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2e congrès ordinaire du MPP: les recommandations du parti de Salif Diallo

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Au terme du 2e congrès ordinaire du parti au pouvoir, le Mouvement du peuple pour le progrès (MPP), le 12 mars 2017 à Ouagadougou, Salif Diallo a été confirmé à la tête du parti et des recommandations ont été faites. SALIF D

« Vous m’avez fait l’honneur de me porter à la tête de notre parti et c’est avec beaucoup de détermination mais aussi avec beaucoup d’humilité que j’accepte cette responsabilité avec toute la direction nationale (du parti) », a dit Salif Diallo , président de l’assemblée nationale.

Simon Compaoré, 2ème vice-président, est devenu vice-président, laissant son ancien poste à Clément Sawadogo, l’actuel ministre de la Fonction publique.
Pour Salif Diallo, les actions des militants doivent être contrôlées pour s’assurer qu’elles concourent à la mise en œuvre du programme et non orientées vers l’atteinte d’intérêts personnels.

« Certains ont été nommés, certains sont devenus députés. Mais une fois en poste, ils ne se sentent plus redevables du parti. Ils croient qu’ils sont là à cause de leur intelligence ou de leur force personnelle. Personne à lui tout seul n’est fort dans le parti. Le parti est un collectif et il faut revenir au parti, écouter les mots d’ordre » , parole de M. Diallo.
Le congrès a alors recommandé au parti d’organiser des comptes rendus périodiques des réalisations du programme au niveau des structures géographiques et spécifiques du parti ; d’entretenir un dialogue politique républicain avec les forces politiques démocratiques et républicaines.
De même , il devra tenir des rencontres trimestrielles avec le chef de file de l’opposition politique, en vue d’échanger sur les questions intéressant de la vie de la nation ou toute autre question d’intérêt majeur.

Parlant du gouvernement, il a dit que le parti va concourir à la sensibilisation des militants au civisme fiscal pour assurer la mobilisation de ressources financières suffisantes pour couvrir les besoins de financement interne du PNDES.

Le gouvernement devra appliquer la loi portant règlementation de la commande publique, réaliser les études de faisabilité des grands projets qui n’en possèdent pas, mettre urgemment en place le dispositif de coordination de pilotage et de suivi évaluation du PNDES et rendre effectif le budget programme, en transférant aux différents ministres l’ordonnancement des budgets de leurs départements.

Crée en Janvier 2014, le Mouvement du peuple pour le progrès (MPP) a tenu son deuxième congrès ordinaire du 10 au 12 mars 2017 a permis de débattre autour du thème central: «mise en œuvre opérationnelle du programme présidentiel, quelles perspectives et quels engagements ?».

Il a réuni plus de 4.000 congressistes issus de la direction politique nationale du parti, des délégués des 13 régions et des 45 provinces du Burkina Faso.

Anderson Koné
Burkina Demain

2e congrès ordinaire du MPP: la composition du nouveau bureau exécutif

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A l’issue du 2e congrès ordinaire du parti au pouvoir, le Mouvement du peuple pour le progrès (MPP), le 12 mars 2017 à Ouagadougou, le nouveau bureau du MPP a été rendu public. Désormais présidé par le président de l’Assemblée nationale Salifou Diallo. Composé de 78 membres et 20 membres du haut conseil, il se présente ainsi qu’il suit. salif

Président du parti : Salifou Diallo
1er vice-président chargé de l’orientation politique : Simon Compaoré
2ème vice-président chargé des relations avec les partis politiques et alliances au niveau national : Clément Sawadogo

3ème vice-président chargé des relations extérieures : Konaté Issa Dominique
4ème vice-président chargé de la politique du genre : Yameogo Rakiéta
5ème vice-président chargé des relations avec les autorités coutumières et religieuses : Boly Moussa
Secrétaire exécutif : Savadogo Lassané
1er secrétaire adjoint au secrétaire exécutif : Ouattara Lassina
2ème secrétaire adjoint au secrétaire exécutif : Sakandé Alassane Bala
Secrétaire à l’organisation : Tiemtoré Salfo
1er secrétaire adjoint à l’organisation chargé du suivi des structures géographiques : Ouiya Bertin
2ème secrétaire adjoint au secrétaire à l’organisation chargé du suivi des structures spécifiques : Bougma Boureima
3ème secrétaire à l’organisation chargé du suivi des structures à l’étranger : Bonanet Maurice Dieudonné
Secrétaire à la formation politique et civique : Pargui Emile Paré
Secrétaire adjoint à la formation politique et civique : Sanou Djedjouma
Secrétaire aux affaires juridiques chargé des droits humains : Ouédraogo Bebrigda Mathieu
1er secrétaire adjointe aux affaires juridiques chargé des droits humains : Mamata Tiendrebeogo
2ème secrétaire adjointe aux affaires juridiques chargé du contentieux électoral : Yarga Larba
Secrétaire à la solidarité et aux affaires sociales : Ouédraogo Jacob
Secrétaire adjoint à la solidarité et aux affaires sociales : Savadogo Souleymane
Secrétaire chargé des questions électorales : Zagré Seydou
1er secrétaire adjoint chargé des questions électorales : Somé Placide
2ème secrétaire adjoint chargé des questions électorales : Kietega Fidèle
Secrétaire à l’information et à la communication : Diessongo Patrice
Secrétaire adjoint à l’information et à la communication : Thiombiano Pascal Yemboini
Secrétaire chargé des TIC : Tapsoba Emmanuel
Secrétaire adjoint chargé des TIC : Ouattara Npouè Eric
Secrétaire chargé du contrôle et de la vérification : Kyelem Blaise Lambert
Secrétaire adjoint chargé du contrôle et de la vérification : Bassané Job
Secrétaire chargé des élus nationaux : Koné Maxime
Secrétaire adjointe chargée des élus nationaux : Ilboudo Marie Laurence
Secrétaire chargé de la décentralisation et des élus locaux : Beouindé Armand
Secrétaire adjoint chargé de la décentralisation et des élus locaux : Sanou Léonce
Secrétaire chargé du monde du travail : Benon T Pascal
Secrétaire adjoint chargé du monde du travail : Zaongo Boniface
Secrétaire chargé des organisations de la société civile : Mosse Abdoulaye
Secrétaire adjoint chargé des organisations de la société civile : Compaoré Jérôme
Secrétaire chargé de la trésorerie et du patrimoine : Niodogo Xavier
Secrétaire adjointe chargée de la trésorerie et du patrimoine : Beouindé Florence
Secrétaire chargé de la réforme de l’état : Bouda Jean Claude
Secrétaire adjoint chargé de la réforme de l’état : Nemayé Nabié
Secrétaire chargé de la prospective : Somé Mathias
Secrétaire chargé de la santé et des questions de population : Bindi Ouoba
Secrétaire adjointe chargée de la santé et des questions de population : Laure Zongo Hien
Secrétaire chargé de l’environnement et du développement durable : Yameogo Urbain
Secrétaire adjoint chargé de l’environnement et du développement durable : Bakiono Bienvenu
Secrétaire chargé de la défense et de la sécurité : Ouédraogo Sayouba
Secrétaire chargé de la question de l’intégration africaine : Guiella Georges
Secrétaire adjoint chargé de la question de l’intégration africaine : Balima Raymond
Secrétaire chargé des affaires culturelles et sportives : Kuela Emmanuel
Secrétaire adjoint chargé des affaires culturelles et sportives : Hien Sié Roger

Secrétaire nationale chargée des femmes : Ilboudo Thiombiano Elise
Secrétaire adjointe nationale chargée des femmes : Congo Juliette
Secrétaire national chargé des jeunes : Bachir Ouédraogo
1er adjoint chargé des jeunes : Sanou Adama
2ème chargé des jeunes : Compaoré M Luc Armand
Secrétaire national chargé des anciens : Paul Ismael Ouédraogo
Secrétaire adjoint chargé des anciens : Toe Jean Yado
Secrétaire national chargé des secteurs structurés : Bationo Ludovic
Secrétaire adjoint chargé des secteurs structurés : Ky Jean Baptiste

Membres du haut conseil

Palm Domba Jean Marc
Sawadogo Laya
Guissou L Basile
Sawadogo Filiga Michel
Tiendrebeogo Victor (Larlé Naaba)
Bassolé Léandre
Hien Fidèle
Ouédraogo Raymond Edouard
Zibaré Souleymane
Madina Sy
Ouédraogo Yamba Christian
Bonzi Madeleine
Sirima Massadiomon
Sow Sophie
Kambiré Jean Martin
Ouédraogo Moussa Edgard
Dabiré Binso Loule Clémentine
Ouédraogo Jean Baptiste
Belem Amadé Kabaret
Bangou Yénignan

Burkina Demain

Projets d’infrastructures en Afrique : Le point cette semaine à Lomé

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La réunion de Lomé réunira des acteurs de la question des infrastructures en Afrique

Pour les acteurs des secteurs de l’énergie, des infrastructures, des transports et du tourisme ; c’est une semaine importante qui débute ce lundi à Lomé, où s’ouvre ce lundi la première session ordinaire du comité technique spécialisé de l’Union africaine sur lesdits secteurs.

Comme le corridor Abidjan - Lagos, bien d'autres projets relevant du PIDA feront l'objet de bilan au cours de la présente réunion ministérielle élargie aux acteurs financiers
Comme ici  le corridor Abidjan – Lagos, bien d’autres projets relevant du PIDA feront l’objet de bilan au cours de la présente réunion ministérielle élargie aux acteurs financiers

«Financement des infrastructures en Afrique». C’est sous ce thème capital que se tient du 13 au 17 mars 2017 à Lomé au Togo, la première session ordinaire du comité technique spécialisé de l’Union africaine sur les secteurs de de l’énergie, des infrastructures, des transports et du tourisme.                L’objectif global de la réunion, c’est d’évaluer les progrès accomplis et de réaliser des progrès concrets dans le financement des grandes infrastructures, notamment celles du Plan d’action prioritaire du Programme pour le développement des infrastructures en Afrique (PIDA / PAP) Sur l’investissement dans la préparation, la structuration, la mise en œuvre et l’atténuation des risques des projets d’infrastructure résilients au climat.  Ce sera également l’occasion pour les participants d’adopter  les règles de procédure du comité technique spécialisé, de faire le point de la mise en œuvre des décisions des précédentes conférences ministérielles et des sessions de l’Assemblée de l’UA sur les transports, l’énergie et le tourisme.

Semaine africaine de l’énergie

Sont attendus à la réunion des représentants des ministères des transports (aérien, routier, ferroviaire et maritime), de l’énergie et du tourisme de tous les États membres de l’UA ; des Communautés économiques régionales (CER) ; des banques régionales de développement et des institutions financières ; des organisations spécialisées continentales ;   des organisations de  la société civile, ainsi que des représentants des partenaires au développement et des organisations internationales impliquées dans le développement de l’énergie, des transports et du tourisme.

Plusieurs résultats sont attendus de la présente réunion. Il s’agit entre autres de l’adoption du règlement intérieur du comité technique spécialisé,  de la création du Bureau et des Sous-comités du Comité. Il est également de la réunion une déclaration ministérielle assortie de recommandations et des plans d’action sectoriels pour les projets d’infrastructure. La déclaration ministérielle, le rapport et les plans d’action seront  soumis au Conseil exécutif pour examen. Par ailleurs, la session comprendra des événements parallèles, notamment la Semaine africaine de l’énergie  et le Forum panafricain de l’investissement pour les transports, l’énergie et le tourisme.

Grégoire B. Bazié

Burkina Demain

La BCEAO bloque les transferts internationaux d’Orange Money

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Alors que M-Pesa, le service de paiement mobile de l’opérateur de téléphonie kényan Safaricom, fête ses 10 ans, Orange Money vient de voir la Banque centrale des États d’Afrique de l’Ouest (BCEAO) lui interdire les transferts de fonds entre les pays de l’UEMOA et la France, jugeant la pratique non autorisée.ORANGE

Selon les informations de Jeune Afrique, les directions nationales de la BCEAO en Côte d’Ivoire, au Mali et au Sénégal ont adressé fin février des injonctions à Orange Finances Mobiles Mali, Orange Money Côte d’Ivoire et Orange Finances Mobiles Sénégal « visant à mettre fin, sans délai, [aux] opérations de transfert international d’argent qui sont hors du champ des activités qu’elles ont été autorisées à effectuer ».

En cause, une mission de surveillance des systèmes et moyens de paiement de la BCEAO qui « a constaté qu’Orange Finances Mobiles Mali, comme Orange Money Côte d’Ivoire et Orange Finances Mobiles Sénégal, propose au public des services de transfert de fonds entre les pays de l’UEMOA et l’extérieur », selon une note explicative transmise par la BCEAO à Jeune Afrique.

Or, juge le régulateur, « comme le précisent les dispositions pertinentes du Règlement relatif aux relations financières extérieures des États membres de l’UEMOA, ces opérations relèvent exclusivement de la compétence des établissements de crédit installés sur le territoire d’un État membre de l’UEMOA ayant reçu la qualité d’intermédiaires agréés ».

Ce dont ne dispose pas Orange. L’opérateur, en mars 2016, avait obtenu de la BCEAO trois agréments pour devenir établissement émetteur de monnaie électronique au Sénégal, au Mali et en Côte d’Ivoire.
Pour des raisons réglementaires au Mali, les transferts vers ce pays sont temporairement suspendus.

L’injonction de la BCEAO, confirmée par deux fois par Orange en France et au Mali, explique notamment les messages d’erreurs adressés aux usagers qui essayent des transferts d’argent via Orange Money depuis la France vers le Mali par exemple. « Pour des raisons réglementaires au Mali, les transferts vers ce pays sont temporairement suspendus », pouvaient-ils lire.
Contactés, les équipes d’Orange au Mali ont confirmé la suspension « depuis une semaine après une décision de la BCEAO qui considère que nous n’avons plus le droit d’exercer ». Les transferts au sein de la zone UEMOA sont en revanche maintenus car effectués en franc CFA.
L’agrément ne couvrant pas les transferts en devises étrangères. L’extension à la France, en juin 2016, de l’offre de mobile money d’Orange initialement introduite en Afrique de l’Ouest en 2008, par la Côte d’Ivoire, pose donc problème.
Le service permet aux abonnés de transférer de l’argent depuis l’Hexagone vers la Côte d’Ivoire, le Mali et le Sénégal, ce que l’opérateur, confie-t-on en interne, pensait autorisé sans agrément du fait notamment de la garantie du F CFA de l’UEMOA par la Banque de France.
Une lecture erronée
« C’est une lecture erronée. La France au titre de la réglementation bancaire ouest-africaine est un pays étranger. Si un usager envoie 20 euros depuis Paris, et que la somme est payée en F CFA au Sénégal, c’est bien un débit pour la banque et donc un débit de devises pour la zone UEMOA », dit un cadre de la BCEAO à Dakar, interrogé sous couvert d’anonymat par Jeune Afrique.
La BCEAO explique n’avoir aucune visibilité sur le volume des transferts internationaux avec la zone UEMOA ayant transité par Orange Money. « Pour le seul Sénégal, les transferts annuels de la diaspora atteignent 200 milliards de F CFA. Que se passerait-il s’ils transitaient tous par Orange Money ? », s’interroge notre source.
De son côté, l’opérateur estime les flux entre l’UEMOA et l’international encore marginaux et plaide pour une solution à l’amiable avec la Banque centrale. Une réunion s’est tenue à Dakar le 9 mars, à laquelle Thierry Millet, directeur des services financiers mobiles du groupe Orange s’est rendue et au cours de laquelle lui a été signifié les raisons de l’injonction de la BCEAO et les manières d’y remédier.
« Ils doivent renoncer à ce service en l’état, sauf à créer une banque », estime encore notre cadre de la BCEAO.
Les grandes ambitions d’Orange
Le groupe télécoms français fait partie des nombreux opérateurs à s’être positionnés sur le très porteur marché du transfert d’argent mobile, qui explose dans un contexte de téléphonie mobile effervescente et de bancarisation encore marginale. En Afrique, l’application Orange Money comptait 12,6 millions de clients en 2014, contre 8,9 en 2013.
La multinationale française espère booster à 200 millions d’euros d’ici 2018 les revenus générés par cette offre. Là où il a réalisé environ 80 millions d’euros de revenus en 2015.
Selon une étude du cabinet Boston Consulting Group, en Afrique subsaharienne, les services financiers sur mobile pourraient rapporter au moins 1,5 milliard de dollars d’ici à 2019 et viser un marché de 250 millions de personnes.

Burkina Demain
Source:Jeune Afrique

UEFA: l’arbitre du match Barcelone – PSG menacé de sanctions

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Selon le quotidien espagnol Marca, le responsable des arbitres de l’UEFA Pierluigi Collina n’a pas forcément été ravi par l’arbitrage de l’Allemand Deniz Aytekin à l’occasion du huitième de finale retour de la Ligue des Champions entre le FC Barcelone et Paris Saint-Germain, match fou qui s’est soldé par la victoire du Barça (6-1) et la qualification du club catalan à la dernière minute de jeu. arbitre

Certaines phases de jeu ont en effet fait polémique, notamment sur les deux penalties de l’équipe espagnole et sur des avertissements non-délivrés à l’encontre de certains joueurs barcelonais. Certaines décisions de l’arbitre du match Barcelone – PSG ont donné lieu à de nombreuses polémiques. Le penalty non accordé à Di Maria, celui accordé à Luis Suarez… beaucoup d’actions ont été mises de côté pour les possibles erreurs de Aytekin

Collina aurait donc écrit un rapport peu élogieux à l’encontre de l’arbitre allemand. Cela ne signifie toutefois pas qu’une sanction peut être prise officiellement par l’UEFA. Mais selon Marca, Collina aurait bien demandé que Deniz Aytekin n’arbitre plus de rencontre de Coupes d’Europe, cette saison.
Pour cette raison, l’arbitre allemand sera écarté de l’actuelle Ligue des champions, comme ’sanction’ pour sa performance au Camp Nou.

La Fédération Allemande est intervenue en défense de son arbitre mais l’UEFA à sa propre opinion et plutôt que de ne pas sanctionner du tout l’arbitre, elle a préféré l’écarter de cette édition.

Joachim Batao
Burkina Demain

Houndé: les élèves et étudiants renouvellent le bureau de l’AEET en fête

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L’Association des Élèves et Étudiants du Tuy(AEET) a procédé à la clôture de ses activités 2016, le dimanche 05 mars 2017 au parc urbain Bangrewéogo à Ouagadougou. Cette manifestation a été ponctuée par quatre activités, à savoir des prestations théâtrales et humoristiques, le forum des ainés, le bilan des activités de 2016 , les perspectives et le renouvellement du bureau. FAMILLE

La cérémonie a connu la présence effective de près de 200 personnes dont une trentaine d’ainés et une dizaine d’associations sœurs. Après le passage des humoristes maisons et la prestation des troupes de théâtre, les ainés et les invités ont prodigué des conseils utiles aux étudiants, élèves et petits frères. Ils ont tour à tour, invité les étudiants à mettre à profit toutes les opportunités offertes de nos jours, afin de bien se former en vue d’acquérir non seulement le savoir, mais aussi le savoir-faire et le savoir être. Ils ont surtout insisté sur l’impérieuse nécessité de ne pas tomber sous le coup du fatalisme, en ayant à l’esprit que lorsque l’on ne connait personne, l’on ne peut pas réussir.

Après ces cours de motivation, le président sortant Issa DIANDA a, après avoir présenté son bureau, a fait le bilan des activités du mandat (2016-2017) débuté le jeudi 10 mars 2016. De ce bilan, il ressort qu’après une période de léthargie, le bureau a pu, tant bien que mal, redynamiser l’AEET. Il a travaillé à faire en sorte que les ainés adhèrent à la cause de l’association.

De même, en collaboration avec les autres sections (Koudougou et Bobo Dioulasso), il a pu organisé les 72 h de l’élèves et l’étudiant du Tuy à Houndé du 26 au 28 Août qui ont connu un succès inédit. Placées sous le thème, enjeux et défis de l’éducation, de la formation et l’insertion socio professionnelle des jeunes dans le Tuy, ces 72 h ont permis de faire un cross populaire, de nettoyer le CMA de Houndé, de collecter 58 poches de sang, de primer les 52 plus excellents élèves de la province avec une bourse d’étude de deux ans offerte par l’Institut Supérieur de Technologies (IST) au meilleur bachelier de la province Antoine Danvio.

En outre, un match de football qui a opposé l’équipe provinciale à celle des élèves et étudiants a permis de renforcer la cohésion sociale et la fraternité entre les fils et filles du Tuy. Une nuit culturelle a permis de valoriser le riche patrimoine artistique et culturel du Tuy. Par ailleurs, un panel a été tenu sur le thème de l’édition.

Au regard de ce bilan, des perspectives ont été dégagées en vue de guider les actions du nouveau bureau. Ce bureau, conduit désormais par Karfa BOGNINI et Yaya RAKISTABA comme Secrétaire Général, pour un mandat d’une année a reçu les conseils des ainés. Le bureau a aussi remercié tous ceux qui, (partenaires ou ainés)de près ou de loin ont contribué à la réussite des activités. Puis, il les a invités à le soutenir.

La rencontre a aussi connu la présence du maire de founzan, le premier président et parrain du prix d’excellence Janvier BAZOUN et le président de la West African Entreprenership and innovation Fondation Isidore SINKONDO.

Gafoura Guiro
Burkina demain

Ouagadougou: incendie au marché de Nioko 2

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Un incendie s’est déclaré, dans la matinée du vendredi 10 mars 2017 dans le marché de Nioko 2, situé à la périphérie de la capitale sur l’axe Ouagadougou-Kaya . Bilan, aucune perte en vies humaines, mais d’énormes dégâts matériels.nioko

Des hangars complètement incinérés, des flammes achevant d’autres se sont déportés dans le magasin de EBOMAF situé à proximité du marché. Là, ce sont des anciens véhicules garés et des pneus qui sont partis en fumée. Des commerçantes en larmes, une grande foule aux alentours observe impuissamment le feu.

Selon le responsable du comité de gestion du marché de Nioko 2, Boniface Kaboré le feu s’est déclenché aux environs de 8h30. «J’étais à la maison, une femme est venue m’informer qu’il y a du feu dans le marché. Aussitôt je me suis rendu sur le lieu. Pour le moment, l’on ignore l’origine de l’incendie. Les flammes ont jailli premièrement du côté des hangars des dolotières. Mais, comme c’est vendredi, elles ne s’y trouvaient pas à cause du carême», explique-t-il.

A l’entendre, aucun commerçant n’a pu récupérer ses marchandises et les sapeurs-pompiers ont mis du temps , une heure et demie environ, pour arriver sur les lieux. Pour le moment, assure-t-il, il n’y a pas de perte en vie humaine.

Joachim Batao
Burkina Demain

Corée du Sud: la présidente Park Geun-hye destituée

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Les huit juges de la Cour constitutionnelle ont décidé à l’unanimité de la destitution de Park Geun-hye, la première présidente de l’histoire de la démocratie sud-coréenne.

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Elle avait violé la loi – et la Constitution – en laissant sa confidente, Choi Soon-sil, s’immiscer dans les affaires de l’Etat.

Une violation qualifiée de « grave et inacceptable » : Park Geun-hye a trahi la confiance du peuple, ont conclu les juges. La dirigeante destituée doit quitter le palais présidentiel immédiatement, et perd tous ses pouvoirs – ainsi que son immunité, des poursuites en justice seront probablement lancées bientôt.

Park Geun-hye est accusée, entre autres, d’avoir accepté des pots-de-vin de grandes entreprises. A l’annonce du résultat, ses opposants réunis autour de la Cour constitutionnelle ont laissé éclater leur joie, tandis que ses partisans, des ultra-conservateurs, ont entamé l’hymne national pour montrer leur colère.

Burkina Demain

Présidence du Faso: Chériff Sy nommé Haut-représentant du chef de l’Etat

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A la faveur du conseil des ministres du 9 mars 2017, Chériff Sy, ancien président du Conseil national de transition (CNT) a été nommé Haut-représentant du Président du Faso.SHERIF_SY4

Le Haut-représentant du Président du Faso est une personnalité dotée d’une expérience politique, administrative et socio-économique, chargée de l’exécution des missions de représentation du Président du Faso, aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur du territoire national et de toutes autres missions à lui confiées par le Président du Faso.

Burkina Demain

TIC : DotAfrica sera lancé ce vendredi à l’Union africaine

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DotAfrica sera officiellement ce vendredi au siège de l'Union africaine, à Addis Abeba

Avec le soutien de la Commission de l’Union africaine (UA),des gouvernements africains,  des agences et organisations gouvernementales régionales, le ZA Central Registry (ZACR), une société à but non lucratif basée à Johannesburg, est propriétaire, depuis le 15 février 2017, du nom de domaine Dot.Africa (www.nic.africa) délégué par ICANN et ajouté aux serveurs de racine. DotAfrica sera officiellement lancé ce vendredi 10 mars au siège de l’Union africaine à Addis Abeba par deux grandes dames africaines, en l’occurrence la sud-africaine Nkosazana Dlamini Zuma et l’Egyptienne Elham Ibrahim, respectivement présidente sortante de la commission et  commissaire aux infrastructures et à l’énergie sortante de l’UA.

DotAfrica sera officiellement ce vendredi au siège de l'Union africaine, à Addis Abeba
DotAfrica sera officiellement ce vendredi au siège de l’Union africaine, à Addis Abeba

Vue de l’Union africaine, l’importance de dotAfrica comme identité et véhicule pour les activités socioculturelles de l’Afrique à l’ère numérique, permettant ainsi au continent de contribuer à l’économie numérique mondiale, ne fait l’objet d’aucun doute. En outre, dotAfrica, se convainc-t-on à l’UA, est une source de financement alternative pour les projets et initiatives liés aux Technologies de l’information et de la communication (TIC).

«Le domaine générique de premier niveau (gTLD) dotAfrica rassemblera le continent en tant que communauté Internet sous un même parapluie, permettant ainsi au commerce électronique, à la technologie et à l’infrastructure de prospérer. Une véritable initiative africaine mise en place par les Africains pour l’Afrique et le Monde».

Aboutissement d’un processus lancé en 2012

Nouveau domaine générique de premier niveau (gTLD) proposé pour le continent africain,DotAfrica donne ainsi plus que jamais l’occasion de forger une identité en ligne unique qui associera des produits, des services et / ou de l’information au continent et au peuple africain.

Il s’agit là de l’aboutissement d’un processus lancé en 2012. En effet, c’est à cette date que la Société Internet pour les noms et numéros attribués (ICANN), l’organisation responsable de la coordination des systèmes d’identifiants uniques de l’Internet mondial, avait lancé l’initiative pour un nouveau processus de demande de domaine de premier niveau.

Grégoire B. Bazié

Burkina Demain