Le président congolais, Denis Sassou Nguesso a l'honneur d'être le premier président africain à être reçu par Donald Trump
Le nouveau président américain Donald Trump n’a pas encore pris officiellement fonctions. Alors que beaucoup s’interrogent toujours sur la nature des relations que le futur locataire de la Maison Blanche pourrait entretenir avec l’Afrique, voilà qu’un communiqué de la présidence congolaise de Brazzaville vient annoncer pour ce mardi 27 décembre une entrevue entre Donald Trump et le président Sassou Nguesso.
Le président congolais, Denis Sassou Nguesso a l’honneur d’être le premier président africain à être reçu par Donald Trump
« Le président Denis Sassou Nguesso est attendu ce 27 décembre aux États-Unis d’Amérique où il sera reçu, en sa qualité de président du comité de haut-niveau de l’Union africaine sur la Libye, par le président élu des États-Unis, M. Donald Trump », précise ledit communiqué signé du ministre d’Etat congolais et directeur de cabinet de Sassou.
Cette annonce a fait comme l’effet d’une bombe dans les rangs de l’opposition congolaise qui y voit une caution par le président Trump du pouvoir Sassou qu’elle continue de récuser.
Au-delà l’opposition congolaise, l’on peut légitimement se demander si Denis Sassou Nguesso sera l’homme de Trump en Afrique, cela d’autant qu’il est le premier chef d’Etat africain qu’il reçoit. Comment Xi Jinping va-t-il prendre cela ?
Cet honneur que Trump accorde à Nguesso pourrait traduire une certaine complicité de vue entre les deux hommes sur la marche des affaires africaines. Or, on le sait, Sassou n’a pas toujours une réputation de démocrate. Sa dernière élection en mars 2016 après une modification contre vents et marées de la Constitution est toujours dénoncée par son opposition. Après ce passage en force, Sassou avait été abandonné pendant quelques mois par les pays occidentaux dont les Etats-Unis. Et pour briser cet isolement diplomatique international, Sassou avait dû se rendre en Chine, ce qui allait par la suite amener les pays occidentaux à revenir à des meilleurs sentiments avec les tenants du pouvoir à Brazzaville.
L’autre question que peut susciter cette rencontre Nguesso –Trump, c’est son impact sur les relations sino-congolaises. Comment le président chinois, Xi Jinping va prendre cela, lui qui avait accueilli à bras ouverts en juillet 2016 Sassou Nguesso ? Surtout quand on sait que depuis son élection, Trump n’a cessé d’agacer à Pékin en tentant de fouler au pied, avec des appels téléphoniques à la présidente taiwanaise, le principe de la Chine unique, cher aux autorités chinoises.
Le département de la communication et des relations avec le parlement a tenu ce 27 décembre 2016 son deuxième Conseil d’administration du secteur ministériel (CASEM) de l’année sous la problématique des défis et perspectives dans le cadre du Plan national de développement économique et social (PNDES).
C’est le ministre de la communication, porte-parole du gouvernement, Remis Fulgence Dandjinou, qui a présidé l’ouverture du CASEM
«Développement du secteur de l’information et de la communication : défis et perspectives dans le cadre du PNDES». C’est le thème du second Conseil d’administration du secteur ministériel (CASEM) de l’année 2016 du ministère de la communication et des relations avec le parlement tenu ce mardi 27 décembre à Ouagadougou.
Ce thème, a indiqué le ministre de la communication, Remy Fulgence Dandjinou, est «d’actualité et pertinent car il permettra de discuter de nos préoccupations à travers des échanges sur les plans stratégiques de développement, de partager nos points de vue et d’examiner les perspectives dans le cadre du PNDES».
C’est, a-t-il ajouté, l’occasion pour les acteurs de l’information et de la communication de s’accorder sur les actions à entreprendre pour la dynamisation du secteur.
«Les projets de rapport d’activités 2016 et de programme d’activités 2017, les autres présentations et les échanges nous permettront, sans nul doute, de baliser le terrain et de mieux orienter nos priorités», a en outre assuré le ministre de la communication, porte-parole du gouvernement.
Plans stratégiques de l’ISTIC, de la RTB et de Sidwaya
Des responsables des médias publics, des cadres du ministère étaient de la partie
Le présent CASEM se tient dans un contexte de communication tant au niveau national qu’international sur le PNDES en vue de la mobilisation des ressources financières nécessaires à sa mise en œuvre.
Ce contexte est également marqué par la transition vers la Télévision Numérique Terrestre, l’opérationnalisation du fonds d’appui à la presse privée et la recherche de ressources financières pour la réalisation des plans stratégiques de développement de l’Institut des sciences et techniques de l’information et de la communication (ISTIC), de la Radio Télédiffusion du Burkina (RTB) et des Editions Sidwaya.
Le présidium à l’ouverture du CASEM
Interroger sur les revendications salariales et d’amélioration des conditions de vie des personnels des médias publics, le ministre Dandjinou a dit qu’elles feront partie des discussions du CASEM. Toujours sur la question, il a laissé entendre que le plus important était la viabilité de ces médias publics dans un environnement
fortement concurrentiel, évoquant la priorité qui doit être donnée à l’intérêt du public.
Le FPI, le parti créé par l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo, doit se « rénover » en se détachant de l’image de son fondateur qui constitue un « handicap », a affirmé Pascal Affi N’Guessan, le lundi 26 décembre 2016 à Abidjan, après son échec cuisant aux dernières législatives.
Une partie du Front populaire ivoirien qui avait décidé de présenter 186 candidats aux élections du 18 décembre n’a remporté que trois sièges, alors que Le RDHP, la coalition au pouvoir, se taillait la part de lion avec 167 députés sur 254. Des indépendants ont remporté la majorité des sièges restants.
« On s’attendait à mieux (…) mais cela s’explique par le faible taux de participation » de 34%, a déclaré à l’AFP M. Affi N’Guessan, ancien Premier ministre, élu dans sa circonscription.
Une branche dissidente du FPI, des « frondeurs » qui se disent fidèles à Laurent Gbagbo – actuellement jugé par la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes contre l’humanité – avait appelé au boycott des législatives. Selon M. Affi N’Guessan, l’avenir du parti qui fut au pouvoir de 2000 à 2011 se trouve dans sa capacité de rénovation et de proposition d’une offre politique nouvelle.
« Après ces élections, on passe à une autre phase qui ne doit pas s’accommoder de tergiversations vis-à-vis de ceux qui ont montré qu’ils ne sont pas capables de se réformer (…) qui veulent s’accrocher au passé et qui constituent un boulet. Il faut couper ce boulet et aller de l’avant », a-t-il poursuivi, évoquant « une rupture ».
« Quel que soit ce que l’on pense du fondateur (Laurent Gbagbo), il s’agit de construire un nouveau projet qui prend en compte le bilan du passé pour identifier les handicaps du parti. Or les handicaps du parti son liés à son image », a martelé M. Affi N’Guessan.
Selon lui, le FPI a été traité « de parti xénophobe, sectaire et violent, il faut rompre avec tout cela pour (…) construire un parti républicain, soucieux de la stabilité politique, ouvert au monde et non un parti renfermé sur un nationalisme débridé ».
« Laurent Gbagbo, c’est la restauration du multipartisme en Côte d’Ivoire (en 1990, NDLR) et la lutte pour l’accession au pouvoir du FPI en 2000. Aujourd’hui, il est dans les liens de la détention, il n’est plus actif, il faut poursuivre le processus, avec de nouveaux hommes, un nouveau discours et avec des nouvelles ambitions liées à un contexte nouveau », a souligné M. Affi N’Guessan.
Ces législatives sont les premières élections à se tenir sous la IIIe République ivoirienne, après l’adoption d’une nouvelle Constitution en octobre à l’initiative du président Alassane Ouattara, réélu en 2015 pour un deuxième et dernier mandat. Son prédécesseur est jugé par la CPI pour les violences postélectorales de 2010-11 qui ont fait quelque 3.000 morts.
Le Ministre des Transports, de la Mobilité Urbaine et de la Sécurité Routière, Souleymane Soulama a l’honneur de rappeler à toute la population de Ouagadougou en général et à tous les transporteurs routiers en particulier que les dispositions du Raabo n°an vi-077/FP/MAT/PKAD/HC portant règlementation de la circulation et du stationnement des véhicules poids lourds dans la ville de Ouagadougou demeurent d’application.
Aussi, invite-t-il les transporteurs et les commerçants à observer scrupuleusement les mesures d’interdiction et de circulation prescrites entre 05 heures du matin et 20 heures. Il les informe par ailleurs que des contrôles appropriés seront organisés pour compter du jeudi 22 décembre 2016 afin de s’assurer du strict respect de la réglementation.
Il a rappelé, entre autres, les mesures suivantes :
• l’obligation d’équiper en limiteur de vitesse tout véhicule de transport routier de marchandises, de voyageurs ou de personnes ;
• l’obligation d’installer dans les véhicules de transport routier des dispositifs permettant de déterminer les temps de conduite et de repos de leurs conducteurs ;
• l’obligation de se conformer aux prescriptions relatives à la feuille de route et au registre récapitulatif de départ des véhicules.
L’observance desdites mesures qui s’inscrivent dans le souci de fluidifier la circulation routière et d’éviter les nombreux accidents surtout en cette fin d’année ne souffrira d’aucune violation. Les contrevenants répondront conformément aux dispositions en vigueur.
La NAFA présente ses voeux pour 2017 aux Burkinabè
Ceci est un message de la Nouvelle alliance du Faso (NAFA) à l’occasion des fêtes de fin d’année et de nouvel an.
La NAFA présente ses voeux pour 2017 aux Burkinabè
«Message de la NAFA à l’occasion des fêtes de fin d’année et de nouvel an
Vaillant peuple du Burkina Faso, militantes et militants de la NAFA,
En ces derniers jours de l’année 2016, permettez-moi au nom du parti et en mon nom propre de vous souhaiter à toutes et à tous, nos vœux les plus sincères de bonheur et de santé. Que l’éternel des armées, dans son infini bonté bénisse le Burkina Faso.
En ces moments précis, nos pensées vont à l’endroit de tous ces innocents, civils ou militaires tombés sous les balles assassines des terroristes. Que leurs âmes reposent en paix sous la terre libre du Faso, et que Dieu apaise les cœurs de leurs familles respectives et les fortifie en ces moments de douleurs. Aux blessés, nous souhaitons prompt rétablissement. A nos forces de défenses et de sécurités qui en dépit de leurs moyens limités se battent jour et nuit, pour assurer à notre pays un minimum de quiétude, la NAFA vous dit merci. A tous ceux qui ont été désillusionnés ou qui ont perdu espoir en l’avenir, de par la façon dont notre pays est aujourd’hui dirigé, la NAFA vous tend la main. Rejoignez-nous, car ce parti a été créé pour vous, il est le vôtre et vous n’avez aucune raison de rester en marge. Avec la NAFA, l’espoir est permis. A tous les prisonniers et persécutés politiques, nous vous disons courage, restez sereins, car vous n’êtes pas seuls et la vérité triomphera, tôt ou tard.
Vaillant peuple du Burkina Faso, militantes et militants de la NAFA,
A l’orée de cette fin d’année 2016, le bilan suivant peut être fait de la gestion de notre pays:
-au niveau de la gouvernance politique, nous avons constaté l’absence de vision ou le pilotage à vue, l’alternance sans changement, la stratégie du bouc-émissaire, les contradictions au sommet de l’Etat, les violences-post électorales, l’écriture d’une nouvelle Constitution et des dynamiques de regroupements au sein de l’Opposition ;
-au plan économique, le marasme, l’adoption de deux Lois de finances rectificative en l’espace de trois mois, l’élaboration du Plan National de Développement Economique et Social et la tenue de la table ronde des bailleurs à Paris ont ponctué l’année qui s’achève. Le paiement partiel de la dette intérieure et l’introduction de quatre nouvelles taxes dont l’efficacité reste à prouver ainsi que la misère jamais égalée des populations ne peuvent être passés sous silence ;
-au plan social, l’installation symbolique d’un Haut Conseil pour la Réconciliation et l’Unité Nationale, la mise en œuvre du Programme d’urgence du Président du Faso, l’apparition et l’exacerbation des conflits identitaires méritent d’être mentionnées. Le déficit de confiance et de dialogue franc, sincère et constructif empreint de respect et de considération entre le gouvernement et les partenaires sociaux, l’inflation des mouvements et revendications sociaux, la politisation de l’administration et les grèves dans le secteur de la santé ont achevé de convaincre les populations sur la nature réelle de ceux qui nous dirigent;
-au plan sécuritaire, la faillite de l’Etat, les attaques terroristes répétées, l’aggravation de l’insécurité et de l’incivisme donnent froid au dos et font dire aux plus sceptiques que ceux qui nous dirigent nous conduisent assurément vers une destination incertaine;
-au plan judiciaire, l’instrumentalisation des tribunaux d’exception (Haute Cours de justice et Tribunal militaire), les menaces sur l’institution judiciaire par certaines organisations et personnes ainsi que sa mise en accusation publique par les plus hautes autorités du pays lors de la commémoration de l’an 2 de l’insurrection nous inquiètent et nous interpellent sur la nécessité de travailler à l’avènement d’une justice véritablement libre, indépendante, accessible et efficace.
Vaillant peuple du Burkina Faso, militantes et militants de la NAFA,
Au niveau de notre parti, les élections Municipales du 22 mai 2016 ont confirmé notre positionnement comme la 4ème force politique du pays avec ses 454 Conseillers municipaux, ses 5 Maires, ses 18 Adjoints au Maire, ses 33 Présidents de Commissions et ses 13 Conseillers régionaux.
C’est l’occasion pour nous de témoigner toute notre gratitude à l’ensemble des militantes et militants ainsi que les responsables à la base qui ont fait confiance à la NAFA, en lui permettant de faire ce score honorable, et partant d’envisager l’avenir avec sérénité et optimisme.
Sachez que 2017 sera une année d’intenses activités, mais surtout de luttes. Nos priorités s’articuleront autour des points suivants : (i) Rencontrer les militants et sympathisants sur toute l’étendue du territoire national et hors du pays, (ii) restructurer et élargir les bases du parti, (iii) renforcer les capacités des militantes et militants à travers des formations à la carte, (iv) contribuer à l’animation de la vie politique nationale et (v) œuvrer à la consolidation de la démocratie et à l’avènement d’une véritable justice indépendante et impartiale, porteuse de paix, de cohésion sociale et de développement inclusif.
Puisse 2017 être pour l’ensemble des Burkinabè et la Nation entière, une année :
de santé, de paix et de prospérité ;
de justice impartiale et restauratrice pour tous ainsi que de « justice et liberté pour Djibrill BASSOLE » en particulier ;
de sécurité et de stabilité retrouvées ;
de relance économique créatrice d’emplois et de progrès ;
d’amorce d’un véritable processus inclusif de réconciliation nationale.
Aux animateurs de la vie politique nationale, œuvrons en tout temps et en tout lieu à la réhabilitation de l’image du politique et de la politique et bannissons à jamais la violence en politique notamment l’utilisation du feu comme arme de combat. Soyons tolérants, et bâtissons notre cher pays, dans l’amour, dans la paix, mais aussi dans la Justice, dans l’Unité et par le Travail et la Discipline.
Le secrétaire général de l’ONU, le Sud-Coréen Ban Ki-moon, est accusé de corruption dans son pays natal. Ces allégations surgissent à quelques jours de la fin de son mandat à l’ONU et au moment où beaucoup le voient déjà en champion du camp conservateur aux prochaines élections présidentielles en Corée du Sud.
Selon une enquête publiée par un hebdo coréen, il aurait accepté 200 000 dollars en 2005, quand il était ministre des Affaires étrangères, puis 30 000 dollars en 2007, après son accession à la tête de l’ONU. Avec notre correspondant à Séoul, Frédéric Ojardias
Le retour de Ban Ki-moon dans son pays natal s’annonce mouvementé. Selon les révélations du journal d’enquête Sisa, le secrétaire général de l’ONU aurait reçu il y a dix ans 230 000 dollars en liquide. Des pots-de-vin donnés par Park Yeon-cha, patron du groupe Taekwang, qui était déjà au centre d’un scandale de corruption visant l’entourage de l’ancien président Roh Moo-hyun.
Le porte-parole de Ban Ki-moon a immédiatement qualifié ces accusations de « fausses et infondées », avant d’exiger du journal un retrait de l’article et des excuses. Ces allégations sont potentiellement explosives pour Ban Ki-moon, qui ne fait plus grand mystère de ses ambitions présidentielles. Il est populaire en Corée du Sud parmi les électeurs les plus âgés. Et le parti conservateur au pouvoir, ravagé par le scandale qui frappe la présidente destituée Park Geun-hye, espère le convaincre d’être son candidat.
De son côté, le parti progressiste Minjoo demande l’ouverture d’une enquête. Les candidats du Minjoo sont favoris des sondages et Ban Ki-moon sera leur plus dangereux adversaire. Si la Cour constitutionnelle valide la destitution de Park Geun-hye, des élections anticipées doivent être organisées d’ici soixante jours.
Ceci est une déclaration du président par intérim du Mouvement du Peuple pour le Progrès (MPP), Salifou DIALLO, à travers laquelle il formule ses vœux les meilleurs à la communauté chrétienne.
Le 25 décembre de chaque année les chrétiens du monde entier célèbrent Noël, la fête de la nativité, la naissance de l’enfant Jésus. Ce jour mémorable est une belle occasion pour moi et pour mon parti le Mouvement du Peuple pour le Progrès (MPP) de souhaiter aux chrétiens du Burkina Faso et à l’ensemble de la communauté chrétienne en Afrique et de par le monde, une bonne fête de Noël 2016.
Noël est une fête reconnue comme étant celle des enfants. Aussi à cette occasion, puisse nos prières accompagner les enfants abandonnés, orphelins ou vivant dans la rue.
Que la grâce et la joie de l’enfant Jésus illuminent nos cœurs et épanouissent nos familles pour nous faire franchir la nouvelle année dans la paix, l’amour et la concorde.
Joyeux Noël à toutes et à tous.
L’explosion d’une voiture, en début d’après-midi de ce samedi 24 décembre 2016 à une dizaine de km de Pô, a tué au moins quatre personnes, a constaté sur place un correspondant de l’AIB.
Une voiture de transport, communément appelée ‘’Dakola Express’’, a littéralement explosé ce samedi 24 décembre 2016 à Tambolo, localité située à une dizaine de km de Pô et de Dakola.
Les causes du drame ne sont pas encore connues.
Un ratissage de la zone a permis à l’équipe de la police et de la gendarmerie de retrouver des morceaux de corps dont trois têtes.
Pour l’instant, seul le corps du chauffeur retrouvé à plus de 150 m des lieux, a pu être identifié.
L’impact de l’accident a été tel que, des débris ont blessé une femme et un enfant qui se trouvaient dans un jardin, ont affirmé des témoins présents sur les lieux.
Les mêmes sources soutiennent qu’un des passagers a embarqué à Dakola avec des explosifs, sans toutefois préciser leur nature.
L'avion abîmé en mer avait décollé de la ville d'Adler pour relier la base aérienne russe de Hmeimim, au nord ouest de la Syrie
Noël noire en Russie. Un avion militaire russe, un Tupolev-154, s’est en effet abîmé ce dimanche en mer Noire avec à bord 92 personnes dont plus de 60 membres des chœurs de l’Armée Rouge, qui allaient célébrer le Nouvel An avec les troupes en Syrie. L’information est du ministère russe de la Défense.
L’avion abîmé en mer avait décollé de la ville d’Adler pour relier la base aérienne russe de Hmeimim, au nord ouest de la Syrie
Pour l’armée russe et son président Vladimir Poutine, le prix de la victoire d’Alep risque d’être exorbitant. A peine le pays a fini d’enterrer son ambassadeur en Turquie abattu à bout portant par un policier turc, voilà que le ministère russe de la Défense annonce un autre drame qui se produit ce dimanche au petit matin en mer Noire.
Il s’agit de l’avion militaire qui s’est abîmé dans la mer avec à bord 92 personnes dont plus de 60 membres des chœurs de l’Armée Rouge, qui allaient célébrer le Nouvel An avec les troupes en Syrie.
2 fonctionnaires et 9 journalistes parmi les passagers du vol
La liste des passagers publiée par le ministère comprend 64 membres de l’Ensemble Alexandrov, connu lors de ses tournées à l’étranger sous le nom de chœurs de l’Armée Rouge, huit militaires dont le directeur de l’Ensemble Valéri Khakhilov, huit membres d’équipage, neuf journalistes, deux hauts fonctionnaires civils et la responsable d’une organisation caritative très connue en Russie, Elizavéta Glinka.
Les équipes de recherche ont localisé, en mer Noire, le site du crash de l’avion de la défense militaire russe disparu dimanche des radars peu après son décollage d’Adler, non loin de Sochi, rapporte l’agence Interfax sur base d’informations émanant des autorités.
Les débris de l’appareil abîmé retrouvés à 1,5km de Sotchi
L’avion militaire russe a décollé dimanche à 05H40 de la ville d’Adler, située au sud de la station balnéaire de Sotchi sur la mer Noire, pour un vol de routine à destination de la base aérienne russe de Hmeimim, près de Lattaquié, dans le nord-ouest de la Syrie, selon le ministère de la Défense cité par les agences locales. Il transportait 83 passagers et huit membres d’équipage.
Des débris de l’avion Tu-154 du ministère russe de la Défense ont été retrouvés à 1,5 kilomètre du littoral de la ville de Sotchi, à une profondeur de 50 à 70 mètres.
Le corps d’une personne retrouvé
Les équipes de secours ont retrouvé le corps de l’une des personnes qui se trouvaient à bord de l’avion militaire russe qui s’est abîmé dimanche en mer Noire, a annoncé le ministère de la Défense, cité par des agences locales. « Le corps d’une personne tuée dans le crash du Tupolev-154 du ministère de la Défense a été retrouvé à six kilomètres du littoral de Sotchi », a déclaré le porte-parole du ministère, Igor Konashenkov, aux agences locales.
La rencontre entre le premier ministre et les responsables du Synatic a enfin eu lieu, le 23 décembre 2016. Prévue initialement pour 13 h, elle s’est déroulée autour de 16h. Une heure de temps après, les représentants du syndicat sont sortis de l’entretien.
Se prêtant aux questions des journalistes, le secrétaire général du Synatic, Sidiki Dramé, a laissé entendre que le premier ministre, Paul Kaba Thiéba, a accepté de revoir à la hausse les propositions du gouvernement portant sur l’indemnité de code vestimentaire. Il va être question d’échelonner cette indemnité, selon que l’on soit en D, C, B pou A. Cela étant, M. Dramé a refusé de donner les détails, préférant probablement donner la primeur de l’information à la base, lors d’une assemblée générale.
Quant à l’indemnité de risque et à la prime de panier, le chef du gouvernement n’a pas fait de concession; c’est le statut-quo.
Avant le Synatic, Paul Kaba Thiéba, a rencontré les leaders du SNAID. Ces derniers ont laissé entendre qu’il leur a demandé leur plateforme revendicative et de lui accorder tout le mois de janvier pour qu’il l’étudie. En contre partie, il leur a proposé de cesser les activités de protestation d’ici à cette échéance.