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Grogne des élèves à Ouaga : Les responsables des ministères concernés pourraient s’exprimer

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Le MENA, Pr Stanislas Ouaro

Jusque-là l’on ignore toujours les contours du décret gouvernemental à l’origine des manifestations des deux jours des élèves des établissements publics de Ouagadougou. Mais, selon nos confrères de la RTB, citant une source proche bien introduite, les premiers responsables des départements ministériels concernés pourraient sortir de leur silence en animant une conférence de presse.

Le MENA, Pr Stanislas Ouaro

Toujours selon cette source, les conditions d’admission dans nos universités pour les nouveaux bacheliers devraient restées. C’est justement l’une des préoccupations des élèves de Ouagadougou qui manifestent depuis deux jours pour exiger des explications sur le décret gouvernemental confiant l’organisation du BAC au MENA.

Alkassoum Maiga, ministre de l’enseignement supérieur

Une éventuelle sortie des ministres Stanislas Ouaro et Alkassoum Maiga, respectivement en charge du Ministère de l’éducation nationale, de l’alphabétisation et de la promotion nationales ; ministre de l’enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de l’innovation, devrait permettre de situer les uns et les autres sur le fameux décret, objet de toutes les spéculations.

Christian Tas

Burkina Demain

Attaque terroriste au Niger : 58 morts, deuil de 3 jours décrété

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L'armée nigérienne est de nouveau sur le qui-vive avec cette nouvelle attaque terroriste meurtrière

Le nouveau pouvoir nigérien a décrété ce mardi un deuil national de trois jours, à compter de ce mercredi 17 mars, à la suite de l’attaque terroriste meurtrière perpétrée lundi dans la région de Tillabéri. Bilan extrêmement lourd : 58 morts dans les rangs de la population civile.

L’armée nigérienne est de nouveau sur le qui-vive avec cette nouvelle attaque terroriste meurtrière

Pour le pouvoir Mohamed Bazoum, c’est véritablement le premier coup dur dans le dispositif de la lutte contre le terrorisme. Il s’agit de l’attaque terroriste meurtrière perpétrée lundi dans la région de Tillabéri. Le dernier bilan fait état de 65 morts.

«Lundi, dans l’après-midi, des groupes d’individus armés non encore identifiés ont intercepté quatre véhicules transportant des passagers de retour du marché hebdomadaire de Banibangou en partance respectivement aux villages de Chinégodar et Darey-Daye», indique un communiqué du gouvernement  nigérien lu mardi soir à la télévision nationale. Et le gouvernement d’appeler dans le même communiqué la population à plus de vigilance, réaffirmant «sa détermination à poursuivre sans relâche la lutte contre la criminalité sous toutes ses formes».

Au Mali voisin, c’est au total 11 personnes qui ont été également tuées dans une attaque terroriste. La vigilance doit donc être encore de mise dans la zone des trois frontière Burkina-Mali-Niger.

Burkina Demain

Centrale solaire de Pâ : Les fonds bientôt disponibles pour lancer la construction

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Les officiels au lancement de la construction de la centrale solaire de Pâ le 1er février 2020

Les nouvelles en provenance de Londres, relativement à la construction de la centrale solaire de Pâ (30 MWc) sont bonnes. En effet, si tout se passe comme prévu, une bonne partie des fonds nécessaires à la construction de cette centrale verte, soit 21, 5 milliards de francs CFA (35,4 millions d’euros) devrait être disponible d’ici le deuxième trimestre de 2021, selon l’engagement pris ce 15 mars par le Fonds pour le développement d’infrastructure pour l’Afrique émergente (EAIF), bras financier du principal promoteur du projet, Urbasolar SAS, qui détient les 80 % des capitaux.

Les officiels au lancement de la construction de la centrale solaire de Pâ le 1er février 2020

Le 1er février 2020, le Premier ministre Christophe Dabiré, avec ses côtés le ministre Bachir Ismaël Ouédraogo, avait procédé à la pose de la première pierre de la centrale voltaïque de Pâ, située environ 210 km au sud-est de Ouagadougou.

Plus d’un an après, les choses évoluent dans le bon sens avec l’annonce ce lundi 15 mars depuis Londres, la capitale britannique, de la décision du Fonds pour le développement d’infrastructure pour l’Afrique émergente (EAIF) de mettre d’ici juin 2021 à la disposition de Urbasolar SAS, les 80 % des 21, 5 milliards de francs CFA nécessaire à la réalisation de l’ouvrage, soit 29 millions d’euros.

«En tant qu’expert européen de l’énergie solaire, le groupe Urbasolar est conscient de son rôle dans le développement de cette source d’énergie en Afrique, notamment au Burkina Faso où nous sommes déjà actifs. Urbasolar est convaincu que le secteur de l’électricité solaire offre des solutions à de nombreux problèmes économiques, environnementaux et sociaux. Aussi, outre le fait qu’il fournit une électricité verte, ce projet inclut également un certain nombre d’autres mesures telles que l’éducation au sujet de la technologie solaire, des bourses d’études et un programme local de microfinancement pour les femmes, ainsi que du soutien au système de santé», se félicite le grand patron du groupe Urbasolar, Arnaud Mine.

Compter aussi avec la participation de PPS

Aux 80% des fonds que prêtera EAIF, Urbasolar va ajouter les 20 % restants des capitaux requis pour la réalisation du projet. Il faut compter  aussi avec la participation au capital d’un acteur national du secteur, Projet Production Solaire (PPS) dirigé par Emmanuel Kaboré.

De la future centrale solaire de Pâ, il est escompté une production énergétique annuelle de l’ordre de 50 GWhs. Ce qui servira à alimenter les localités comme Houndé, Boromo,  Wona,  Yaramoko.

Sa réalisation participe de l’ambition du gouvernement Burkinabè d’atteindre en cette année 2021 une production énergétique verte  globale de 200  MW produites par  des centrales solaires.

Envisagés dans le cadre d’un partenariat public-privé, les 30 MWc de la centrale de Pâ seront injectés dans le Réseau interconnecté de la Société nationale d’électricité du Burkina (SONABEL) qui va les acheter aux promoteurs.

 

Philippe Martin

Burkina Demain

Burkina Faso : Vous avez dit négociation avec les terroristes ?

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L’annonce a alimenté les conversations en fin février au Burkina Faso. Selon certaines sources, l’ANR, l’Agence nationale du renseignement, aurait mené des négociations ayant conduit à la libération d’une vingtaine de terroristes en 2020.   Ce serait suite aux pourparlers avec Iyad Ag Ghali, chef du groupe de soutien à l’islam et aux musulmans que le gouvernement aurait procédé à la libération des terroristes. Évidemment, ces supputations ont entraîné une véritable volée de bois vert d’autant plus qu’elles battaient complètement en brèche la position officielle voire la « doctrine » du Burkina Faso en matière de rapports avec les groupes terroristes.

Il fallait donc rapidement une clarification. Elle sera faite le 03 mars par le ministre de la Communication, Ousseni Tamboura. Le démenti est formel : « Le gouvernement du Burkina Faso n’est pas en train de négocier avec des terroristes ».

Le 04 mars, en conférence de presse sur la réconciliation nationale dont il a la charge depuis la mise en place du nouveau gouvernement en janvier dernier, le ministre d’État Zéphirin Diabré renchéri : « Nous ne négocions pas et nous ne négocierons pas avec les terroristes ».

Puis d’ajouter :«Il est de notre devoir de ramener nos enfants à la maison, c’est ça qu’on va faire ».Zéphirin Diabré pense que la négociation n’est possible  qu’avec les jeunes qui se sont laissés manipuler. Pas avec ceux qui se sont inscrits dans les grands mouvements de la sous-région.

Devoir de constance 

La position du Burkina Faso en matière de lutte contre le terrorisme est constante.  « Il n’est pas question de négocier avec les terroristes ». Le Président du Faso l’a à maintes reprises martelé au début des attaques terroristes et tout récemment pendant la campagne électorale. Avec cette position de principe, le Burkina Faso fait bloc derrière les pays de la sous-région et de leurs partenaires internationaux engagés dans la lutte contre le terrorisme à travers le G5 Sahel.

Le Burkina Faso ne saurait être membre du G5 Sahel et adopter des stratégies aux antipodes de celles édictées par cette coalition. Cela dit, le pays peut développer des initiatives tendant à limiter la radicalisation des jeunes ou à favoriser le retour au bercail de ceux à qui les groupes terroristes ont promis monts et merveilles et qui ont fini par prendre des armes contre la mère patrie. Cette stratégie produit des fruits puisque les groupes terroristes enregistrent de plus en plus des défections par les efforts conjugués des FDS, des VDP, des leaders religieux et coutumiers, des politiques qui œuvrent pour l’implémentation de projet structurants dans les zones délaissées,…

Pour parvenir à de tels résultats, il faut évidemment disposer de réseaux et de renseignements fiables.  Dans ce registre, l’ANR, de notre point de  vue, ne doit s’imposer aucune limite.  Elle doit rechercher le renseignement utile où qu’il se trouve afin d’éclairer la décision des gouvernants. Il faut se rendre à l’évidence. La négociation avec les terroristes n’est pas forcement la panacée. Elle peut même apparaitre comme une solution de facilité là où il faut des réponses structurelles et originales.

Le Burkina Faso doit donc continuer de travailler d’arrache-pied afin d’offrir les meilleures perspectives aux jeunes qui sont les cibles privilégiées des terroristes lorsque tous les horizons semblent obscurcis pour eux.

Il est aussi impératif de solder tout le passif pour remettre le pays sur orbite. C’est en ce sens qu’il faut saluer le thème de la célébration de la fête nationale du 11 décembre 2021 qui aura lieu à Ziniaré : «Réconciliation nationale et cohésion sociale : devoir et responsabilité de tous pour un développement durable du Burkina Faso ». 

Jérémie Yisso BATIONO

Enseignant Chercheur

Ouagadougou

 

BAC & BEPC 2021 : Des élèves de nouveau dans la rue à Ouaga !

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Des élèves dans les rues de Ouagadougou ce lundi 15 mars 2021

Après le 9 mars 2021, les élèves de Ouagadougou sont de nouveau dans la rue ce lundi pour contester le décret gouvernemental du 1er février dernier chargeant le ministère de l’Education nationale de l’organisation de l’examen du baccalauréat. Une décision qui priverait, à entendre des manifestants, les futurs bacheliers d’une entrée automatique dans les universités et supprimerait le second tour du BEPC.

Des élèves dans les rues de Ouagadougou ce lundi 15 mars 2021

Les élèves semblent déterminés et veulent des explications des autorités sur ces réformes qui réduiraient leurs chances de succès. En face les forces de l’ordre qui tendent sur place d’éviter les débordements.

Du côté des autorités du MENA, rien n’avait encore filtré en termes d’annonce pour calmer les manifestants et les assurer sur le bien fondé du système organisationnel envisagé et déjà décrié par les principaux concernés. Par solidarité, tous ceux qui ont la pris la rue ce 15 mars, n’étaient seulement des élèves en classes d’examen.

Affaire à suivre.

Christian Tas

Burkina Demain

Vers une restructuration des quartiers non lotis de Ouaga

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Le ministre de l’Habitat, de l’urbanisme et de la ville, Bénéwendé Stanislas Sankara et sa suite au cours de la visite de terrain à Djikofè

Djikofè, quartier non loti de la commune de Ouagadougou servira de cadre expérimental d’un projet pilote de restructuration urbaine. Le ministre de l’Habitat, de l’urbanisme et de la ville, Bénéwendé Stanislas Sankara, accompagné d’officiels dont la directrice exécutive de l’ONU-Habitat Maimunah Mohd Sarif, étaient sur les lieux ce samedi 13 mars 2021.

Le ministre de l’Habitat, de l’urbanisme et de la ville, Bénéwendé Stanislas Sankara et sa suite au cours de la visite de terrain à Djikofè

 Le projet de restructuration urbaine, c’est une stratégie nationale qui a été mise en place et qui vise trois principaux objectifs : comprendre d’abord le processus de constitution et de transformation des zones non loties, ensuite les intégrer par la restructuration et prévenir la construction d’autres quartiers non lotis pour une urbanisation durable. Pour ce qui concerne la phase pilote, dans le projet, une enquête foncière sera élaborée ce qui va consister à délimiter l’occupation de chaque personne et c’est sur la base de cette occupation réelle qu’on pourra reconnaître qu’une personne est habitant du quartier.

Suite à cette occupation on fera une étude d’urbanisme qui va consister à un aménagement parcellaire (150 m2) pour qu’il ait un maximum de résidents. Les parcelles seront attribuées et des constructions vont se faire. Elles concernent des immeubles qui seront au bord des voies de 20 mètres où le rez de chaussée sera pour des boutiques et les étages pour des logements. Egalement le projet a imaginé 10% de personnes indigentes qui pourront bénéficier de logements chambre salon. Cette stratégie entend aider ceux qui n’ont pas les moyens de construire sur leur parcelle.

Djikofè, pour la phase pilote

Le ministre de l’Habitat, de l’urbanisme et de la ville, Bénéwendé Stanislas Sankara et sa suite au cours de la visite de terrain à Djikofè

Après tout cela il y aura la viabilisation. Ce projet de restructuration urbaine se veut une opportunité pour régulariser l’occupation de occupants. Un comité sera mis en place et des critères seront arrêtés de façon consensuelle, il y aura une superficie acceptable à laquelle tout résident sera éligible pour avoir une parcelle.

Pour la phase pilote, c’est la localité de Djikofè qui a été choisie. Avec une superficie de 604 hectares c’est plus de 61 600 habitants qui vivent dans ces zones non loties.

En effectuant la visite de terrain ce samedi, le ministre de l’Habitat, de l’urbanisme et de la ville, Bénéwendé Stanislas Sankara et sa suite, voulaient s’’imprégner des réalités que vivent au quotidien les habitants des quartiers à habitat spontané ainsi que les conditions réelles de mise en œuvre du projet restructuration urbaine de la commune de saaba.

Plus de 100 milliards de francs CFA seront mobilisés pour la réussite du projet.  «C’est ensemble que nous allons travailler à offrir aux populations des logements décents », a indiqué le ministre Sankara.

Christian Tas

Burkina Demain

Décès de Baya Charlemagne Badolo : Faire-part et Programme des obsèques

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Baya Charlemagne BADOLO, agent du Ministère de l’Economie, des Finances et du Développement (MINEFID) à la retraite, est décédé ce samedi 13 mars 2021 à l'âge de 66 ans, des suites de maladie

Les grandes familles Badolo, Bazié, Bado, Bazongo et familles alliées, à Ladiana, Mousséo, Doudoulcy, Didyr, Ouagadougou, Bobo-Dioulasso, Banfora, en Côte d’Ivoire et au Canada, ont la profonde douleur de vous annoncer le rappel à Dieu, ce samedi 13 mars 2021, au CHU de Bogodogo à Ouagadougou, des suites d’une maladie, de leur fils, frère, oncle, Baya Charlemagne BADOLO, agent du Ministère de l’Economie, des Finances et du Développement (MINEFID) à la retraite. Le Programme des obsèques.

Baya Charlemagne BADOLO, agent du Ministère de l’Economie, des Finances et du Développement (MINEFID) à la retraite, est décédé ce samedi 13 mars 2021 à l’âge de 66 ans, des suites de maladie

 «Communiqué nécrologique

Les grandes familles Badolo, Bazié, Bado, Bazongo  et familles alliées,

A Ladiana, Mousséo, Doudoulcy, Didyr, Ouagadougou, Bobo-Dioulasso, Banfora, en Côte d’Ivoire et au Canada,

Ont la profonde douleur de vous annoncer le rappel à Dieu, ce samedi 13 mars 2021 à l’âge de 66 ans, au CHU de Bogodogo à Ouagadougou, des suites d’une maladie, de leur fils, frère, oncle,

 Baya Charlemagne BADOLO, agent du Ministère de l’Economie, des Finances et du Développement (MINEFID) à la retraite.

               PROGRAMME DES OBSEQUES

                  13 mars 2021

-16h 00mn : Levée du corps au CHU Bogodogo suivi du départ pour le domicile ;

-17h 00mn : Recueillement au domicile à San Yiri, Ex sect N°30), côté Est du SIAO ;

-20 h 00mn : Prière au domicile

-21h 00mn : Départ du corps pour le village Ladiana (8 km de Didyr), province du Sanguié.

                 14 mars 2021

Vers 10 h : Enterrement à son domicile à Ladiana

Paix à son âme et union de prières !

La Famille»

Opérations immobilières suspendues : Les acteurs reviennent à de meilleurs sentiments

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Les acteurs immobiliers au cours de leur conférence de presse

Le 9 février dernier, le ministre de l’urbanisme, de l’habitat et de la ville a procédé à la suspension du traitement des dossiers de promotion immobilière. Une décision qui n’avait pas été  du goût de certains acteurs du secteur. Aujourd’hui, l’eau semble avoir coulé sous le pont au sortir de la conférence de presse animée ce vendredi 12 mars 2021 à Ouagadougou par les promoteurs immobiliers, désireux de clarifier les choses.

Les acteurs immobiliers au cours de leur conférence de presse

 Conjointement animée par les Associations des promoteurs immobiliers du Burkina (APIB), l’Union nationale des promoteurs immobiliers du Burkina (UNAPIB) et le syndicat des promoteurs immobiliers du Burkina (SYNAPIB), la conférence a eu pour objet de :<<rassurer l’opinion publique nationale et internationale du non arrêt de l’exercice de leurs activités par le ministère de l’urbanisme>>. Les promoteurs immobiliers, par cette sortie, disent s’inquiéter du fait que la note circulaire du ministre Bénéwendé Stanislas Sankara ait été mal interprétée.

Car selon eux, la circulaire fait cas d’une <<suspension temporaire>> et non d’un arrêt définitif. En ce sens, les conférenciers rassurent l’opinion publique :<<nous les promoteurs immobiliers continuons de travailler>>. Ainsi, admettant que la démarche du ministre peut entraver provisoirement la validation des dossiers en cours de traitement, les promoteurs pensent cependant que cette décision n’empêche pas les activités de promotion immobilière de se poursuivrent en toute liberté. 

La note circulaire, plutôt que d’inquiéter, est même bien accueillie par les promoteurs immobiliers. C’est le cas pour Roger Nikiéma, président de l’APIB, qui a salué cette décision du ministre. A l’en croire, les promoteurs immobiliers ont eux-mêmes demandé à un moment, qu’il y ait un inventaire sur les différents dossiers non traités au sein du ministère. Ainsi, selon lui, non seulement les promoteurs sont unis, mais aussi accompagnent l’élan du ministre de l’urbanisme.

A l’issue de cette conférence, les organisateurs ont tenu à réaffirmer leur disponibilité à accompagner le gouvernement dans sa politique de construction de logements et aussi pour l’apurement du passif foncier, de même que les opérations de restructurations. 

Aziz Yoda

Burkina Demain

Réconciliation nationale : La CODER apporte sa caution et exhorte le PF à tenir ses engagements

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Les responsables de la CODER face à la presse ce vendredi

S’il y a une organisation qui suit de près la question de la réconciliation nationale, c’est bien la Coalition pour la démocratie et la réconciliation nationale (CODER) qui en a en a fait depuis 2016 son cheval de bataille, sa raison d’existence. Ses responsables se sont prononcés ce vendredi sur le processus de réconciliation engagé sous la houlette du ministre d’Etat Zéphirin Diabré. C’était au cours d’un point de presse. 

Les responsables de la CODER face à la presse ce vendredi

Si les principaux animateurs de la conférence, en l’occurrence Ablassé Ouédraogo, président de Le Faso autrement et Hermann Yaméogo, président de l’Union nationale pour la démocratie et le progrès (UNDD) ; se félicitent de l’action de Zéphirin Diabré, ministre d’Etat chargé de la réconciliation nationale et de la cohésion sociale ; ils exhortent le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré à tenir jusqu’au bout ses engagements.

Ils évoquent notamment la tenue dans le premier semestre de 2021 des larges concertations, et du forum pour le dialogue national inclusif, qu’ils souhaitent sincères et ouverts.

Et de rappeler leur vision de ce processus de réconciliation nationale qui ne devrait pas, à écouter le patron de l’UNDD, occulter la justice transitionnelle s’il ne veut pas s’éterniser en empruntant uniquement la voie de la justice classique. 

Aziz Yoda

«Prix GIRE» en Journalisme : Les œuvres recevables du 15 au 19 mars 2021

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Le Secrétariat Permanent pour la Gestion Intégrée des Ressources en Eau (SP/GIRE), informe les médias de la création et du lancement d’un prix en journalisme pour la promotion de la Gestion Intégrée des Ressources en Eau (GIRE) dénommée «PRIX GIRE»

Ce prix vise à encourager les médias et à stimuler les productions sur la GIRE. La participation au PRIX-GIRE est ouverte aux journalistes professionnels de la presse écrite, en ligne et audiovisuelle du Burkina Faso. Les candidats doivent régulièrement régulièrement employés dans les organes de presse ou être des free-lance (collaborateurs). Les genres journalistiques retenus pour le «PRIX-GIRE » sont : l’enquête, le grand reportage et le documentaire.

Pus de précisions dans ce communiqué.

                                     «COMMUNIQUE

LANCEMENT DU PRIX-GIRE EN JOURNALISME

Le Secrétariat Permanent pour la Gestion Intégrée des Ressources en Eau (SP/GIRE), informe les médias de la création et du lancement d’un prix en journalisme pour la promotion de la Gestion Intégrée des Ressources en Eau (GIRE) dénommée «PRIX-GIRE».

Ce prix vise à encourager les médias et à stimuler les productions sur la GIRE. La participation au PRIX-GIRE est ouverte aux journalistes professionnels de la presse écrite, en ligne et audiovisuelle du Burkina Faso. Les candidats doivent régulièrement régulièrement employés dans les organes de presse ou être des free-lance (collaborateurs). Les genres journalistiques retenus pour le «PRIX-GIRE » sont : l’enquête, le grand reportage et le documentaire.

Les deux meilleures œuvres de chaque catégorie seront primées. Les œuvres recevables sont celles qui ont été publiées ou diffusées entre le Janvier 2020 et mars 2021.

Les œuvres sont reçues du 15 mars au 19 mars 2021 tous les jours ouvrables de 9 heures à 16 heures au secrétariat du SP/GIRE, sis côté Ouest du Building Lamizana. Les candidats doivent préciser la catégorie et le genre journalistique dans lesquels ils postulent. Le règlement intérieur du Prix est disponible au secrétariat du SP/GIRE et peut être consulté sur le site web du SP/GIRE (www.spgire.gov.bf).

Pour plus d’information, contactez le service communication au 78 47 66 59/ 76 54 26 16

Le Secrétaire Permanent

Moustapha CONGO»