du directeur de la production, Lassana Zoungrana, le chef du département hydroélectricité Founémé Millogo, le chef du département communications et relations publiques, Cheick Oumar Boni, pour ne citer que ceux-là. Ils ont tous participé à l’intéressante phase de questions-réponses de la visite qui aura permis d’apporter les éléments de réponses à toutes les préoccupations soulevées. D’où la satisfaction des organisateurs.
Faut-il le rappeler, les Journées portes ouvertes de la SONABEL se tiennent sous le thème «Enjeux et défis du mix énergétique au Burkina Faso». Elles s’achèvent ce lundi à Ouagadougou avec une conférence publique sur la facturation.
Les membres du Réseau des spécialistes en communication pour l’ARREC, posant avec les officiels dont le président Pr. Honoré Bogler
Régulation régionale de l’électricité de la CEDEAO
Le Réseau des spécialistes en communication pour l’ARRECest né
A la faveur d’un atelier animé les 19 et 20 mars 2019 à Tutu Akwapem (près d’Accra au Ghana) à l’initiative de l’Autorité de régulation régionale de l’électricité de la CEDEAO (ARREC), un réseau des spécialistes en communication pour l’ARREC a été porté sur les fonts baptismaux. Cet atelier a également été l’occasion de clarification des résultats attendus des membres du réseau naissant.
Les membres du Réseau des spécialistes en communication pour l’ARREC, posant avec les officiels dont le président Pr. Honoré Bogler
La cérémonie d’ouverture de cet atelier a été marquée par le discours du Président de l’ARREC, Pr Honoré Bogler. Celui-ci a justifié le bien-fondé de la mise en place ce 20 mars 2019, du réseau des spécialistes en communication pour l’ARREC par le fait que « le métier de régulation en Afrique est un nouveau métier » qui mérite d’être expliqué afin de susciter la nécessaire adhésion de l’ensemble des acteurs (populations et autorités publiques notamment) de l’électricité au sein de l’espace CEDEAO. Au-delà, ce réseau est voulu pour satisfaire à un « besoin de mutualisation » des moyens et de « coordination des efforts » en matière de communication.
Le Pr Bogler a précisé ces éléments de justification devant les responsables de la communication des instances nationales ouest-africaines de régulation de l’électricité. Ces responsables de la communication ont également été éclairés sur les bénéfices qu’ils peuvent bien tirer de l’existence opérationnelle du réseau. En effet, ce réseau permettra de « mettre tous les régulateurs au même niveau d’information dans leur domaine d’activités », d’assurer « un large écho des actions de régulation dans la sous-région » et « une plus large dissémination des informations venant de l’ARREC vers les régulateurs nationaux et inversement, des régulateurs nationaux vers l’ARREC ».
Mais pour qu’il en soit ainsi, il est attendu des membres du réseau plusieurs démarches et actions. Ils sont notamment invités à contribuer à la visibilité de l’ARREC dans les différents pays pour lui permettre d’atteindre ses objectifs ; à favoriser une compréhension des réglementations édictées par l’ARREC ; à favoriser une bonne compréhension des opportunités du marché régional d’électricité ; à contribuer à la sensibilisation des acteurs et des parties prenantes que sont les hommes politiques, les clients immédiats (achats en gros, transport) et les investisseurs qui doivent être au courant de l’existence de l’ARREC pour faciliter les transactions au niveau sous régional.
A la fin de l’atelier de 48 heures, le Pr Honoré Bogler a vivement émis le souhait que le réseau naissant « grandisse et qu’il se raffermisse avec le temps dans l’intérêt de la régulation de l’électricité ». De l’avis du Pr Bogler, ce réseau est une instance dont les résultats des actions doivent bénéficier à tous les régulateurs de la sous-région ouest-africaine car, précise-t-il, « nous sommes engagés sur le combat d’une meilleure gouvernance de notre secteur de l’électricité. »
Le président malien, Ibrahim Boubacar Kéita, vivement contesté par son opposition
Le massacre samedi de 130 maliens d’ethnie Peulh semble être pris au sérieux au sommet de l’Etat. En réaction à ces violences intercommunautaires meurtrières le gouvernement malien s’est réuni ce dimanche en conseil extraordinaire des ministres à l’issue duquel des mesures fortes été annoncées.
Le président Ibrahim Boubacar Kéita et son gouvernement se sont montrés fermes sur la situation
«Le Conseil des Ministres s’est réuni en session extraordinaire, le 24 mars 2019 à Koulouba sous la présidence du Chef de l’Etat.Le Conseil a dissout l’Association Dan Na Ambassagou, et procédé à la nomination de nouveaux Chefs militaires».
Ce tweet de la présidence malienne résume les mesures prises par l’exécutif malien face aux violences communautaires meurtrières perpétrées ce samedi 23 mars par des éléments du groupe armé dogon relevant de l’Association Dan Na Ambassagou.
«Ce réajustement était nécessaire pour donner un nouveau souffle à nos acquis », a martelé le Premier ministre malien Soumeylou Boubeye Maïga.
Espérons que cela suffira à ramener la paix entre communautés Dogon et Peulh, principaux victimes de ces violences.
La Société nationale de l’électricité du Burkina (SONABEL) tient du 22 au 24 mars 2019 ses premières journées portes ouvertes. Au menu de ces JPO de la SONABEL présidées par le ministre de l’énergie, Dr Bachir Ismaël Ouédraogo, plusieurs activités.
Lancement officiel des journées portes ouvertes de la SONABEL
«Enjeux et défis du mix énergétique au Burkina Faso». C’est le thème des premières journées portes ouvertes de la Société nationale de l’électricité du Burkina (SONABEL) qui ont débuté ce vendredi 22 mars 2019 à Ouagadougou sous la présidence du ministre de l’énergie, Dr Bachir Ismaël Ouédraogo.
Le ministre de l’énergie a exhorté les travailleurs de la SONABEL à redoubler d’effort pour atteindre l’objectif d’un million d’abonnés supplémentaires d’ici 2020
Félicitant l’ensemble des agents de la SONABEL pour le travail qu’ils abattent au quotidien pour assurer le service de l’électricité, le ministre les a encouragés à plus d’abnégation à la tâche pour réussir le pari énergétique de connecter 1 million d’abonnés au réseau de la SONABEL d’ici 2020. « Nous allons faire l’impossible pour que la SONABEL puisse avoir les moyens nécessaire pour produire, transporter et distribuer l’énergie», a-t-il indiqué.
«Enjeux et défis du mix énergétique au Burkina»
L’objectif global de ces journées portes ouvertes est de permettre aux populations de se familiariser avec les principales missions de la SONABEL qui sont la production, le transport et la distribution de l’électricité aux clients/abonnés.
Selon le directeur général de la SONABEL, François de Salle Ouédraogo, le thème de ces JPO 2019 sera mis à profit pour faire l’état des lieux des différentes sources de production d’énergie dont disposent notre pays pour satisfaire une demande en énergie électrique qui croît d’environ 15% annuellement. «La SONABEL fournit beaucoup d’efforts», a précisera Hamed Baba Coulibaly, président du comité d’organisation des JPO.
Plusieurs activités programmées
Plusieurs activités sont au programme de ces JPO. Entre autres, on peut citer :
– des conférences publiques ;
– des panels ;
– visite du poste de Kodéni ;
-visite de la centrale solaire de Zagtouli ;
-visites des centrales thermiques de Komsilga, de Bobo II.
Les Etalons ont remporté leur dernier match face aux Mourabitounes
Malgré leur victoire 1-0 sur les Mourabitounes de la Mauritanie ce vendredi au stade du 4 août ; les Etalons ne seront pas de l’édition 2019 de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) de football en Egypte. Avec cette dernière victoire, ils totalisent 10 points derrière l’Angola (12 points) et la Mauritanie (12 points) également. Les Etalons restent bons troisième de leur groupe devant les Botswanais, crédité d’un point arraché justement face aux Etalons.
Les Etalons ont remporté leur dernier match face aux Mourabitounes
Pour ce dernier match victorieux face aux Mourabitounes, c’est le virevoltant Bertrand Traoré qui a inscrit l’unique but du match en première mi-temps, soit à la 18e mn. De l’autre côté, l’Angola s’est imposé 1-0 au Botswana. D’où ses 12 points. Il aurait fallu une défaite angolaise pour espérer une qualification des Etalons à cette CAN 2019. Malheureusement, pour les nôtres, les Botswanais n’ont pas pu être à la hauteur des enjeux de cette journée.
L'eau, l'or bleu, une denrée rare dans beaucoup de contrées à travers le monde
La Journée mondiale de l’eau 2019 a pour thème «Ne laisser personne de côté». Il s’agit d’une adaptation de la principale promesse du Programme de développement durable à l’horizon 2030: tout le monde doit pouvoir bénéficier des progrès accomplis en matière de développement durable.
L’eau, l’or bleu, une denrée rare dans beaucoup de contrées à travers le monde
L’une des cibles de l’objectif de développement durable 6 consiste à assurer, d’ici à 2030, l’accès et beaucoup d’autres, sont souvent négligés et font parfois l’objet de discrimination quand ils tentent d’accéder à l’eau potable dont ils ont besoin et à la gérer
Défis mondiaux dans le secteur de l’eau
– 2,1 milliards de personnes ne disposent pas d’eau potable chez elles.
-Une école primaire sur quatre ne dispose pas d’eau potable: soit les enfants ne boivent pas soit ils consomment de l’eau provenant de sources non protégées.
-Chaque jour, plus de 700 enfants de moins de cinq ans meurent de diarrhées causées par de l’eau insalubre ou le manque d’assainissement.
– À l’échelle mondiale, 80% des personnes utilisant une eau impropre à la consommation et des sources non protégées vivent en milieu rural.
-Les femmes et les jeunes filles sont chargées de la collecte de l’eau dans 8 ménages sur 10 n’ayant pas de point d’eau à domicile.
-Plus de 800 femmes meurent chaque jour de complications qui surviennent pendant la grossesse ou l’accouchement.
-Pour les 68,5 millions de personnes qui ont été forcées de fuir leur foyer, l’accès à de l’eau potable est très problématique.
-Près de 159 millions de personnes puisent de l’eau de boisson dans des eaux de surface (par exemple des mares ou des cours d’eau).
– Près de 4 milliards de personnes – près des deux tiers de la population mondiale – ont été confrontées à de graves pénuries d’eau pendant au moins un mois au cours de l’année.
-700 millions de personnes dans le monde pourraient être déplacées en raison d’une aggravation de la pénurie d’eau d’ici à 2030.
-Les personnes les plus fortunées ont en général accès à des services d’eau, d’assainissement et d’hygiène de haut niveau, à des prix (souvent) très bas, alors que les personnes pauvres paient un prix beaucoup plus élevé pour un service de qualité identique, voire inférieure
Ce communiqué de l’Union pour le progrès et le changement (UPC) est relatif à l’enlèvement ce jeudi 21 mars du maire de Markoye Mamoudou Maiga dit Mehaou qui a été élu sous sa bannière.
«Communiqué de presse
L’Union pour le Progrès et le Changement (UPC) informe ses militants, ses sympathisants et le peuple burkinabè que le camarade Mamoudou MAIGA dit Mehaou, maire de la commune de Markoye (province de l’Oudalan) élu sous la bannière de l’UPC a été enlevé ce jour 21 mars 2019 avec son chauffeur. L’enlèvement a eu lieu autour de 17 heures GMT, alors que le camarade MAIGA et son chauffeur regagnaient Markoye après un déplacement.
L’UPC invite tous ceux qui auraient des informations permettant de retrouver M. MAIGA et son chauffeur à alerter les services de sécurité les plus proches.
Selon des informations concordantes, le maire Mamoudou Maiga dit Mehaou de la commune de Markoye, province de l’Oudalan a été enlevé ce jeudi 21 mars avec son chauffeur.
L’enlèvement perpétré par des individus non encore identifiés, a eu lieu autour de 17 h. Mamoudou Maiga était élu sous la bannière de l’UPC.