Le 23 mars 2017, des étudiants de la zone CEMAC (Communauté des Etats de l’Afrique Centrale) ont effectué une visite dans les locaux de l’institut supérieur de technologies appliquées et de management (ISTAPEM) sis à Ouaga 2000 en face de la Direction Générale des Douanes. Pour ces étudiants, l’initiative visait à explorer les possibilités qu’ISTAPEM peut leur offrir pour une formation de qualité dans les domaines de l’innovation et du management.
Les échanges ont été empreints de cordialité
A ISTAPEM, les étudiants de la zone CEMAC ont échangé dans une ambiance joviale et détendue avec le PDG, M. Romaric BADOLO, qui était, à l’occasion, entouré de quelques membres de l’administration. Les échanges ont, entre autres, porté sur la spécificité d’ISTAPEM, sur les conditions d’admission à l’institut et sur la plus value qu’il apporte aux étudiants désireux de se lancer dans l’entreprenariat. En la matière, le PDG a exhorté les étudiants à être « audacieux » et « entreprenants ». Selon Romaric BADOLO,« l’avenir de l’Afrique réside dans sa jeunesse. Cette jeunesse a besoin d’une formation de qualité pour être compétitive au plan international et contribuer ainsi à donner une image positive de l’Afrique. A ISTAPEM, l’innovation, l’entreprenariat et la culture de l’excellence font justement partie de nos valeurs cardinales ».
Des étudiants ayant pris part à la rencontre avec le PDG d’ISTAPEM
Dans cette dynamique, l’institut supérieur de technologies appliquées et de management (ISTAPEM) forme des étudiants dans plusieurs domaines : communication, marketing, management, Banque et assurances, mines et carrières, Finances comptabilité…
En tant que président du comité scientifique et Directeur académique, le Pr Issaka SALIA veille à la qualité des programmes de l’institut.
A l’issue des échanges, les étudiants de la zone CEMAC ont été fort édifiés autant par les informations reçues que par les conseils dont ils ont bénéficié. Ils repartent convaincus qu’ISTAPEM constitue un réel tremplin pour leur formation académique et leur insertion socioprofessionnelle.
Un homme a été jugé mardi 28 mars dernier par le tribunal correctionnel de Rouen en Normandie pour une affaire assez déroutante. En effet, ce père de famille a été surpris par sa femme et sa fille en plein rapport sexuel avec une poule !
C’est la plus jeune de ses filles qui l’a surpris en premier, l’été dernier en plein acte sexuel avec une poule dans la maison familiale.
La petite a informé sa mère qui très surprise a mis en place, un plan avec son autre fille, afin de surprendre son mari en flagrant délit. Les choses ne vont pas durer longtemps. Le 28 août dernier, la mère de famille va tomber sur spectacle des plus dégoutants en suivant son compagnon dans le garage. Elle a été prise de vomissement en voyant son mari, s’adonner à une partie de se*e avec l’une de leur poule.
Le malheureux a écopé d’une peine de trois mois de prison ferme et d’une interdiction de détenir un animal, pour «sévices sexuels envers un animal domestique ou apprivoisé».
La femme très déçu et honteuse à cause du geste de son homme ne s’est pas rendu au tribunal. Elle s’est même séparée de son mari depuis. Les sept poules et la chèvre du couple ont été saisies et confiées à une association de protection des animaux.
A travers ce communiqué, l’Union pour le progrès et le changement (UPC) livre sa part de vérité sur les récentes démissions enregistrées à Zabré. Lisez plutôt!
Le lundi 27 mars 2017, trente personnes se réclamant militantes de l’UPC/Zabré, ont annoncé dans la presse avoir démissionné du parti pour rejoindre le MPP, à cause d’une crise interne. A moins de six jours de la date limite du dépôt des candidatures aux municipales partielles, l’UPC/Zabré a reçu des lettres de démissions de quatorze militants.
Qu’est ce qui explique réellement ces démissions ? Il faut rappeler qu’au sortir des municipales de mai 2016, l’UPC avait obtenu 46 conseillers contre 44 pour le MPP. En ce moment-là, deux candidats à la mairie s’étaient déclarés au sein de la sous-section. C’étaient Alassane WARE (aujourd’hui démissionnaire) et Maître Fidèle Louré. Les primaires ont été remportés par Alassane WARE, et l’ensemble des conseillers de l’UPC, y compris Maître LOURE, l’ont soutenu. Cependant, des problèmes avec l’administration locale et les conseillers du MPP ont fait que l’élection du maire n’a jamais pu avoir lieu.
Quand la dissolution des conseils municipaux est intervenue, l’UPC/Zabré a convoqué une assemblée générale pour faire le point de la situation. Au cours de cette réunion, Alassane WARE a souhaité que les militants le désignent officiellement et séance tenante comme unique candidat du parti à la mairie. Cette demande n’a pas été accordée par les militants qui estimaient qu’elle était prématurée et que, de toute façon, elle n’était pas inscrite à l’ordre du jour. C’est à cause de cela que M. WARE et d’autres personnes, qui avaient du reste quitté récemment le CDP pour rejoindre l’UPC, ont décidé de quitter le parti, afin de poursuivre l’aventure au MPP.
L’UPC/Zabré respecte le choix des démissionnaires.Elle observe néanmoins que les têtes de proue de ces démissionnaires, Alassane WARE(ex candidat à la mairie) et Yombila BOUSSIM (celui qui rédigeait les communiqués des démissionnaires) n’ont finalement pas été retenus sur les listes du MPP, malgré toutes les démarches qu’ils ont entreprises auprès des leaders de ce parti. A l’évidence, le MPP lui-même s’est rendu compte qu’ils n’avaient plus aucune chance de se faire élire aux postes de conseillers.
L’UPC/Zabré note également que plusieurs des démissionnaires ont déjà fait leur mea culpa pour revenir à l’UPC et battre campagne pour le parti. De toute façon, la sous-section reste ouverte et n’entretientpas de rancune envers ceux qui ont décidé de tenter leurs chances ailleurs.
L’UPC/Zabré rassure ses militants et sympathisants, qu’en dépit de ces départs, et ce à quelques jours de la date limite du dépôt des listes, le parti présente des listes avec des candidats valeureux dans chaque village de la commune de Zabré. Cela démontre que notre parti regorge suffisamment de militants engagés et de ressources humaines.
L’UPC/Zabré met l’intérêt de la collectivité avant tout autre considération. Elle reste ouverte au dialogue entre les sous-sections locales des différents partis politiques, pour construire Zabré et renforcer la démocratie.
UPC : Ensemble pour le vrai changement !
Zinakou Alfred ZANZE,
Député à l’Assemblée nationale,
Correspondant UPC de Zabré
A travers ce communiqué, le Ministère de la Sécurité tient à noter qu’il n’est pas à l’origine des informations circulant sur les réseaux sociaux faisant état de risque d’attaques terroristes imminente contre les lieux très fréquentés.
«Le Ministère de la Sécurité a constaté qu’un message faisant état de risques d’attaques imminentes des lieux très fréquentés circule sur les réseaux sociaux depuis ce matin. Le ministère tient à interpeller les initiateurs de ce message tendancieux à arrêter leurs manœuvres dont le seul but est de semer la psychose.
Il rassure les populations des villes et des campagnes qu’il n’en est rien et les invite donc à vaquer tranquillement à leurs occupations. Par ailleurs, le ministère de la sécurité rappelle aux citoyens que ses messages sont toujours signés et diffusés par les voies officielles et sur sa page Facebook.
Enfin, il tient également à rappeler aux citoyens que la vigilance et la collaboration avec les forces de défense et de sécurité doivent être des comportements de tous les jours pour un Burkina Faso de paix et de sécurité. »
Ouagadougou, le 30 mars 2017
Pour le Ministre d’Etat, Ministre de la Sécurité et par ordre, le Directeur de Cabinet
Clément OUONGO
Chevalier de l’Ordre National
Le festival la Ruche, débuté le 24 pour prendre fin ce 31mars, bat son plein sur les espaces culturels de Ouagadougou. C’est dans ce cadre que des jeunes artistes et des directeurs artistiques de la sous-région ouest africaine et de la Belgique présents au festival ont tenu une rencontre, ce mercredi 29 mars 2017, en vue de créer une ONG dénommée Parole Croisée.
L’assemblée générale constitutive de l’ONG a réuni des artistes venus de différents pays de l’Afrique et d’Europe. Durant deux jours, les acteurs ont réfléchi sur les fondements et textes devant régir « Parole Croisée ».
L’ONG Parole Croisée a pour principale mission de plaider et de travailler pour le développement des activités culturelles et artistiques jeune public.
Pierrette Essohounam Takara, Vice-présidente de l’ONG, a expliqué qu’il s’agira, à travers cette organisation « de porter haut la parole des citoyens du monde à travers des actions culturelles ». Et cela concerne en premier plan les jeunes et les enfants.
Il faut noter que la création de l’ONG Parole Croisée a été impulsée par l’ASBL Théâtre de La Guimbarde de Belgique avec à sa tête Pierre Lambotte et le Théâtre Eclair du Burkina Faso dirigé par Alain Hema. L’ONG regroupe plusieurs associations d’artiste et des compagnies venant d’Afrique et d’Europe.
Une diversité que le secrétaire général Pierre Lambotte juge profitable et avantageuse. Car pour lui, cela permettra non seulement de construire « une image plus réelle du monde » mais également de « profiter de nos différences ». Cette synergie permettra à chacun de faire une représentation du monde, pense t-il.
Peut être membre de l’ONG Parole Croisée, toute structure artistique travaillant aux cotés de la population et ayant pour cibles privilégiées les jeunes.
Bruno Bancé, directeur général de Afrique Solaire International, nourrit de grandes ambitions
Bruno Bancé, formé par les Italiens, est le fondateur et directeur général de Afrique Solaire International (ASI), entreprise spécialisée dans l’énergie solaire. A 36 ans et fort de ses 11 ans d’expérience, il veut révolutionner le secteur et rendre le solaire accessible à tous. Entretien exclusif.
Bruno Bancé, directeur général de Afrique Solaire International, nourrit de grandes ambitions
Burkina Demain : Qui êtes-vous ?
Bruno Bancé : Je suis un jeune Burkinabè passionné de l’énergie solaire que j’ai apprise à maîtriser avec les Italiens. Et je me suis engagé depuis plusieurs années déjà à faire en sorte que ce savoir-faire serve à nos concitoyens et à notre pays, voire la sous-région.
Parlez-nous de l’entreprise Afrique Solaire International (ASI) que vous avez créée ?
Afrique Solaire International (ASI) est une entreprise burkinabè qui a été créée en 2006 sous le nom de Entreprise Woussongouta Faso Energie (EWFE). Aujourd’hui, ASI est spécialisée, comme vous le savez, dans le domaine de l’énergie solaire. Notre mission est claire : permettre aux Burkinabè d’avoir de l’énergie de manière continue et permanente. Fort d’une expérience de 11 ans, ASI apporte des innovations afin de rendre l’énergie accessible à tous.
Il y a beaucoup d’entreprises dans le secteur qui disent également faire des innovations. Qu’est-ce qui vous différencie d’elles ?
Plusieurs choses nous distinguent d’elles :
–nous concevons nous-mêmes les matériels mis à la disposition de nos clients ;
-la qualité de nos prestations ;
-nos installations sont faites en fonction des besoins spécifiques du client ;
-nos installations extensibles sont faites en fonction des moyens du client,
-le suivi du fonctionnement des installations de nos clients,
-enfin, notre rigueur dans le travail jusqu’au détail.
En termes de coûts, vos prestations sont-elles accessibles aux Burkinabè moyens ?
Nos produits et services sont accessibles à tous. Par exemple, les installations sont faites après entretien avec le client. Cet entretien vise à lui présenter toutes les possibilités d’installations de système solaire adaptées à ses besoins. Après quoi le client choisit une des possibilités en fonction de ses moyens financiers.
Quelles sont vos zones d’intervention ?
Afrique Solaire Internationale intervient sur tout le territoire burkinabè et ambitionne intervenir dans la sous-région. Pour ceux qui ne le savent pas encore, nous sommes situés à côté du marché de NaabiYaar, coté nord-est de l’infirmerie centrale de police nationale, à 25 m.
Comment vous contacter, pour ceux ou celles qui seront intéressés ?
Nous sommes joignables aux numéros suivants : (00226) 75 93 42 81/70 42 74 46/71 48 65 62/79 15 35 32 ; au mail suivant : asisolaire@gmail.com
Avec la présence d'éminents acteurs, la journée a été particulièrement riche en réflexions sur la problématique de la gestion des eaux usées et excrétas dans nos communes
Eau Vive Internationale a organisé le 20 Mars 2017 en prélude de la 25e Journée mondiale de l’eau (JME) prévue le 22 mars 2017, un panel à Boromo autour de la thématique «Rôle des communes dans la gestion des eaux usées et excrétas».
Avec la présence d’éminents acteurs, la journée a été particulièrement riche en réflexions sur la problématique de la gestion des eaux usées et excrétas dans nos communes
Boromo, 20 mars 2017 : premier jour d’activités consacré au panel sur la thématique « Rôle des communes dans la gestion des eaux usées et excrétas ». Ce choix n’est pas anodin, puisqu’Eau Vive Internationale est, depuis plusieurs années, dans une synergie d’action avec les communes dans lesquelles elle intervient.
Le coup d’envoi des activités a été donné en présence de Ouo Bibata Bamouni/Traoré, haut-commissaire de la province des Balés, de M. le maire de la commune de Boromo, des représentants de IRC, de WaterAid, de l’ONEA, de la Direction régionale de l’eau et de l’Assainissement, des maires et représentants de plus d’une vingtaine de communes du Burkina Faso et d’une délégation venue de Eau Vive Tchad.
Suite aux mots de bienvenue de la haut-commissaire Traoré et du maire de Boromo, trois panélistes bien aguerris des questions d’eau et d’assainissement ont chacun fait une communication de 10 minutes, sur une thématique en adéquation avec celle retenue au plan Mondial « Eaux usées », sous la modération du directeur Pays de WaiterAid, Halidou Koanda.
Mariam Sou de 2IE Burkina, au cours de son exposé
«La problématique de la valorisation des Eaux usées»
Mariam Sou, enseignante à 2IE Burkina, a exposé sur la problématique de la valorisation des Eaux usées. Elle a démontré que la pollution des eaux provient des eaux industrielles, domestiques et agricoles, et par la suite cerné les enjeux et les problématiques qui en découlent.
Ceux-ci se trouvent principalement dans l’évacuation des eaux usées qui sont en grande majorité déversées dans la nature.
Elle a par ailleurs souligné le lien entre l’eau et la sécurité alimentaire des populations et parlé du stress hydrique qui est la situation où chaque personne ne dispose pas d’au moins 1700m3 d’eau par an. De fait, des techniques ont été mises en place pour le traitement et la valorisation des eaux usées. Il s’agit de système autonome de filtrage d’eau grise utilisé en milieu rural et surtout l’adoption d’un cadre législatif impliquant tous les ministères et donnant l’opportunité aux communes pour une autre vision de l’assainissement.
Hortense Damiba de la Direction l’assainissement de l’ONEA lie la problématique de la gestion des eaux usées dans les villes à un manque d’ouvrages d’évacuation des eaux usées des ménages et des lieux publics qui conduit à l’évacuation dans les rues.
A ce sujet, elle affirme que « plus d’une trentaine de m3 d’eaux usées est rejetée dans la nature dans la seule ville de Ouagadougou ».
S’il est vrai que l’ONEA, à travers son Plan stratégie d’assainissement dans l’esprit du Code général des Collectivités territoriales (CGCT), contribue à responsabiliser les communes dans la gestion de l’assainissement, beaucoup reste à faire.
Elle propose alors que les ménages soient équipés d’ouvrages d’assainissement adaptés et de mettre l’accent sur le changement de comportement des individus et groupes, d’appliquer les règles d’assainissement et de renforcer les capacités des agents communaux. Enfin, l’implication des leaders devra permettre de réduire les maladies liées à l’insalubrité, qui cause plus de 100 000 décès par an au Burkina Faso.
« Eaux usées, excrétas, environnement et citoyenneté»
Le dernier Communicateur, Zakari Bouraima, directeur Pays de Eau Vive Burkina a, quant à lui, parlé de la corrélation entre « Eaux usées, excrétas, environnement et citoyenneté ». Pour lui, dans les pays à faible revenu comme le Burkina Faso ou à revenu intermédiaire, chaque année, plus de 840 000 personnes par an meurent par manque d’eau, d’assainissement et d’hygiène, soit 58% du total des décès par diarrhée. La cause principale réside dans les mauvaises conditions d’assainissement. Il ajoute qu’un des impacts environnementaux des eaux usées au Burkina est principalement issu de l’activité minière, notamment l’extraction artisanale de l’or. Les populations ajoutent de la saleté à la saleté comme une forme de défiance et d’instrumentalisation des déchets face à des municipalités en manque de ressources financières et humaines pour faire face à leur mission.
Suite à ces différentes communications, place a été faite aux échanges avec quatre panélistes : Hilaire Dongobada(IRC), André Patindé Nonguierma (Direction générale de l’assainissement), Fidèle Hien (Cabinet EME) et Ambasda Sandwidi (maire de Tensobentenga).
Pour André Nonguierma, on peut parler d’assainissement si un ménage dispose d’un bac à laver, d’un WC, d’une toilette et d’un bac à ordure.
Le maire de Tensobentenga, a, pour sa part, dépeint la dure réalité des communes qui, pour la plupart, n’arrivent pas à faire respecter les règles d’assainissement au sein des communautés, et qui sont en manque de ressources aussi bien financières que matérielles.
Mais qu’à cela ne tienne ! Durant les échanges, Mme la Haut-Commissaire a insisté sur le pouvoir dont dispose la commune pour faire respecter les règles d’assainissement. Tout n’est pas que coercitif ! « Vous pouvez faire respecter les règles d’assainissement à travers une communication en insistant sur le comportement à avoir » dit à son tour le modérateur Halidou Koanda.
Les échanges avec les participants ont permis d’enrichir la réflexion en montrant toute la richesse de la thématique abordée.
Dans la soirée, une projection cinématographique sur les réalisations de feu Hama Arba Diallo en matière d’eau et d’assainissement dans la ville de Dori, et des témoignages ont permis de mieux connaitre le charisme et le dévouement de ce leader pour l’approvisionnement en eau potable et un meilleur assainissement de sa commune.
Correspondance particulière de Gisèle Benjamine Minougou
Un étudiant britannique de 17 ans, Miles Soloman, a contacté les scientifiques de la NASA pour leur faire part d’une erreur repérée dans leurs données. Il s’est rendu compte que les capteurs de radiation de la station spatiale internationale (ISS) enregistraient des données erronées.
Si l’adolescent a pu faire cette découverte, c’est grâce à un programme qui permet aux élèves britanniques de travailler sur les données de la station internationale, en les invitant à repérer des anomalies et des modèles susceptibles de mener à de nouvelles découvertes.
« On discutait des données et soudain il a dit: ‘Pourquoi y a-t-il une énergie -1 ici? », explique à la BBC James O’Neill, professeur de physique de Miles dans son école de Sheffield. Or, une énergie ne peut être négative. Miles et son professeur ont donc contacté la NASA pour leur faire part de l’erreur qu’aucun de leurs experts n’avait remarqué avant cela.
« C’est plutôt cool », se réjouit le jeune homme. « Je peux dire à mes amis ‘Je viens juste d’envoyer un e-mail à la NASA et elle jette un œil sur mes graphiques' ».
La NASA a répondu qu’elle était consciente de cette erreur, mais qu’elle pensait qu’elle ne se produisait qu’une ou deux fois par an. Or, Miles a repéré qu’elle arrivait en réalité plusieurs fois par jour. Il indique qu’il ne désire pas prouver que la NASA a tort mais « travailler avec eux et apprendre d’eux ».
Le professeur Becky Parker, directrice du programme qui a permis à Miles d’inspecter les données de la NASA, se réjouit de sa trouvaille et espère que l’expérience inspire les étudiants afin qu’ils deviennent la prochaine génération de scientifiques. Pour Miles Soloman, cela semble bien parti.
Le président de l’ADF/RDA Me Gilbert Noël Ouédraogo et le président de l’UPC Zéphirin Diabré ont animé conjointement une conférence de presse ce mercredi 29 Mars 2017 à Ouagadougou. L’objet de la rencontre , rendre compte des travaux de la 13éme Assemblée générale du Réseau libéral africain tenue du 22 au 25Mars 2017 à Nairobi au Kenya?
Le Réseau libéral africain est un réseau de partis libéraux africains, fondé en Juillet 2OO2 à Mombasa Kenya et qui a adopté à son acte constitutif, la Déclaration de Johannesburg, en juin 2OO3 en Afrique du Sud. Ce réseaucompte aujourd’hui 53 membres provenant de 30 pays ce qui en fait le plus grand réseau politique dans le continent. Il a pour objectifs de répandre des valeurs libérales sur le continent ; faciliter le développement et la croissance des partis libéraux ; des organisations des personnes libérales dans tous les pays africains ;créer une alliance des libéraux partageant les mêmes vues en Afrique pour l’échange d’informations, d’expériences, de compétences et des idées.
Au BurkinaFaso, deux paris sont membres du Réseau libéral africain ; il s’agit de l’ADF/RDA, membre fondateur, et l’UPC, adhérant depuis 2O14. A l’occasion de sa 13éme Assemblée générale tenue du 22 au 25 Mars 2017, le réseau a élu un nouveau comité exécutif de 7 membres qui doit diriger le réseau pour les années avenirs. C’est le Sud-africain Stevens Mokgalapa, du parti Alliance Démocratique, principale force de l’opposition en Afrique du sud qui a été elu nouveau président du réseau, et le président de L’UPC Zéphirin Diabré a été élu au poste du vice-président, chargé de l’Afrique de l’Ouest.
L’UPC « a bénéficié du soutien très actif de L’ADF/RDA du BurkinaFaso lors de cette élection », a affirmé le président Zéphirin. Il a salué également d’autres partis, comme l’Alliance pour la République(APR) parti du Président Macky Sall du Sénégal, le Rassemblement des Républicains(RDR), parti du président Alassane Dramane Ouattara de la côte d’ivoire, le Parti Démocratique Sénégalais(PDS), de l’ex président du Sénégal Abdoulaye Wade, les deux partis libéraux du Ghana que sont le PPP et GLP, l’UFDC, parti de l’ex premier ministre Celou Dalein DIALLO de Guinée.
Selon le président Gilbert NoëlOuédraogo, parrain de l’UPC , ce réseau vise à défendre les valeurs libérales sur le plan national qu’international, afin de créer un groupe libéral panafricain harmonieux. D’ailleurs, c’est ce qui suscite le souhait déterminant du parti Le Faso autrement du Dr Ablassé Ouédraogo à rejoindre ce réseau dans les mois avenir.
Le réseau s’assigne pour les années avenir à trouver la meilleure stratégie pour défendre ces idéaux et ces valeurs pour garantir le succès politique, a déclaré le président Z. Diabré. C’est dans cet esprit qu’a travers l’examen du thème général de l’Assemblée générale, les questions telles , la formation des coalitions avant les élections , la question de la gestion des pays en situation de coalition ; les meilleurs formes de coopération entre libéraux sur le plan international ont été discutées, selon lui.
Ceci est un communiqué du ministère en charge du Commerce annonçant que les boulangers se sont engagés à continuer la production simultanée des deux types de pain ( 180g et 200g), au prix de 130F et 150F.
«Le Ministère du commerce, de l’industrie et de l’artisanat porte à la connaissance du public, que suite aux travaux du Cadre de Concertation Tripartite (CCT) du 14 mars 2017, il a été décidé de mettre en place un comité ad’ hoc chargé d’examiner la question du prix du pain.
Ce comité était composé de représentants du Ministère en charge du commerce, de représentants des associations de consommateurs (la Ligue des Consommateurs du Burkina, l’Association des Consommateurs du Burkina, l’Organisation des consommateurs du Burkina, Vigi-Consommateurs), de représentants de la profession de boulangerie notamment la Fédération Burkinabè des Patrons de Boulangeries, pâtisseries et confiseries et l’Union des Fondateurs de Boulangeries du Faso et des représentants des associations de revendeurs de pain.
Au terme de ses travaux le 22 mars 2017, le comité a convenu des conclusions suivantes :
– L’engagement des boulangers à continuer la production simultanée des deux types de pain (pain de 180g et 200g) respectivement au prix de 130F et 150F, assortie de leur ferme volonté à sensibiliser tous les boulangers dans le sens du respect de cette décision. Cette mesure fera l’objet d’une application pendant une période de deux à trois mois à l’issue de laquelle, on en procéderait à une évaluation;
– pendant la période indiquée, le MCIA s’engage à intensifier les contrôles en ce qui concerne le poids et la qualité du pain
– l’engament de l’Etat, à travers le MCIA, à examiner avec beaucoup d’attention les doléances à lui soumises par les boulangers, par lettre en date du 15 mars 2017 ;
Des points relatifs à la formation des acteurs, leur regroupement en GIE et des échanges avec la SONABEL sur les opportunités de la double tarification ont été également évoqués.
Les différentes parties ont enfin convenu de maintenir le dialogue afin d’anticiper les situations éventuelles de blocage et de tenir d’ici à un mois, une rencontre d’évaluation à mi-parcours de mise en œuvre des engagements. »
DCPM/ Ministère du Commerce, de l’Industrie et de l’Artisanat