Abdoulazize Bamogo (à droite) président sortant passe le témoin à Idrissa Ouédraogo, nouveau Président du CSC

Au Conseil supérieur de la communication (CSC), l’on n’a pas perdu du temps après la nomination mercredi 31 janvier de Idrissa Ouédraogo au poste du Président du CSC.

Sous le haut patronage du Premier ministre Kyelèm de Tambèla

La passation de charge entre Président sortant du CSC  Abdoulazize Bamogo et le nouveau Président Idrissa Ouédraogo est intervenue ce jeudi 1er février au sein de l’institution au cours d’une cérémonie solennelle patronnée par le Premier ministre Joachimsom Apollinaire Kyelem de Tambèla.

C’est sous le haut patronage du Premier ministre Apollinaire Joachimson Kyelem de Tembèla que s’est tenue ce jeudi 1er février 2024 la cérémonie de passation de charge entre Président sortant Abdoulazize Bamogo et le Président entrant Idrissa Ouédraogo.

Le Président entrant Idrissa Ouedraogo a rendu un vibrant hommage à tous les patriotes qui, au prix d’immenses sacrifices sur tous les fronts, nous permettent de nourrir tous les espoirs en un Burkina Faso rayonnant, bientôt entièrement sécurisé et prospère.

Le Président entrant conscient des immenses chantiers…

Conscient des immenses chantiers auxquels il faudra s’attaquer, il assure qu’avec l’ensemble des membres de son équipe, ils s’efforceront avec humilité et détermination, à obtenir des résultats concrets, dans les meilleurs délais.

Le président sortant Abdoulazize Bamogo a exprimé ses encouragements à son successeur et a l’ensemble de son équipe, transmettant par la même occasion, ses vifs remerciements aux autorités gouvernementales, aux partenaires qui les ont soutenus, à la conférence épiscopale Burkina Niger, à la Fédération des associations islamiques du Burkina, à la Fédération des églises et missions évangéliques…

Les exhortations du Président sortant Bamogo à son successeur Ouédraogo

Abdoulazize Bamogo s’est excusé auprès de tous ceux qu’il a offensés et aussi de ceux qui lui ont offensé. «Pour ma part, comme le dit le musicien Alpha Blondy, je vous demande pardon», a-t-lâché.

Il a exhorté le Président Ouédraogo à toujours prendre suffisamment de recul, à toujours mettre en avant l’intérêt supérieur de la Nation, à s’approprier les valeurs cardinales de justice, d’impartialité, d’indépendance, d’écoute et de dialogue qui caractérisent toute mission de régulation de la communication publique. «Votre responsabilité est lourde», a-t-il lancé à son successeur en guise de conseil.

Bernard Bazié

Burkina Demain

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