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Décès de ONADJA / KANDO Céline : Hommages d’Eau Vive Internationale

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Eau Vive Internationale et l’ensemble des collaborateurs du Burkina Faso, de France, du Mali, du Niger, du Sénégal, du Tchad et du Togo remercient tous ceux qui de près ou de loin ont compati à leur douleur et témoigné réconfort  lors du décès brutal le 4 janvier 2019 suivi de l’inhumation le 5 janvier à Ouagadougou de Madame ONADJA / KANDO Céline, précédemment Coordonnatrice de projets et Programmes à la Direction pays d’Eau Vive Internationale au Burkina.

En cette douloureuse circonstance, Eau Vive Internationale renouvelle ses condoléances les plus attristées à la famille éplorée.

Céline, merci pour ta grande contribution à l’atteinte des idéaux de bien-être partagé.

Repose en paix !

Tourisme : vers une redynamisation du secteur !

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La fédération nationale des restaurants et hôtelleries du Burkina (FENARHOB), a tenu, ce 21 février 2019 à Ouagadougou, un atelier de préparation d’une foire culinaire afin de promouvoir le métier de la restauration et de l’hôtellerie dans le pays.

A entendre Félix Bayala, président national de la FENARHOB, le secteur du tourisme traverse une crise particulièrement aigüe, jusqu’au point où les opportunités d’affaires et les pauses café ont considérablement diminué, et les clients aussi sont devenus rares. Bref, les chiffres d’affaires dégringolent chaque jour et le pouvoir d’achat lui, devient de plus en plus faible.

Donc, pour rappeler la clientèle et lui redonner leurs confiances, les patrons de la fédération comptent organiser une foire gastronomique et touristique à dimension internationale.

Mais dans cette lancée, doit-on l’appeler foire de trop ou foire de plus ?

En tout cas, pour Félix Bayala, il ne s’agit pas d’une foire de plus  mais une foire qui va se distinguer des autres évènements similaires. Et c’est selon lui, l’un des axes primordiaux du plan d’action quinquennal de la FENARHOB.

Nicolas Bazié

Burkina Demain

Dialogue interculturel : Le projet ‘’CULTURE AT WORK AFRICA’’ lancé

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En prélude de la célébration du cinquantenaire du FESPACO, le ministre burkinabè de la Culture, des arts et du tourisme, Abdoul Karim Songo, a présidé ce 21 février  2019 à Ouagadougou, la cérémonie du lancement des activités du projet ‘’CULTURE AT WORK AFRICA’’. 

Le Burkina Faso a compris l’importance de la culture dans la lutte contre l’extrémisme violent et les conflits intercommunautaires qui mettent à mal l’esprit de solidarité, de convivialité et de vivre-ensemble des peuples burkinabè. Cofinancé par l’Union européenne, le projet ‘’CULTURE AT WORK AFRICA’’ dont le lancement est intervenu ce jeudi 21 février, vise à promouvoir le dialogue et le brassage  interculturel  en Afrique.

Face à la recrudescence des attaques terroristes et à la montée des actes de haines et des conflits intercommunautaires en Afrique en général et au Burkina Faso en particulier, le gouvernement burkinabé par la voie du Ministre de la Culture, des arts et du tourisme entend contrecarrer ces phénomènes par la valorisation de la culture et le dialogue interculturel en Afrique.

Selon Abdoul Karim Songo, la culture joue un rôle très important dans la promotion de la cohésion sociale, à l’intégration culturelle et le vivre ensemble au Burkina Faso. Il a souligné que cette volonté nationale c’est traduite très récemment par la mise en place d’un plan d’urgence pour les régions menacées par le terrorisme et les conflits intercommunautaires.

Dans son discours d’ouverture, le ministre a félicité les initiateurs du projet ‘’CULTURE AT WORK AFRICA’’, les partenaires associés et le Consortium porteur du projet pour la mise en place de cette initiative et la Délégation de l’Union européenne au Burkina Faso conduite par son premier responsable, l’ambassadeur Chef de délégation, M. Jean Lamy qui est le parrain de ce projet et partenaire financier.

L’ambassadeur Chef de délégation de l’UE au Burkina Faso a réitéré le soutien de son institution au gouvernement burkinabé et à tous les porteurs des initiatives novatrices dans tous les domaines consistant à améliorer les conditions de vie de la population et la promotion de la cohésion sociale ou de la bonne gouvernance.

Ousmane Bichara

Burkina Demain

Berlin : Séance de travail entre les présidents Kaboré et Steinmeier

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Le président du Faso Roch Marc Christian Kaboré est arrivé dans l’après-midi de ce mercredi 20 février 2019 à Berlin en Allemagne, pour une visite d’amitié et de travail ces 20 et 21 février 2019. Sitôt installé à son hôtel après son accueil à l’aéroport militaire Berlin Tegel, le chef de l’Etat s’est rendu au Château de Bellevue, pour une séance de travail avec le président de la République fédérale Frank-Walter Steinmeier.

Après avoir signé le livre d’or de l’institution, Roch Marc Christian Kaboré s’est entretenu pendant une heure d’horloge avec son hôte, autour de plusieurs sujets d’intérêt commun.

La République fédérale intervient au Pays des Hommes intègres dans des secteurs prioritaires que sont l’agriculture et la sécurité alimentaire, l’eau potable et l’assainissement, la décentralisation et le développement communal, les droits humains, l’énergie, la sécurité.

On note ainsi la mise en œuvre en cours du programme de coopération 2018-2020, soutenu par une enveloppe globale de 102,2 millions d’euros (67,03 milliards de FCFA) dont 41% pour la coopération technique, et 59% pour la coopération financière.

Les ministres de la Défense Cheriff Sy, des Affaires étrangères Alpha Barry, de l’Economie et du Développement, Lassané Kaboré, accompagnent le président du Faso, qui aura un déjeuner de travail demain midi avec la Chancelière Angela Merkel.

Notre pays jouit d’une image favorable en Allemagne, dont Roch Marc Christian Kaboré foule le sol pour la deuxième fois en deux ans. En effet, le premier séjour de travail du président du Faso dans ce pays remonte à mars 2017.

Direction de la Communication de la Présidence du Faso.

Politique générale du PM Dabiré : Les appréciations du Faso Autrement

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Dr Ablassé Ouédraogo, président du Faso Autrement

Ceci est une réaction d’Ablassé Ouédraogo, président du Faso Autrement, de la déclaration de politique générale du Premier ministre Christophe Dabiré.

Dr Ablassé Ouédraogo, président du Faso Autrement

«APPRECIATIONS DU PARTI LE FASO AUTREMENT SUR LA DECLARATION DE POLITIQUE GENERALE DU PREMIER MINISTRE CHRISTOPHE DABIRE

DU 18 FEVRIER 2019

Nous avons suivi avec grand intérêt la Déclaration de Politique Générale faite par le Premier Ministre, son Excellence Monsieur Christophe Joseph Marie DABIRE lors d’une allocution solennelle devant l’Assemblée Nationale le 18 février 2019. L’honnêteté et la grande estime que j’ai personnellement pour l’homme que j’appelle affectueusement « Christofo » imposent que nous reconnaissions avec une certaine satisfaction l’effort de pédagogie et de précision dont il a fait montre tout au long de son discours.

Le Chef du Gouvernement a affirmé vouloir axer sa politique et l’action de son équipe autour de cinq points majeurs que nous nous faisons le plaisir de rappeler ici :

1_ le devoir de relever les défis sécuritaires ;

2_ l’exigence de palier l’effritement de la cohésion sociale ;

3_ l’obligation d’instaurer une gouvernance plus vertueuse ;

4_ la nécessité de renforcer le développement du capital humain ;

5_ la volonté de dynamiser l’économie nationale.

La prédominance des mots qui se rapportent à une contrainte et à un grand péril n’est pas anodine. Si en effet, quatre des cinq axes principaux du programme du gouvernement DABIRE sont exprimés par des mots tels que « devoir de relever un défi » – « exigence de palier » – « obligation d’instaurer » – « nécessité de renforcer », c’est que le Premier Ministre DABIRE a conscience de la situation de péril imminent dans laquelle le système MPP a plongé le Burkina Faso. Il n’avait donc pas le choix de ses priorités puisqu’elles lui sont imposées vu l’état de déliquescence avancée de la Nation.

Nous observons aussi que les priorités 2, 3 et 4 participent toutes de la réconciliation nationale dont elles sont des composantes importantes. C’est dire que même sans l’avoir expressément annoncé, le Premier Ministre Christophe Joseph Marie DABIRE place la réconciliation nationale au cœur de l’action de son gouvernement et c’est ce que nous avons toujours prôné. Je salue son pragmatisme et son courage. Ce n’est pas tôt mais c’est heureux que nos gouvernants comprennent enfin ce que nous n’avons cessé de dire depuis plusieurs années à savoir que la réconciliation nationale est une impérieuse nécessité et un impératif catégorique pour la construction de la Nation si nous voulons sortir le Burkina Faso de la crise multidimensionnelle jamais égalée dans laquelle elle est plongée depuis l’arrivée au pouvoir du régime MPP.

En bon patriote profondément préoccupé par l’état calamiteux du Burkina Faso et soucieux de voir notre cher et beau pays relever la tête et reprendre toute sa splendeur, je voudrais ici féliciter publiquement le Premier Ministre Christophe DABIRE pour sa déclaration de politique générale et lui souhaiter de tout cœur de réussir sa mission.

Ce devoir d’accompagnement ne devrait cependant pas occulter notre obligation sacrée de toujours dire, en toute circonstance, la vérité que le peuple du Burkina Faso doit connaître s’il ne veut pas pratiquer la politique de l’autruche.

En effet, il n’a échappé à personne que de manière intelligente et subtile l’expression PNDES n’a été citée qu’une seule fois dans la Déclaration de Politique Générale du Chef de Gouvernement. Cela ne nous surprend guère dans la mesure où en son temps, nous avions dit et redit que ce pseudo programme n’était que du leurre qu’on a servi à tout un peuple. On se rappelle du chiffre astronomique de 18.000 milliards de francs cfa annoncé à l’issue de la Table Ronde de Paris de décembre 2016 sur le financement du PNDES. Il s’agissait de faire rêver nos concitoyens afin de leur voiler la face et assoir le régime incapable qui nous gouverne aujourd’hui et qui nous a conduits dans le pétrin collectif dans lequel se trouve le Burkina Faso.

Le Premier Ministre Christophe DABIRE ayant clairement annoncé que son action découle de ce mythe appelé PNDES, le droit de suite et la continuité de l’action gouvernementale voudraient que le point soit fait à la Nation, au moins en ce qui concerne les contributions annoncées par les nationaux (personnes physiques et morales) qui avaient fait des annonces de contributions au financement du PNDES à Paris. Des dignitaires du régime MPP, et certains sont membres du Gouvernement, avaient fait des grandes promesses d’apports financiers sans qu’on ne sache si ces promesses ont été concrétisées. L’on est en droit de se demander s’il s’agissait juste de manœuvres malhonnêtes pour flouer le peuple burkinabè. Ne pas satisfaire à cette obligation de compte-rendu reviendrait à cautionner une énorme supercherie dont a été victime le peuple Burkinabè.

Les coutumes et traditions du Burkina Faso nous ont appris que les pleurs et les larmes du vieillard devant des plus jeunes annoncent toujours un malheur. Nous estimons pour notre part que les larmes du « sage » DABIRE devant les députés qui pour la plupart sont ses enfants ou jeunes frères, traduisent son humanisme, sa sincérité mais aussi une expression d’impuissance. Nous nous refusons de penser que ces larmes soient annonciatrices d’un échec qui serait dramatiques pour nous tous. Plaise à Dieu qu’il n’en soit pas ainsi.

Malgré notre scepticisme, nous prions dieu de faire en sorte que le Président du Faso SEM Rock Marc Christian KABORE, prenne conscience que la survie de l’Etat burkinabè impose que son chef donne au Premier Ministre et à son gouvernement les moyens moraux, humains, matériels et financiers indispensables à la réussite de la mission qu’il lui a confiée. Nous prions aussi et surtout pour qu’il ait le courage de lancer enfin le processus devant aboutir à la réconciliation nationale, sincère et durable.

Tout en lui réitérant nos vœux de succès, nous invitons le Premier Ministre à ne jamais oublier les larmes qu’il a versées devant la représentation nationale le 18 février 2019 lors de sa Déclaration de Politique Générale. Ces pleurs ne suffiront pas à lui garantir la réussite et ne sauront justifier un éventuel échec. Nous l’encourageons donc à travailler au quotidien en mettant réellement la réconciliation nationale au cœur de son action.

Puisse Dieu l’aider dans sa mission pour le bonheur de tout le peuple du Burkina Faso

Ouagadougou, le 19 février 2019 »

Dr Ablassé OUEDRAOGO

Commandeur de l’Ordre National

Yoweri Museveni probable candidat à un 6e mandat présidentiel

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Le président Yoweri Museveni (74 ans) pourrait candidat à la présidentielle de 2021

Le Mouvement de la résistance nationale (NRM), au pouvoir en Ouganda,  a appelé ce mercredi,  le président Yoweri Museveni, à la tête du pays depuis 33 ans, à « continuer à diriger le Mouvement et l’État en 2021 et au-delà pour éliminer les freins à la transformation » de l’Ouganda.

Le président Yoweri Museveni (74 ans) pourrait être candidat à la présidentielle de 2021

Cette résolution appelant subtilement le président Museveni à se présenter à la présidentielle de 2021 pour un sixième mandat à la tête de l’Etat, a été adoptée par le Comité exécutif central du NRM au terme d’une retraite de cinq jours dans un hôtel du parc national de Murchison Falls, dans le nord-ouest du pays.

Le fils Lieutenant-Général Kainerugaba Muhoozi Museveni à tout le temps

Kainerugaba Muhoozi Museveni a été promu Lieutenant-Général ce mardi 19 février, devenant ainsi le N°2 de l’armée ougandaise, juste derrière son père

Pour Yoweri Museveni (74 ans), soupçonné de vouloir céder le pouvoir à son fils Kainerugaba Muhoozi, promu Lieutenant-Général la veille, ne pose donc plus. Du moins pour l’instant car, si succession il y en aura, ce ne sera pas en 2021.

Ainsi, Kainerugaba Muhoozi Museveni a tout le temps de devenir Général comme son père et pourquoi pas, de succéder à son père de Général-Président. Tel père, tel fils, dit-on.

Burkina Demain

Canal de Wemtenga : Opération ‘Mana-Mana’’ de l’association BAOTAABA !

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Samedi 16 février 2019. Une vingtaine de bénévoles agacés de l’état d’insalubrité du canal de Wemtenga, décident de passer à l’action et une engagent une opération d’assainissement de l’infrastructure. Equipés de « gants roses » et de sacs poubelles, ils  arpentent le long  dudit canal pour ramasser tous les déchets amassés ça et là, depuis pas mal de temps. L’objectif de l’organisation de cette journée  de salubrité, c’était de rendre le canal propre, de veiller à l’hygiène  du  canal,  de ses alentours  et de doter les riverains de poubelles.

Le président de l’association Daogo Arsène Delma invite au civisme

Il était 8 h  quand l’opération a été lancée. Répartis en trois groupes, les membres de association BAOTAABA des jeunes ont nettoyé les abords et a intérieur du canal. La quantité de sacs poubelles remplis  confirme le manque d’éducation à l’hygiène et à l’assainissement de nombreux citoyens de la zone. «Il est grand temps de sensibiliser les résidents de ne plus jeter les déchets dans le canal. Il faut reconnaitre qu’il n’est jamais agréable de nettoyer les saletés des autres et de ramasser des ordures mais nous avons été heureux de partager un moment convivial et d’apporter un soin particulier à notre quartier», a laissé entendre le président de l’association Daogo Arsène Delma.

Et de remercier tous les membres et les bonnes volontés sortis pour la cause commune et sensibiliser  les riverains sur la nécessité de l’hygiène et de l’assainissement. Delma a aussi parlé d’éducation civique, encourageant les uns et les autres à cultiver autour d’eux et dans leur famille le civisme. La présente opération de salubrité a duré deux heures.

L’association Baotaaba  des jeunes, l’initiatrice,  a été créée le 10 décembre 2018 et a pour domaine d’intervention la solidarité et l’intégration. L’association a pour objectif de promouvoir le développement social.

 

M. Gouba

Burkina Demain

Décès de Mme BADO Augustine : Remerciements et fait-part de la famille !

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« L’Homme n’est rien sans les Hommes. Il vient dans leurs mains et s’en va dans leurs mains ». Dieu a donné, Dieu a repris. Que son nom soit loué. La grande Famille BADO à Sandié (commune de Réo , Province du Sanguié) Ouagadougou et France , la grande Famille BAYILI à Ténado Commune de Ténado Province du Sanguié, Tialgo, Doudou et Ouagadougou, Monsieur Laurent BADO et famille, les enfants Daouda, Françoise Prudence, Bouba, Josiane, Sylviane, Ange et Flora, les familles alliés vous remercient du fond du cœur  pour vos soutiens multiformes à l’occassion du décès le Samedi 16 Février 2019 et de l’inhumation le Lundi 18 Février 2019 , de leur fille, épouse, tante, mère, Mme BADO/ KANYILI Augustine.

Ils remercient particulièrement et rendent grâce à Dieu le tout Puissant, son Fils Jésus Christ qui a accueilli notre chère Augustine dans son royaume de Bonté infinie.Leur reconnaissance va à l’endroit du Curé de la Paroisse Notre Dame de Kolognaba, ses catéchistes, la Communauté Chrétienne de Base (CCB) Saint Jean de OUIDI, la Communauté Chrétienne de la Paroisse de Kolognaba, l’Abbé Mathias OUEDRAOGO Aumônier diocésain de la Jeunesse, des Lycées et Collèges du Diocèse de Koudougou, l’Association des Ressortissants du village de Sandié à Ouagadougou, les ressortissants de la province du Sanguié à Ouagaougou, les ressortissants de la Commune de Ténado à Ouagadougou, les Forces de Défense et de Sécurité, les clients de chez Mme BADO, la Communauté Bissa du quartier Ouidi de Ouagadougou, les familles SOME, BAMA, BATIONO, BAZIE, BAMOUNI, NION, ZONGO, OUBDA,ZOUBGA, ZON, ABEM, BASSOLE, BAYALA,BATIOBO, SIMPORE, les voisins de la famille BADO à Ouidi, les parents, amis, proches et connaissances de la défunte, le personnel de l’Hôpital Paul VI, du CHU Yalgado et du CHU de Tengandogo, les élèves du Collège Notre Dame de Kolognaba, la population de la ville de Ouagadougou, la Rédaction de Burkina 24, Omega FM, les internautes, les participants aux obsèques, vous tous qui aviez témoigné de votre marque de sympathie et de solidarité à l’endroit de la famille éplorée.

Par ailleurs, la Famille vous informe qu’une messe sera dite en sa mémoire le Dimanche 24 Février 2019 à partir de 07H à l’église Notre Dame de Kolognaba suivie de la prière au domicile familial sise à Ouidi à 09H. UNION DE PRIERE.

DIEU voit tout ce que vous avez fait en hommage et en honneur de Mme BADO/KANYILI Augustine et votre soutien à notre endroit. Qu’il vous bénisse et que par son Saint nom, votre cœur manifesté puisse recevoir l’insigne de notre infinie reconnaissance.

    La famille

Situation au Vénézuela : L’UNIR/PS joue la carte Maduro

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...au régime de Nicolas Maduro

Dans l’impasse politique dans laquelle se trouve le Vénézuela, avec d’un côté le président Nicolas Maduro, président et successeur du Chavez et de l’autre Juan Guaido, président auto-proclamé revendiquant lui-aussi le pouvoir suprême ; l’Union pour la renaissance/Parti sankariste (UNIR/PS) a fait son choix.  C’est Maduro, «démocratiquement élu». «L’UNIR/PS «manifeste sa solidarité sans faille aux autorités légitimes du Venezuela et à son peuple ; et invite  tous les pays encore attachés aux valeurs de démocratie et de libre choix de leur modèle de gouvernement, à peser de tout leur poids dans toutes les instances internationales pour que la souveraineté du Venezuela soit respectée». Voici l’intégralité de la déclaration de soutien.

Par la voix de son président, Me Bénéwendé Stanislas Sankara, l’UNIR/PS apporte son soutien….

«DECLARATION  DE L’UNIR/PS SUR LA SITUATION AU VENEZUELA

Le Venezuela fait face ces derniers mois à une crise politique, économique et sociale sans précédent dans l’histoire du pays, crise créée et entretenue par l’impérialisme international.                                                                                                                               Profitant de cette crise qu’il a savamment orchestrée, avec à sa tête les Etats Unis d’Amérique, il tente de renverser le Président Nicolas MADURO, démocratiquement élu.

L’objectif avoué étant de mettre fin à la révolution bolivarienne en cours dans le pays et y installer un régime fantoche à leur solde en s’appuyant sur le félon Juan Guaido.

…au régime de Nicolas Maduro

 

Il n’aura échappé à personne que le Venezuela, comme par hasard, est un grand pays producteur de pétrole et de gaz comme le Soudan, la Libye, l’Iraq ou la Syrie !!!

Là où on a l’odeur de pétrole, l’odeur de poudre, charriée par l’impérialisme  n’est jamais loin !

L’Union pour la renaissance/parti sankariste (UNIR/PS), héritière de la révolution démocratique et populaire (RDP), ne peut garder le silence face à une telle ingérence. C’est pourquoi le parti condamne énergiquement cette volonté  de domination impérialiste des Etats Unis et ses alliés sur le peuple épris de paix et de justice du Venezuela.

Le parti  manifeste sa solidarité sans faille aux autorités légitimes du Venezuela et à son peuple.

L’UNIR/PS  invite par ailleurs, tous les pays encore attachés aux valeurs de démocratie et de libre choix de leur modèle de gouvernement, à peser de tout leur poids dans toutes les instances internationales pour que la souveraineté du Venezuela soit respectée.

Entre le président auto-proclamé Guaido et le président Maduro, le choix de l’UNIR/PS est clair

 

Si nous voulons promouvoir la paix mondiale à laquelle tous peuples aspirent, les relations internationales se doivent d’être plus justes et équilibrées et non être liées à une quelconque puissance économique ou militaire.

Quant à Monsieur  Juan Guaido  qui a décidé de pactiser avec l’impérialisme, nous voudrions partager avec lui cette pensée du Président guinéen Ahmed Sékou Touré qui nous enseigne de préférer la dignité dans la pauvreté que l’opulence dans l’esclavage.

Vive le peuple libre du Venezuela

Victoire à la révolution bolivarienne du Venezuela !

Victoire aux peuples en lutte pour leur véritable indépendance !

Pas un pas sans le peuple !

La patrie ou la mort, nous vaincrons !

Le Président de l’UNIR/PS

Me Bénéwendé S. Sankara»

Ministère de l’énergie : 2 responsables installés

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Le ministre de l’Energie, Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO, a procédé ce mardi 19 février 2019, aux installations officielles de Dr Souleymane KONATE et de Madame Joséphine BASSOLET/TOE, respectivement au poste de Responsable du Programme Budgétaire Énergie et d’Inspectrice technique des services.

Nommé en Conseil des Ministres du jeudi 25 octobre 2018, Monsieur KONATE dit être conscient de la charge qui lui est assigné. « Les défis sont énormes et nobles, dira-t-il et il nous appartient tous de redoubler d’efforts pour les relever car ils sont impactant aussi bien pour nos populations que pour notre économie nationale». Le responsable du Programme Budgétaire Energie de continuer : « Aujourd’hui, nous avons de beaux challenges à relever. En témoigne la mise en œuvre de projets comme le Backups solaire, le programme YEELEN dans toutes ses composantes, (…), PEPU, PERREL, Zagtoulli, Jatropha, … ».

Le Docteur en Energie Solaire s’est donc engagé, séance tenante, à accompagner sans relâche le ministère dans la réussite des missions pour le développement du secteur de l’énergie.

Promesse formulée également par Madame Joséphine BASSOLET/TOE installée Inspectrice technique de services suite à sa reconduction en conseil du 17 octobre 2018. Madame BASSOLET, économiste de formation, a promis poursuivre sa responsabilité dans une dynamique d’amélioration. Elle dit pouvoir compter sur les conseils et suggestions de tous les collaborateurs du ministère dans l’atteinte de sa mission.

Le ministre les a tous les deux félicités et exhortés à mettre leurs expériences au profit des objectifs à atteindre.

DCPM/ME