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ONEA_ URGENT : Report des travaux de maintenance des ouvrages de production

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Report des travaux de maintenance initialement programmés sur les installations de Ouagadougou au samedi au 11 février 2023

L’Office National de l’Eau et de l’Assainissement (ONEA) informe son aimable clientèle de Ouagadougou, Ziniaré, Loumbila et Pabré que les travaux de maintenance qui devraient être effectués le samedi 4 février 2023 ont été reportés au samedi 11 février 2023.

L’ONEA remercie son aimable clientèle pour la compréhension tout en encourageant chaque ménage à cultiver le réflexe de toujours disposer de réserve d’eau minimales.

L’ONEA à votre service

Situation Nationale : L’appel au sursaut patriotique du RDN 

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Pouswendé Michel Béré, président du Rassemblement pour le développement national

Le Rassemblement pour le développement national (RDN) fait sienne cette citation de Martin Luther King :  «Chaque fois que des hommes et des femmes redressent l’échine, ils peuvent aller où ils veulent, car personne ne peut monter sur votre dos tant que vous vous tenez droits».

Dans cette Déclaration parvenue à notre Rédaction, le président du RDN Pouswendé Michel Béré, appelle le peuple burkinabè à un sursaut patriotique.

Pouswendé Michel Béré, président du Rassemblement pour le développement national

«DECLARATION

REFLEXION EN SOUTIEN A LA TRANSITION POUR UN SURSAUT PATRIOTIQUE VERS UNE SOUVERAINETE EFFECTIVE DE LA NATION ET LA SECURITE DU PAYS

Filles et fils du Burkina,

Burkinabè d’ici et de l’étranger,

Militantes, militants et sympathisants,

Peuple du Burkina Faso.

 

L’heure est venue de nous réveiller du coma où l’impérialisme nous avais plongé. Le néo-colonialisme est révolu et il est temps pour nous de nous arracher à cette domination en vue de nous occuper de nos propres intérêts. Le Burkina appartient aux burkinabè ; il n’est pas la propriété d’autres personnes et nous nous battrons jusqu’au dernier souffle pour défendre cet idéal.

Frères et sœurs,

Comme le disait Martin Luther King :

«Et chaque fois que des hommes et des femmes redressent l’échine, ils peuvent aller où ils veulent, car personne ne peut monter sur votre dos tant que vous vous tenez droits. »

Voilà qui nous exhorte tous à dire à la France :

-que les temps ont changé et que le Burkina défendra désormais ses intérêts ongles et becs tout comme la France l’a toujours fait.

-d’arrêter de s’entêter à vouloir nous imposer son ambassadeur Luc Hallal indésirable sur le sol burkinabè.

-que nous ne voulons plus de ses soldats envahissant et conquérant sur notre territoire.

-de prendre conscience que sa stratégie de lutte contre le terrorisme est un échec lamentable, indigne d’une grande puissance.

Depuis 2013, le terrorisme sévissant au Mali, un pays frère de par notre histoire et notre culture, a gangrené et s’est propagé au Burkina, au Niger etc. ; malgré que ces pays ont un accord d’intervention militaire notamment l’opération Barkhane dirigée par une grande puissance qui est la France, la crise sécuritaire s’est au contraire enfoncé dans ces pays.

Il est clair que la politique française appliquée au Burkina Faso de Thomas SANKARA, et au reste de l’Afrique fait perdre à ces nations leur destin. Heureusement nul ne peut anéantir la volonté d’un peuple décidé à défendre ses intérêts notamment sa souveraineté.

Bien entendu la lutte ne sera pas du tout facile mais nous y arriverons car le Burkina Faso est un pays qui vient de loin de par son histoire et sa culture.

Peuple du Burkina Faso, l’heure n’est pas à l’illusion et notre chère patrie ne mérite pas cette situation actuelle du pays. L’Afrique entière doit se lever pour faire honneur aux pères nationalistes, panafricaniste que sont, je cite : Kwame Nkrumah, Nelson Mandela, Edward W Blyden, etc. qui, grâce à leur résistance héroïque nous ont fait bénéficier l’abolition de l’esclavage, du colonialisme, de l’apartheid et de l’indépendance de nos Etats africains.

C’est pourquoi je lance un vibrant appel patriotique à tout burkinabè, pour une mobilisation nationale dans les différentes régions et localités du pays afin de faire face à cette domination française et à toute domination face à l’intérêt suprême de la nation.

Vive le Burkina Faso !

Vive l’Afrique !

Dieu bénisse le Burkina Faso !

Ouagadougou, le 31 janvier 2023

Le Président

Pouswendé Michel BERE

« Chevalier de l’Ordre d’Etalon»»

Alerte_info_ONEA: Perturbation de la desserte en eau à Ouaga, Ziniaré, Loumbila, Pabré le samedi 04 février 2023. Rétablissement le 05 février 2023. L’ONEA, s’excuse pour les désagréments.

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📣Alerte_info_ONEA: Perturbation de la desserte en eau à Ouaga, Ziniaré, Loumbila, Pabré le samedi 04 février 2023. Rétablissement le 05 février 2023. Faire des réserves d’eau. L’ONEA, s’excuse pour les désagréments.

Perturbation de la desserte à Ouagadougou, Ziniaré, Loumbila et Pabré

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L’Office National de l’Eau et de l’Assainissement (ONEA) informe son aimable clientèle de Ouagadougou, Ziniaré, Loumbila et Pabré qu’en raison de travaux importants de maintenance des ouvrages de production, la fourniture d’eau potable connaîtra des perturbations le samedi 04 février 2023. Cette intervention nécessite un arrêt total des installations. Communiqué.

«TRAVAUX DE MAINTENANCE DES OUVRAGES DE PRODUCTION

Perturbation de la desserte à Ouagadougou, Ziniaré, Loumbila et Pabré

L’Office National de l’Eau et de l’Assainissement (ONEA) informe son aimable clientèle de Ouagadougou, Ziniaré, Loumbila et Pabré qu’en raison de travaux importants de maintenance des ouvrages de production, la fourniture d’eau potable connaîtra des perturbations le samedi 04 février 2023. Cette intervention nécessite un arrêt total des installations.

L’ONEA vous invite à faire des réserves d’eau pour vos besoins en attendant le rétablissement de la situation le dimanche 05 février 2023.

L’ONEA s’excuse pour les désagréments occasionnés et remercie son aimable clientèle pour la compréhension.

L’ONEA à votre service.

 

Département Communication

220, Avenue de l’ONEA, Pissy

Centre d’appels ONEA VENEGRE : 80 00 11 11 »

Développement des infrastructures en Afrique : Le 2e Sommet sur le financement s’ouvre ce 2 février à Dakar  

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C’est un évènement important destiné à faciliter la mise en œuvre efficace de la deuxième phase du Programme de développement des infrastructures en Afrique (PIDA) qui se tient du 1er au 3 février 2023 dans la capitale sénégalaise.

Il s’agit du deuxième Sommet de Dakar sur le financement du développement des infrastructures en Afrique. Et c’est le président sénégalais Macky Sal, himself, président en exercice de l’Union africaine, qui va présider l’ouverture de ce sommet prévue pour ce jeudi 2 février 2023 à la salle de conférences internationales Abdou Diouf.

Plusieurs thématiques au programme

Au menu du programme deuxième Sommet de Dakar sur le financement du développement des infrastructures en Afrique, plusieurs thématiques dont les plus importantes sont :

-Tendance en matière de financement des infrastructures

-Structuration de solutions durables pour le financement de la souveraineté énergétique de l’Afrique : Plan directeur du système énergétique continental (CMP) et Marché unique africain de l’énergie (AfSEM) ;

-Création des solutions de financement nationales et régionales pour les investissements dans la transformation numérique de l’Afrique ;

-Infrastructure verte et résiliente au climat ;

-Structurer les mécanismes de financement pour le développement des corridors économiques afin d’accélérer la mise en œuvre de la ZLECAf et l’industrialisation inclusive du continent.

Grégoire B. Bazié

Burkina Demain

Liberté de la presse : La sonnette d’alarme des OPM sur les graves menaces

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Ceci est un éditorial des Organisations professionnelles des médias (OPM) du Burkina Faso par rapport à la situation actuelle de la liberté de presse dans le pays.  «Au regard de la gravité de cette situation, il est apparu impératif aux acteurs des médias que nous sommes, de tirer la sonnette d’alarme et d’interpeller les autorités de la Transition, à commencer par le Chef de l’Etat, son Premier ministre et son gouvernement ainsi que le pouvoir législatif de Transition, sur les graves risques d’atteintes à la liberté de la presse et surtout à la sécurité des hommes et femmes de médias dans notre pays».

«ÉDITORIAL DES ORGANISATIONS PROFESSIONNELLES DES MÉDIAS DU BURKINA FASO  

Non, les médias burkinabè ne sont pas la « Radio mille collines»

Le 23 janvier 2023, la Direction de la communication et des relations publique de la primature, a publié sur la page Facebook de l’institution, le compte rendu d’une audience que le maître des lieux, Apollinaire Kyelem de Tambéla, a accordée au Président du Conseil supérieur de la communication (CSC), accompagné des membres du collège des conseillers. De ce compte rendu, il ressort des propos attribués au Premier ministre et qui suscitent des inquiétudes et incompréhensions des acteurs et organisations professionnelles des médias que nous sommes. En effet, on peut y lire ceci: « On ne construit rien sans la discipline. Il est plus que nécessaire de recadrer la communication au niveau des médias pour éviter la pagaille. L’on se rappelle toujours de la Radio Mille Collines au Rwanda qui a joué un rôle déterminant dans le génocide dans ce pays. Ce n’est pas parce que l’on est sur un plateau de télévision ou dans un studio avec un micro que l’on doit se croire tout permis ».

Cette sortie du Premier ministre intervient après une série d’actes dénoncés par les organisations professionnelles des médias, visant notamment au musèlement de la presse depuis le retour des pouvoirs militaires le 24 janvier 2022. Ces propos attribués au Premier ministre interviennent également au moment où des individus se revendiquant comme des soutiens du président de la Transition, le Capitaine Ibrahim Traoré, appellent au meurtre de journalistes et à des attaques contre des organes de presse. Elle intervient surtout dans un contexte où des groupuscules en voie de radicalisation, multiplient des actes de défiance de la République et de remise en cause progressive des fondements historiques, sociologiques et républicaines, qui ont jusque-là maintenu l’édifice Burkina débout, et ce malgré les vagues répétitives de tourbillons qui menacent de l’emporter.

A en croire le compte rendu qui a été fait de cette rencontre, le Premier ministre insinue qu’il y a de la pagaille dans les médias et fait une allusion dangereuse à la Radio mille collines du Rwanda, invitant de ce fait, le CSC à y mettre de l’ordre.

Cette démarche est évidemment contraire à l’esprit d’indépendance du CSC qui ne doit recevoir d’injonction ni du gouvernement ni d’aucune autre structure ou pouvoir, dans sa mission de régulation.

Cette sortie du Premier ministre jette en pâture nos médias, surtout dans un contexte national où émergent « des patriotes de la 25ème heure », disons, des adeptes de la pensée unique, qui n’hésitent pas à traiter tous ceux qui n’épousent pas leur conception et leur « nouvel ordre » politico-religieux et sociétal, « d’apatrides ou d’ennemis de la Transition qu’il faut, soit éliminer physiquement, soit expatrier ou encore jeter en prison ».

Ces ‘’inquisiteurs’’ des temps modernes s’arrogent même le droit et le pouvoir de choisir les « bons journalistes », les « médias patriotes » et les « médias suppôts de la France à fermer ». D’autres vont plus loin, en traitant les organisations professionnelles des médias de « groupes terroristes », « à décoloniser».

Notre Premier ministre, sans peut-être le savoir, apporte ainsi de l’eau au moulin de ces nouveaux « révolutionnaires », se croyant sortis de la cuisse de Jupiter et qui se sont investis de la mission messianique de libérer le Burkina « des intellectuels apatrides et chiens de la France ». Il donne à ces « supers citoyens » qui, au nom de leur liberté d’expression, s’arrogent tous les droits, y compris celui de choisir ceux qui méritent de vivre ou non, des raisons supplémentaires de poursuivre dans leurs errements.

Jusque-là, et face à nos dénonciations, le gouvernement s’est contenté de timides communiqués, dénonçant du bout des lèvres ces menaces qui pèsent sur la liberté de la presse, sur les droits humains et sur la sécurité des professionnels des médias ainsi que des organes et des entreprises de presse. Mais cette sortie de celui qui jusqu’à une date récente, écumait nos plateaux de télévision, nous donne des raisons supplémentaires de nous inquiéter.

Au regard de la gravité de cette situation, il est apparu impératif aux acteurs des médias que nous sommes, de tirer la sonnette d’alarme et d’interpeller les autorités de la Transition, à commencer par le Chef de l’Etat, son Premier ministre et son gouvernement ainsi que le pouvoir législatif de Transition, sur les graves risques d’atteintes à la liberté de la presse et surtout à la sécurité des hommes et femmes de médias dans notre pays.

La lutte contre le terrorisme ne saurait aucunement être un prétexte pour mettre la presse indépendante sous coupe réglée. D’autant plus que depuis le début de cette guerre injuste imposée au Burkina Faso et à d’autres pays de la sous-région, les médias burkinabè assument globalement leur responsabilité sociale, en se positionnant à des niveaux divers, comme des artisans de la construction de la paix, de la formation d’opinions publiques soucieuses de la préservation du climat et de la cohésion sociale et de communion entre les communautés.

Conscients de cette responsabilité sociale, les médias burkinabè, à travers des éditoriaux et divers contenus, participent au désarmement psychologique et sociologique, à la promotion d’un vivre-ensemble apaisé partout sur le territoire national. Malgré la modestie de leurs moyens, nos médias travaillent avec rigueur et professionnalisme à dénoncer la mauvaise gouvernance et à constituer des relais de l’action de nos gouvernants ainsi que des porte-voix de notre peuple.

Les médias burkinabè n’ont jamais été et ne seront jamais un obstacle à la lutte contre le terrorisme. Chaque fois que le pays les appelle, ils ont toujours répondu présents avec honneur et dévouement. Loin de nous toute prétention de dire que tout est parfait ! Mais les fautes ou les manquements (avérés ou ressentis comme tels) de quelques acteurs ne doivent pas autoriser nos autorités à jeter tous les médias et leurs acteurs à la vindicte populaire.

Dans cette guerre, tout le monde sait où se trouvent les responsabilités réelles du drame que vivent les Burkinabè. Et ce n’est certainement pas au niveau des médias qu’il faudrait les rechercher. Il faut surtout éviter de faire des médias les boucs émissaires dans cette tragédie que vit le pays. Nous croyons plutôt que nous sommes une partie de la solution, et nous voyons notre responsabilité et notre engagement comme tels.

Les acteurs des médias voudraient, par cet éditorial commun, réaffirmer leur soutien sans faille aux Forces de défense et de sécurité (FDS), aux volontaires pour la défense de la patrie (VDP), aux autorités de la Transition et à tous les Burkinabè engagés d’une manière ou d’une autre dans ce combat pour la restauration de la dignité du peuple burkinabè et de l’intégrité du territoire national. Ils saluent les contributions des partenaires du Burkina Faso qui apportent leur soutien sincère à notre peuple dans ces moments de grande incertitude.

Les acteurs des médias tiennent à réaffirmer leur attachement au professionnalisme et à l’indépendance comme sève nourricière de notre métier.

C’est pourquoi, nous élevons à travers ces lignes de vives protestations contre cette escalade dangereuse à laquelle nous sommes de plus en plus exposés.  Il y a assurément urgence à bâtir ensemble l’unité nationale autour du défi majeur du moment, celui de préserver l’Etat de droit et du vivre-ensemble démocratique, garantissant et protégeant les libertés face aux dérives, d’où qu’elles viennent.

Les acteurs des médias lancent un appel au gouvernement afin qu’il crée les conditions permettant aux médias professionnels de continuer à assurer le rôle de service public d’information sans toutefois compromettre les actions des forces de défense et de sécurité ni violer les principes éthiques et déontologiques des métiers de l’information.

Ils appellent les autorités à se ressaisir et à se concentrer sur l’essentiel des missions de la Transition contenues dans la charte qui leur confère la légitimité ou la légalité de diriger ce pays.

Ils les tiendront pour responsables de toutes atteintes à l’intégrité physique des professionnels des médias et à la sécurité des locaux des entreprises de presse ainsi que les domiciles et autres propriétés privés des acteurs médiatiques.

Ils prennent enfin l’opinion nationale et internationale à témoin sur les graves menaces qui pèsent sur la presse au Burkina Faso et sur la nécessité de ne pas briser ce rempart si cher à la démocratie et à l’Etat de droit.

Pour une presse professionnelle, libre et responsable au service de la cohésion sociale, de la paix, du développement, maintenons le cap et restons débout et fidèles à notre sacerdoce d’informer vrai, juste et utile, de former et d’éduquer !

Les Organisations professionnelles des médias du Burkina Faso»

Perturbation de la desserte en eau de Ouaga, Ziniaré, Loumbila et Pabré le 4 février  

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Des travaux de maintenance des ouvrages de production occasionneront, le samedi 4 février 2023, une perturbation de la desserte en eau des abonnés de Ouagadougou, Ziniaré, Loumbila et Pabré. Communiqué ONEA.

Maîtrise de sa consommation d’eau : Comment détecter les fuites  

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En ville, dans un contexte de limitation des ressources en eau, l’autre façon de maîtriser sa consommation d’eau potable et d’être à l’abri de factures exorbitantes, c’est de prêter attention aux indications de son compteur, ce qui peut permettre de détecter les fuites d’eau et de les régler à temps. Mais, Comment ?

Cascades : Le gouvernorat annonce la mort de 15 passagers

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C’est une triste nouvelle pour le gouverneur des Cascades, Colonel Jean Charles dit Yenapono Somé. Une triste nouvelle pour la région des Cascades et le Burkina Faso.

Les nouvelles en provenance de la province de la Comoé ne sont pas bonnes. 15 passagers de 2 mini cars ont été enlevés et tués par des hommes armés dans le village de Linguekoro, selon un Communiqué du gouvernorat des Cascades daté de ce lundi 30 janvier 2023.

C’est une triste nouvelle pour le gouverneur des Cascades, Colonel Jean Charles dit Yenapono Somé. Une triste nouvelle pour la région des Cascades et le Burkina Faso.

«Le Gouverneur de la région des Cascades porte à la connaissance de la population que la journée du 30 janvier 2023 aux environs de 12 heures, quinze (15) corps sans vie ont été retrouvés dans le village de Linguekoro, province de la Comoé», indique le communiqué administratif du Colonel Jean Charles dit Yenapono Somé.

«Des circonstances de ce drame, il ressort que dans la soirée du 29 janvier 2023, deux (02) mini cars couramment appelés «DINA» en provenance de Banfora ont été interceptés dans le village de Linguekoro par des hommes armés. Les passagers composés de huit (8) femmes et de seize (16) hommes ont été débarqués desdits mini cars. Les huit (8) femmes plus un (1) hommes ont été libérés et enjoints de rejoindre Mangodara à pied. Les deux (2) mini cars ont été par la suite incendiés et les autres passagers enlevés», détaille la note du gouverneur Somé.

La suite…on la connaît… ‘’Ce 30 janvier 2023, les corps de 15 victimes présentant des impacts de balles ont été retrouvés dans les encablures du village de Linguekoro».

Burkina Demain

Incendie à Sankar Yaaré : Attention à l’effet boule de neige !

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Une partie du marché Sankar-Yaaré est partie en flammes ce dimanche 29 janvier 2023

Alors qu’à Ouagadougou, les commentaires allaient encore bon train ce lundi 30 janvier 2023 au sujet de l’incendie qui a ravagé la veille une partie de Sankar-Yaaré, un des poumons économiques de la capitale ; des informations sur les réseaux faisaient cas d’un autre incendie qui se serait déclenché dans un immeuble près du grand marché Rood Woko.

Une partie du marché Sankar-Yaaré est partie en flammes ce dimanche 29 janvier 2023

«Aucune perte en vie humaine ni blessé n’a été enregistré. L’incendie a cependant causé d’importants dégâts avec plusieurs centaines de boutiques parties en fumée. Le Gouvernement est solidaire des victimes et leur exprime toute sa compassion », a indiqué ce dimanche 29 janvier le gouvernement dans un communiqué de presse suite à l’incendie dans la matinée du marché Sankar-Yaaré ; annonçant que «des enquêtes ont d’ores et déjà été ouvertes par les services compétents pour déterminer les causes du drame et situer le cas échéant toutes les responsabilités».

Burkina Demain